Air bite n bite

La rédaction 8 juin 2025

Marie, 35 ans, a réservé des vacances dans un gîte. Mais elle ne sait pas encore qu’elle se prendra de bons coups de bite !

Marie nous fait part de son histoire de sexe amateur avec deux cousins !

Un grand week-end à la campagne, un retour aux sources pour moi, ex-provinciale devenue citadine, j’attendais ces quatre jours de solitude et de tranquillité avec impatience. J’ai été accueillie par Bertrand, le fermier, propriétaire du gîte.

Sexe dans la salle de traite

Il m’a installée confortablement et je lui ai demandé si je pouvais assister à la traite le lendemain matin.

Aux aurores, je lavais les pis dans la salle de traite en sa compagnie. Nous avons bu du lait encore tout chaud et j’ai embrassé cet homme au milieu de ses vaches. Il m’a prise contre une barrière métallique froide et dure, tandis que sa barre tendue et brûlante me fouillait le bas ventre jusqu’à ce que je jouisse en beuglant, lui répandant son foutre dans la paille sur le sol.

Le soir, après une bonne douche, nous avons dîné en compagnie d’Olivier, un de ses cousins et salariés. Les regards étaient pleins de sous-entendus, il était clair que Bertrand s’était vanté de nos exploits matinaux et je dois dire que la situation m’a plus qu’émoustillée.

Au dessert, je me suis assise sur le coin de la table en chêne et j’ai dévoilé mon entrejambe sous ma jupe, entrejambe qu’aucune culotte ne venait cacher.

J’ai eu le droit à un cunni de la part du cousin. Le patron s’est approché de moi et m’a donné sa grosse pine à branler puis à sucer. Nous avons gagné une des chambres de l’étage et nous sommes mis nus avant de grimper sur le grand lit.

Des fermiers montés comme des chevaux

Les hommes de la ferme sont de vrais sportifs, ils sont tout en muscle et en force brute, ces deux-là étaient, en plus de cela, montés comme des chevaux, ce qui était loin de me déplaire.

L’un d’eux a demandé s’il pouvait prendre des photos de nos ébats, cela m’a fait mouiller comme une petite chienne. J’adore m’exhiber et me voir en train de sucer et me faire défourailler par deux belles queues serait un souvenir de vacances des plus torrides.

J’ai même proposé à Bertrand de s’amuser avec un des jouets que j’avais apportés. Il me l’a mis directement dans la chatte pendant que, à quatre pattes, je m’avançais vers sa bonne tige pour la reprendre en bouche.

J’ai pompé les deux dards en alternance jusqu’à ce que l’impatience de ces messieurs se fasse ressentir, celle de ma foufoune itou.

Une rotation s’est naturellement engendrée, l’un des garçons s’approchait de mes lèvres, la bite à la main, et menait la danse d’une fellation plus ou moins profonde pendant que l’autre prenait possession de mon vagin en y enfonçant son gourdin bandé.

J’ai joui tout ce que je suis capable de jouir, un véritable feu d’artifice. La langue d’Olivier était magique et il était visiblement très porté sur le bouffage de minous … ainsi que de petits trous de balle. Le mien a commencé à s’échauffer à force d’être visité et lubrifié ainsi.

 On le voit bien à ma pastille ouverte, mon anus a reçu bien plus qu’un doigt ! Les deux barreaux de chaise, à force d’hésitation sur les pourtours de ma rondelle, ont fini par s’y enfoncer délicatement et je me suis laissé enculer pour le plus grand plaisir de mes deux mâles et le mien.

Prise en sandwich !

Mes deux trous étant désormais praticables et pratiqués, pourquoi, dès lors, ne pas investir les deux simultanément se sont demandé Olivier et Bertrand et, sans me consulter, mais avec mon consentement muet, j’ai été joyeusement prise en sandwich, une tige par devant, une barre par derrière pour une double pénétration mémorable qui m’a perdue, la tête tourbillonnante, et pendant laquelle j’ai inondé les draps que j’ai trempés de ma mouille et de ma sueur.

Les cousins n’en débandaient pas pour autant, c’était même plutôt l’inverse, « la fille de la ville » étant « hyper bonne », ils en ont profité toute la nuit et moi avec.

Ces petits coquins ont éjaculé deux fois chacun, dans ma bouche bien sûr, et ce fut mon premier cocktail de deux spermes mélangés et pour la seconde, c’est mon trou du cul qui les a amenés à la jouissance, barbouillant mes fesses et mon sphincter d’une crème épaisse et veloutée à souhait.

Nous n’avons même pas eu la force d’aller nous doucher et nous sommes endormis en quinconce, serrés les uns contre les autres. Au chant du coq, une main rugueuse a attrapé la mienne, c’était un Bertrand au garde-à-vous qui posait ma paume sur sa queue gonflée d’une érection matinale XXL !

Je l’ai branlé doucement tandis que lui me doigtait les fesses et la chatte. Le corps encore vaporeux allongé à côté de nous s’est coulé sous la couette et mon réveil a été total avec une frénésie linguale qui s’est envolée sur mon clitoris. On a remis ça tous les soirs jusqu’à mon départ et je suis revenue à Paris requinquée comme jamais !

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