Sodomisée à la dure !

La rédaction 15 janvier 2021

Dans cette histoire érotique, Olivia, 42 ans, raconte à son homme son fantasme d’être sodomisée par un bel inconnu dans les toilettes d’un bar d’hôtel.

Mon cher Laurent, mon beau mec… Je vois bien que tu tournes autour du pot. Enfin de mon pot de gel coquin pour être plus précise. En effet, nous ne nous connaissons finalement que depuis quelques mois, et je vois bien que tu te demandes si je suis portée sur la sodomie ou si c’est juste au cas où j’aurais besoin de lubrifiant pour aider ma chatte à être bien prête à te recevoir. Alors pour te répondre bien clairement, je vais raconter dans cette histoire de sexe mon fantasme ultime dans notre revue préférée. Régale-toi mon salaud et baise-moi exactement comme ça quand tu en auras envie !

Seule le soir, sous ma douche brûlante, je me fais des petits scénarios polissons. Je me plais à imaginer que j’accoste un inconnu dans un bar d’hôtel. Il est grand et brun comme toi. Il porte des chemises blanches négligemment ouvertes sur un torse poilu, comme le tien. Par contre, il me fait un truc que tu ne me fais jamais : il m’encule.

On discute au comptoir. Il me paie un verre. On va aux toilettes. Il me colle contre le mur en carrelage bien froid. Il remonte ma robe et arrache ma culotte. Il me lape la rondelle. Comme je ne porte pas de soutien-gorge, mes tétons frémissent au contact de la faïence à travers le haut de ma robe. J’ai presque joui tellement il m’a léchée. Je le sens se relever derrière moi. Pas de bisou mouillé dans le cou, rien de tout cela, que dalle. Je sens juste son souffle aromatisé à l’alcool et sa grosse barre qui se presse sur mon échalote. Pas d’équivoque. Il va me remplir le conduit. Il entre en moi. Il en a une grosse. Je pousse avec mon cul pour que ça aille plus vite, plus loin, plus fort.

Il est là. Il est entier dans mon fondement. Je le sens bien, le fumier. Putain que c’est bon de se faire enculer comme une garce par un inconnu. On commence à s’agiter d’avant en arrière. Il a les mains rivées sur mes nichons. Il pince mes tétons. Je suis écrasée contre le mur à présent. Il me balance des va-et-vient de tourneur fraiseur. Son chibre me fusille l’arrière-train, j’ai le cul en feu. La cuisson est si douce pourtant.

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Je ne vois presque plus rien, je suis proche de l’évanouissement, mon bas-ventre me titille. Je jouis abondamment en hurlant, mais je ne m’entends même pas tellement c’est bon et odieux à la fois. Il me pilonne comme une bête, je vis une expérience extrasensorielle, je suis à la fois là, en train de me faire sodomiser, et ailleurs, dans un paradis hard qui sent la sueur et le jus de couilles. J’aimerais être attachée, aucune fuite possible, juste un trou à défoncer.

La jouissance monte à nouveau, elle me transperce lentement. Elle irradie depuis mes lombaires jusque dans mon dos, vers mes nichons pressés par ses grosses mains d’ouvrier, jusque vers ma gorge qui me chatouille de l’intérieur. Je ne peux même plus crier. J’explose encore.

Lui aussi est au bout. Il me retourne brutalement et me fout à genoux devant lui pour le final. Je le branle devant mon visage. Sa queue est vraiment démesurée. Je suis fière d’avoir pris ça en moi. Il ne me regarde même pas pendant que je le masturbe en lui caressant les couilles. Je suis une vraie fille à soldat. Je l’astique bien, mon gros capitaine ! Il souffle fort. Il m’arrose le visage, c’est une vraie douche poisseuse. Le temps que j’ouvre les yeux, sa bite a glissé de ma main. Il est déjà sorti des chiottes.
C’est le moment où je jouis vraiment sous ma douche bien chaude en général. Ce fantasme je l’ai vécu mille fois en rêve, mais personne n’a été à même de me le faire vivre. Laurent, sauras-tu être mon prince charmant ?

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  • georges

    Olivia,
    j’ai lu votre récit érotico-porno qui est magnifique et votre ébat charnel avec cet homme et ce vocabulaire cru dans votre récit, j’adore votre parlé cru concernant le sexe.

  • Pierre

    Se faire des amis

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