Elle a soufflé ma bougie !
26 novembre 2019Philippe, 22 ans
Cela fait quinze jours que c’est arrivé. Je n’en reviens toujours pas. Samedi dernier, mon amie Clarisse fêtait ses dix-huit ans. J’ai pris le RER pour me rendre chez elle, de l’autre côté de Paris, en banlieue est. Comme les transports en commun sont plutôt mal famés tard le soir, mes parents m’ont fortement suggéré de dormir chez elle.
Clarisse est une copine de lycée. Cela fait quelques années que je me branle en pensant à elle. Elle a les cheveux mi-longs, châtain foncé, des hanches rondes et la taille fine. Ses seins font fantasmer tous les mecs de ma classe.
J’ai aidé Clarisse à aménager le salon familial, et nous avons pris l’apéritif avec ses parents et ses amis, cinq au total. Je pensais que son père et sa mère ne resteraient pas avec nous, mais ils nous ont quand même tenu compagnie une bonne partie de la soirée. Le dîner d’anniversaire a été sympa, bien que très sage. J’avais hâte que les vieux se barrent dans leur chambre. Un peu plus tard, Clarisse a soufflé ses bougies et reçu ses cadeaux : des bijoux fantaisie, une photo souvenir du collège dans un cadre, du parfum et de la lingerie.
Vers minuit et demi, les parents sont partis se coucher. À partir de ce moment, les premiers camarades de classe se sont mis sur le départ. Comme il était convenu que je dorme sur place, j’ai aidé Clarisse à débarrasser la table, et je suis resté un moment assis sur le canapé à essayer de dessaouler un peu, tout en discutant avec les derniers invités. Puis tout le monde s’est barré, ne restaient plus que Clarisse et moi. Elle m’a proposé de dormir dans sa chambre.
Elle m’a dit qu’elle avait un matelas gonflable pour ses copines quand elles venaient dormir, et une couette supplémentaire bien chaude. Une fois dans sa chambre, je me suis rendu compte qu’elle était assez grande pour contenir un grand lit à deux places (le sien) et un matelas par terre. Clarisse m’a dit qu’elle disposait aussi de sa propre salle de bain (ah, quel bonheur d’avoir des parents riches !), et elle m’a proposé de m’y rendre en premier. J’ai évidemment refusé, et je lui ai répondu que j’attendrai, pour prendre ma douche, qu’elle ait fini de son côté.
Après tout, elle était chez elle. « Pas du tout, a-t-elle insisté, tu es mon invité, à toi l’honneur » La perspective de dormir tout près d’elle m’excitait. Nous étions tous les deux un peu saouls, et je sentais monter une érection. J’ai donc accepté de prendre ma douche d’abord. J’ai fermé la porte (pas à clé puisqu’il n’y avait pas de verrou) et j’ai touché ma queue à travers le tissu de mon pantalon. Je bandais. Je comptais me déshabiller en vitesse, puis foncer sous l’eau pour calmer cette érection afin que Clarisse ne s’aperçoive pas de mon état.
J’ai baissé mon jean et là, catastrophe : ma copine est entrée dans la salle de bain. J’avais le fute à mi-cuisses et une gaule d’enfer. Clarisse se tenait debout devant moi, les yeux écarquillés et les joues écarlates. Mais elle ne s’est pas démontée : « Attends, je vais chercher l’appareil photo ! » Moi, j’ai commencé par remonter mon pantalon mais, l’alcool aidant, des idées un peu exhib’ me sont venues à l’esprit.
Clarisse est arrivée et, alors qu’elle s’apprêtait à faire sa photo, j’ai saisi ma queue bandée et je l’ai agitée devant elle. Elle a pris deux ou trois clichés, a posé l’appareil sur le lavabo, et m’a embrassé à pleine bouche. Je n’en pouvais plus. C’était la première fois que j’embrassais Clarisse. Qui plus est, c’était celle qui avait accompagné mon éveil à la sensualité, mes désirs naissants d’ado… Mais j’étais toujours puceau !
Ma queue tendue pliait contre son ventre. Ma respiration s’est soudain accélérée, je sentais mon cœur battre dans mon crâne. Clarisse a murmuré : « N’aie pas peur, je ne vais pas te faire de mal. » Qui l’eut cru ? Clarisse, avec sa petite tête de première de la classe, était en réalité sacrément délurée. J’ai senti sa main se poser sur mon érection. Je n’oublierai jamais ce premier contact.
Elle s’est ensuite agenouillée et a pris mon gland dans sa bouche. C’était doux, chaud à l’intérieur. C’était tellement bon que j’avais peur de répandre ma semence sur sa langue à n’importe quel moment. Je ne disais rien, je laissais juste échapper quelques soupirs. Elle a absorbé mon sexe dans sa bouche, de plus en plus loin. J’ai pris encore deux ou trois clichés, et je me suis laissé aller. Je crois que j’ai poussé un cri.
J’aurais voulu que ce moment ne finisse jamais. Elle n’a pas lâché ma queue tant que je n’avais pas tout craché. Elle avait dû en voir, des pornos ! Clarisse s’est relevée, m’a fait un petit smack et m’a dit : « Demain matin, c’est moi qui te réveille, à ma façon… » C’est comme cela que nous avons commencé à sortir ensemble. Je t’aime, Clarisse.
(Image à la une : Getty Images)
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