Une belle bougie d’anniversaire
15 mars 2019Adrien, 24 ans, Asnières-sur-Seine.
Ça s’est passé en juin, à la fin de l’année scolaire. Je me trouvais à une soirée étudiante comme il y en a tant. C’était la dernière avant les vacances. Vers une heure du matin, je suis tombé sur Aurélie, une fille que je connaissais bien. Elle m’a dit que la nana qui devait la ramener chez elle était partie. Elle m’a demandé si j’accepterais de faire le taxi à sa place à la fin de la soirée. J’ai répondu OK. Elle m’a présenté une de ses copines qui repartait avec elle : Camille, une blondinette d’lm50 à tout casser. Elle m’a confié que c’était son anniversaire et qu’elles avaient bien arrosé ça.
Une heure après, on est partis. Aurélie était « grise ». Elle a pris place à l’avant et a commencé à me caresser, me faire des bisous. Elle a posé sa main sur ma cuisse et m’a chuchoté en souriant : « La petite va à la fac en octobre. On est colocataires. » Au pied de l’immeuble, Aurélie m’a proposé de monter chez elles, ce que j’ai fait, bien sûr… On s’est installés dans la chambre de Camille et Aurélie nous a sorti à boire. Puis, elle qui n’est pas réputée pour être farouche, a laissé libre cours à sa curiosité : « Il paraît que t’en as une grosse, tu nous la montres ? » J’étais ébahi par son propos. J’ai hésité un moment, je les ai regardées toutes les deux, puis j’ai défait mon pantalon. Il est tombé sur mes chaussures. J’ai baissé mon boxer. Elles n’en revenaient pas que je m’exécute comme ça. La petite meuf a observé ma bite en rougissant. Puis, Aurélie s’est approchée, elle a caressé ma queue, l’a embrassée, léchée.
Ensuite, elle a invité son amie : « Allez, à toi Camille ! » Je me suis dirigé vers elle à pas de loup. Aurélie a sorti son portable pour nous prendre en photo. Elle a saisi la main de Camille et l’a posée directement sur ma bite. Puis, elle a dirigé la main de sa copine pour de douces caresses, en lui ordonnant mi-rigolarde, mi-impérieuse : « Lèche ! » Alors, du bout de la langue, Camille s’est promenée sur ma hampe. C’est à ce moment qu’Aurélie, en véritable prêtresse de la pipe, a repris le contrôle. Elle a saisi mon membre et l’a pompé en me massant les couilles. Camille, sans doute gênée, est partie se doucher.
Aurélie m’a entraîné dans sa chambre, on s’est mis à poil. Elle s’est agenouillée, les cuisses écartées, et m’a demandé un cunni. Je me suis glissé entre ses jambes pour la régaler. Elle était très excitée, elle s’est retournée sur le dos, et je l’ai défoncée comme un possédé. Heureusement, je trimballe toujours quelques capotes dans les poches de mes jeans… Après cette baise, elle s’est vite endormie et s’est mise à ronfler. Ne pouvant pas trouver le sommeil, j’ai ramassé mes affaires et j’ai emporté une couverture avec moi pour aller m’installer sur le canapé. Je me suis vite assoupi. Mais, dans la nuit, j’ai été réveillé quand la lumière s’est allumée. C’était la petite Camille qui allait aux toilettes. Elle a été surprise de me trouver là. On a discuté un instant. Je lui ai suggéré gentiment que j’aurais été plus à mon aise dans un vrai lit… « Pourquoi pas le tien, par exemple ? », ai-je avancé timidement. Elle a hésité deux secondes et a juste répondu : « Ok. » On s’est couchés côte à côte dans sa chambre.
J’ai tenté ma chance en parsemant son visage de petits bisous. Elle s’est laissé faire, alors je suis allé jusqu’à ses lèvres. Au bout d’un moment, nos bouches se sont ouvertes et nos langues se sont unies. Je lui ai proposé: « Si tu te laisses aller, je peux te faire beaucoup de bien, ça te branche ? » Elle n’a pas répondu, mais n’a pas tiqué quand je lui ai caressé le cou, la nuque, les épaules, les bras. Notre baiser a redoublé d’intensité, alors je me suis enhardi, et mes mains sont descendues sur ses petits seins. Leur pointe était déjà toute dure. Je passais de l’un à l’autre. Camille haletait, et moi, je bandais sérieusement. Mes doigts sont descendus tranquillement. Je ne voulais pas la brusquer… Quand je suis arrivé à son ventre, seul le fin tissu de son pyjama séparait encore nos deux peaux. Je lui ai suggéré d’écarter un peu les cuisses et j’ai doucement massé son sexe. Elle a soupiré et a poussé de charmants gémissements. Je lui ai demandé à l’oreille si elle souhaitait que j’arrête. Elle a murmuré un timide « Non ».
Peu à peu, j’ai senti sa chatte s’ouvrir. Je lui ai dit qu’elle serait mieux sans pyjama. On l’a enlevé. Elle s’est accrochée à moi. J’ai continué à jouer de mes doigts. Son gentil minou s’humidifiait de façon tropicale. J’ai introduit une phalange à l’intérieur, puis deux. J’ai écarté ses cuisses au maximum. Elle a pris mon majeur en entier. Je l’ai fait aller et venir dans sa minette trempée. Je l’ai prévenue que ça allait être encore meilleur maintenant. J’ai plongé entre ses cuisses chaudes. Sa peau, c’était du velours. J’ai léché son clito tout gonflé pendant quelques instants. Elle a poussé de faibles cris d’oiseau presque inaudibles en me maintenant la tête entre ses jambes. Elle me suppliait de continuer encore et encore… Elle froissait mes cheveux dans ses mains. Je m’y prenais du mieux que je pouvais. Sa respiration est allée de plus en plus vite. Je lui ai demandé si on lui avait déjà fait ça, elle m’a répondu : « Non, qu’est ce que c’est bon ! »
J’ai pris sa main pour la poser sur mon boxer, elle a parcouru ma teub de haut en bas, a caressé mes couilles. Je lui ai demandé si elle la voulait. Pour toute réponse, elle a fourré sa main dans mon boxer. Je me suis désapé, j’ai enfilé une capote et je me suis allongé sur le dos. Elle est venue en amazone sur moi. Elle pouvait ainsi décider d’arrêter la pénétration. Elle semblait calme, mais je la sentais vaguement anxieuse. Je l’ai rassurée en lui disant que ça allait bien rentrer. Ma tige, ultra gonflée, se trouvait à l’entrée de la demoiselle. J’ai attrapé les toutes petites fesses de Camille et je l’ai enfoncée sur moi tendrement. Ma queue a entièrement disparu en elle. C’était bouillant et mouillé. J’avais moi aussi l’impression de n’avoir presque jamais baisé. C’était si différent par rapport aux autres filles, Aurélie par exemple. Elle a respiré un grand coup. Je lui ai laissé le choix du rythme. Je lui caressais les seins et, de temps en temps, le clito.
Elle n’a pas mis très longtemps à exploser de bonheur. Quelques allers-retours plus tard, j’ai moi-même moi envoyé toute ma sauce au fond de la capote. On transpirait tous les deux. On est restés allongés l’un sur l’autre à se dévorer la bouche. On a bien dormi et au matin, elle m’a remercié : « Je n’ai jamais eu un aussi beau cadeau d’anniversaire ! » C’était si attendrissant que je n’ai pas pu résister à l’envie de lui sauter dessus.
(Image à la une : Getty Images)
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