Une minette bien trempée

Je tiens un gîte dans le Queyras, l’hiver avec le ski, l’été, pour des groupes de motards. En juin, j’ai vu arriver deux grosses cylindrées transalpines. Deux couples en sont descendus, de vrais bikers avec les looks qui allaient avec ! Voici mon histoire de sexe ;

Une minette bien ouverte

Coupe de cheveux improbable pour un des mecs, strings apparents pour les filles gaulées comme des mannequins. Avec mon apparence sage, frange impeccable et longue robe noire, cela contrastait fortement. Mais quand les filles, sans prévenir, sont venues me faire un smack pour me dire bonjour, je me suis dit que le week-end allait être intéressant.

Le soir, ils m’ont commandé des bières dans leur chambre. Lorsque je suis entrée avec mon plateau, la fête avait déjà commencé. Les filles étaient à moitié nues et la brune avait la tête enfouie dans l’entrecuisse de la blonde. Les garçons se tripotaient mollement des queues encore engourdies. J’ai posé les boissons et j’ai commencé à prendre des photos de cette partie carrée. Les hommes ne m’intéressaient guère, en revanche, les nanas étaient aussi appétissantes l’une que l’autre. Très vite je me suis couchée à leurs côtés, je ne me suis pas dénudée tout de suite, mais mes mains sont parties en exploration.

Douce levrette

Angelica, la brune, m’a offert son coquillage bien ouvert et déjà trempé, tandis qu’allongée sur le dos, elle bouffait le minou de Steffi, la blonde, installée sur son visage. Un des hommes a continué à nous shooter, les ondulations des deux motardes étaient de plus en plus marquées, elles sont venues à quelques secondes d’intervalle. Steffi tout en gémissements suraigus, Angelica en vocalises rauques assorties de jets de cyprine qui ont imbibé les draps et le bas de ma robe.

Je me suis enhardie et suis allée à la rencontre de l’anus de la petite blonde, restée en levrette, le
cul ouvert à toute sorte de caresses et d’introductions. J’ai toujours été cochonne au possible avec les femmes, l’anilinctus fait partie de ces cochonneries, j’aime à faire pénétrer ma langue dans cet étroit conduit, à sentir le muscle du sphincter résister puis céder sous la pression. J’adore ce goût de musc et d’épice qui se mélange aux fragrances de la mouille, la sienne était presque acidulée, un vrai délice pour mes papilles.

Partie cunni

Les motards se sont enfin intégrés à la danse, je ne savais pas qui était avec qui, mais visiblement l’échange de partenaire ne posait de problème à personne. Les belles se sont allongées et ont écarté les cuisses, donnant toutes leurs gourmandises en pâture à ces deux ogres finalement bien plus gentlemen que nombres de costumes-cravates.

Leurs cunnilingus ont duré longtemps et, chose qui m’excite au plus haut point, ils faisaient énormément de bruit en lapant les chattes. J’ai remonté ma robe pour, au dernier moment, l’enlever complètement, je me suis retrouvée totalement à poil, un doigt coquin flirtant sur mon clitoris, j’étais, moi aussi, trempée à l’entrejambe et mon con tout lisse était en feu.

Quelques circonvolutions dactyles et j’ai été emportée par un premier orgasme qui m’a laissée pantelante, les bras masculins m’ont portée jusqu’au lit, je me suis alors amusée à déposer quelques caresses sur leurs bites qui avaient enfin gagné un joli volume.

Caresser la minette

Je n’ai rien contre sucer une belle verge de temps en temps, ni me faire bien prendre par un lascar bien membré. Mes compagnes de débauche étant toujours affairées à se peloter mutuellement, j’ai profité de la douceur inattendue qu’on m’offrait sur un plateau.

Les gestes étaient tout à la fois un peu rugueux, mais très délicats, les doigts savaient où aller, comment aborder mes seins ou mon cul, l’instant précis pour une bonne fessée ou pour insinuer quelques phalanges intrépides dans l’un de mes orifices.

Cette première soirée s’est déroulée toute en raffinement, sans pénétrations, les garçons n’étaient là que pour nous exciter, nous lécher, nous doigter et nous donner tout le plaisir que nous étions capables de recevoir.

Les jeux entre filles se sont prolongés tard dans la nuit, sur le lit, sous la douche, j’ai même assisté à un fist de toute beauté, la chatte d’Angelica, souple au possible, a laissé passer le petit poing de Steffi.

Cette dernière l’a ensuite pilonnée avec une vitesse incroyable, le résultat a été une seconde inondation et un orgasme détonant, pour la belle brune et pour moi, léchée et doigtée par les hommes qui avaient pris l’initiative de me goder avec les goulots de bouteilles de bière vides, un par devant, l’autre par derrière. Le lendemain, les queues de ces messieurs se sont enfin mises en action, comme leurs bécanes, c’étaient de grosses cylindrées !

A lire aussi :

Dans la chatte puis dans le cul

La chatte de Lisa

La chatte baveuse