Aventure de vacances avec une photographe

En déplacement pour plusieurs mois, mon homme, Karl, m’a demandé de lui écrire, dans une lettre coquine, un de mes meilleurs moments passés en sa compagnie. Comme je trouve que cette histoire de sexe amateur est pas mal, j’en profite pour vous la partager. C’était lors de vacances…

Je me souviens de cette folie sensuelle qui s’était emparée de nous, sur la côte Atlantique. Je t’avais déjà sucé tout le trajet de Paris à Arcachon, montrant mon joufflu en levrette à la fenêtre ! Les camionneurs klaxonnaient quand tu les doublais et tu as éjaculé deux fois dans ma bouche.

Dès notre arrivée, nous sommes partis en quête d’une plage isolée, je m’y suis déshabillée et tu m’as photographiée là, devant l’océan, fesses écartées, chatte et trou du cul offerts, un peu cachée par les dunes puis carrément sur la plage, ma crinière blonde caressant mon dos. Je t’ai de nouveau pompé le nœud pour que tu bandes bien dur et tu m’as baisée comme une petite chienne, face aux vagues, jusqu’à ce que je sois ravagée par un orgasme trop longtemps retenu.

La photographe participe

Le lendemain matin, nous avons trouvé une enveloppe glissée sous la porte de notre bungalow, elle contenait de très beaux tirages de nous deux faisant l’amour sur le sable et une carte de visite. Tu étais en colère, moi, excitée, j’ai appelé et je suis tombée sur une femme, douce voix sensuelle, photographe de son état, elle m’a proposé de faire d’autres clichés de toi et moi en train de s’envoyer en l’air. J’aurais porté une culotte à cet instant précis, qu’elle se serait imbibée sur le champ. J’ai tout de suite accepté et Patricia nous a rejoints dans l’après-midi. Nous avons fait comme si elle n’était pas là, je t’ai demandé de t’allonger sur le lit et je t’ai pris en bouche pour une longue fellation. Cela m’excite autant de te sucer que toi de te faire lutiner le gland par ma langue bien huilée de salive. Notre preneuse de vues t’a félicité pour la taille de ta queue et m’a dit que j’étais une petite chanceuse.

Après un cunnilingus qui m’a fait décoller une première fois, tu t’es installé sur le dos. Tu sais que l’amazone est, sans conteste, ma position préférée et que je jouis très facilement ainsi. Je me suis enfilée sur ta bonne bite, elle bandait très dur et je n’ai eu qu’à la mettre à la verticale pour m’empaler dessus, laissant les lèvres de mon sexe coulisser avec bonheur jusqu’à sentir la base de la colonne les toucher, mon clitoris bien écrasé contre le pubis masculin et légèrement velu.

J’ai posé un pied sur le matelas, histoire d’avoir une plus grande amplitude dans mes mouvements et je me suis déchaînée sur le braquemart dressé et épais en moi. Je sentais comme il m’écartait bien les parois, et tu me disais que j’étais serrée et en m’enfonçant un doigt dans le cul ou en me pinçant les nichons. Pendant ce temps, j’avais un peu oublié que Patricia tournait toujours, quand j’en ai repris conscience, elle était accroupie en train de prendre en gros plan mes nymphes écartelées autour de la hampe large. Cela a déclenché des jets liquides, expulsés de mon vagin par plusieurs contractions surpuissantes, l’instant d’après je décollais en criant alors que tu me frottais le clitoris avec son pouce.

Place à la sodomie

Après cette longue cavalcade qui m’avait portée par deux fois au seuil du paradis, mes jambes flageolaient, tu as donc pris les choses en main et … mon cul aussi ! Après une copieuse léchouille sur la rondelle, tu as présenté ton gland devant l’orifice fripé, tu as appuyé doucement d’abord, puis plus franchement, mon œillet s’est dilaté, l’ouverture a bientôt été suffisante pour que tout rentre sans aucune difficulté. J’aime la sodomie quant à toi, n’en parlons pas… Pour toi m’enculer est une religion, une affaire d’État ! Tu m’as ramoné le petit trou lentement au départ, puis tu y es allé carrément, tes doigts s’agrippant à mes hanches afin de presser mon corps un peu plus contre le tien pour être sûr que ta queue entrait le plus profondément possible dans mon rectum ! Tu m’as éclaté le fondement, mais cela en valait la peine, de mon côté j’ai eu mon troisième orgasme et toi tu m’as offert une éjaculation interne dont je me souviendrais toujours, le plus interminable pied que tu aies pris depuis longtemps.

Patricia a rangé son matériel en nous disant qu’elle nous enverrait les photos, je lui ai demandé si elle pouvait repasser dans les jours suivants afin que nous regardions tout cela ensemble, j’avais une idée derrière la tête.

Quand elle est revenue, nous l’attendions nus, nous avions convenu de l’intégrer à nos jeux si elle le désirait et tu l’as finalement baisée comme une bête. Grande, brune, crâne quasi rasé, tatouée et adepte de la sodomie tout comme moi, tu t’es régalé à la faire décoller cinq ou six fois avant que je vous rejoigne et que nous finissions la nuit à trois !

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