Le facteur n’est pas passé
29 janvier 2021Suite à une maladresse de facteur, Manu, 32 ans se retrouve à faire un massage à sa voisine. Le moment de détente va vite déraper en ébats torrides.
Chez magazine coquin, il m’est arrivé un truc de fou récemment et je me suis dit que l’évènement avait au moins l’envergure de figurer parmi vos histoire de sexe.
Il y a une petite nénette qui vient tout juste d’emménager dans l’immeuble, elle doit avoir une petite trentaine tout au plus. Je l’avais croisée une fois à une assemblée générale de copropriété, elle était arrivée en retard, impossible donc de ne pas la remarquer… et je l’ai tout de suite trouvé craquante! Le truc qui a créé le déclic entre nous? Le nom sur la boîte aux lettres. On a tous des étiquettes imprimées, soigneusement confectionnées par la concierge. Comme celle-ci était en vacances pour le mois, la nouvelle propriétaire a dû coller un bout de papier avec son nom écrit à l’encre sur sa boîte. Évidemment, l’encre a bavé, et comme nos deux noms de famille se ressemblent un peu, le facteur a mis tout son courrier dans la mienne.
Le lendemain soir, en voisin exemplaire, je lui ai apporté son courrier à domicile. J’ai toqué à sa porte, m’attendant à ce qu’elle soit ailleurs et à reposer le courrier sous sa porte… Mais non ! Elle m’a ouvert en robe de chambre, un peu énervée. Je lui ai tendu le courrier et lui ai expliqué la situation. Son regard s’est illuminé et elle m’a adressé un grand sourire : « Oh, c’est gentil ! » Vu qu’elle était en train de s’adoucir, je lui ai demandé pourquoi elle semblait contrariée. Elle m’a dit qu’elle n’arrivait pas à monter un meuble et que pourtant, sur la notice, ça avait l’air simple ! Bombant mon torse, je lui ai dit – grand seigneur-que je voulais bien jeter un oeil.Elle a poussé un petit cri d’enthousiasme, soulagée de ne se battre avec son tournevis. Le meuble en question était une petite desserte d’environ 80 centimètres de hauteur, j’ai réussi en quinze minutes. C’était simple mais je lui ai quand même dis que c’était assez technique pour ne pas la froisser….
J’ai demandé à aller me laver les mains dans la salle de bain, elle m’a gentiment indiqué où c’était avec un sourire un peu trop prononcé pour qu’il ne soit anodin. Et mon intuition ne m’avait pas fait défaut ! En sortant de là, elle m’attendait nue sur le lit, un tube d’huile de massage à la main. « Vu que vous êtes manuel, vous pouvez me détendre un peu? Je suis hyper stressée en ce moment. » J’étais dans une histoire compliquée en ce moment, et l’évasion sensuelle que me proposait ma voisine était immanquable !
J’ai commencé à masser son dos, le haut de ses cuisses, puis j’ai glissé sur ses fesses. Elle m’encourageait avec des petits gémissements ambigus, laissant clairement entendre que mes caresses osées n’étaient que le préliminaire d’une suite plus torride. Quand j’ai passé la main sur son sexe, je me suis rendu compte qu’elle mouillait abondamment.
C’est limite si ça ne glissait pas sur la couverture. Je suis venu lécher sa cyprine de la pointe de ma langue, lui arrachant un délicieux « mmmmh » au passage. La petite aimait mes avances sexuelles, c’était donc le moment de passer à la vitesse supérieure. Je me suis déshabillé intégralement et l’ai retourné face à moi. Là, j’ai planté mon gros dard au summum de sa forme au fond de sa bouche. La garce n’avait pas l’air fâchée du tout par mes prises d’initiative, elle me tenait par les fesses pour que je l’enfonce durement.
Après quelques allers et retours, je me suis allongé sur le lit, lui indiquant que je voulais qu’elle vienne s’empaler sur moi. Ma coquine de voisine a tout de suite compris où je voulais en venir, et tel un crapaud sur un nénuphar, elle s’est gentiment posée sur ma queue au garde-à-vous. Je l’ai laissé contrôler la pénétration, elle faisait ça très bien d’ailleurs. Elle y est allée très doucement au début, et à la fin, elle était clairement déchaînée ! Je ne sais pas si elle allait régulièrement au sport, mais là, clairement, son corps était actif et réactif. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui balancer toute ma sauce au bout de quelques secondes. Elle s’est alors écroulée sur son lit, heureuse, dans un grand boum sonore. Comme si j’avais achevé une bête. Je suis reparti dans mon appartement, un grand sourire aux lèvres, sans un mot. Mais depuis, je guette chaque jour mon courrier en espérant y trouver une lettre qui lui serait adressée…
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