Petite séance chez l’esthéticienne
22 octobre 2020Amina, 27 ans, est esthéticienne et reçoit une cliente plus qu’entreprenante. En plus de ses poils, elle va devoir s’occuper de son cul.
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Je suis esthéticienne et il m’arrive de tomber sur des clientes très, très chaudes. Du genre de Liliane, quinqua blonde et sexy que je n’ai vue qu’une fois au salon. Mais quelle fois !
Liliane a débarqué un mardi matin. Vu que c’est un jour calme, il n’y avait que moi et une collègue à la boutique. Après avoir accueilli la bimbo (cheveux longs, gros seins, robe blanche moulante), on lui a demandé ce qu’elle désirait. « Épilation intégrale du maillot », a-t-elle répondu avec un sourire. Je suis descendue au sous-sol préparer la cabine et deux minutes après, elle me rejoignait.
Avant même que je demande à ma cliente de se déshabiller, elle a déboutonné sa robe et l’a accroché au porte-manteau. Chaussures, soutif, culotte… Elle a tout enlevé et s’est plantée devant moi, le regard coquin. Elle était vraiment bien faite, avec ses roploplos XXL et ses jambes fines.
Je lui ai dit de s’allonger sur la table d’épilation et j’ai sorti une première bande de cire. Liliane n’était pas très poilue : seulement une petite touffe sur les lèvres, que j’ai rapidement enlevée.
Puis il a fallu s’occuper du coussinet, la zone entre la chatte et l’anus. « Mettez-vous à quatre pattes, s’il vous plaît », ai-je demandé à la cliente. Elle a obéi, sourire aux lèvres. Son cul n’était vraiment pas mal, ferme et d’apparence veloutée. Quand j’ai tiré sur la bande, la blonde a simplement lâché un petit « aïe ! », puis, au lieu de se rallonger pour que je lui passe de la lotion hydratante, elle est restée en levrette… Elle avait une idée en tête.
J’ai fait comme si tout était normal en lui tournant le dos pour ranger mon matériel. C’est alors qu’elle a murmuré d’une voix sensuelle : « Mademoiselle, je vous trouve très douée de vos mains. Mais qu’en est-il de votre langue ? » J’ai pivoté vers elle… et j’ai vu qu’elle se frottait le derche du plat de la main. Une attitude provocante qui m’a fait rougir.
Ses gros seins pendaient vers le sol, gourmands à souhait, tandis que sa cambrure montait vers le plafond. Comme aimantée, je me suis avancée vers la blonde. Et tout a dérapé. D’un geste vif, Liliane a attrapé une espèce de pilon en marbre, que j’utilise pour préparer des onguents et qui traînait au milieu de mon matos.
Avec une moue sexy, elle me l’a tendu : « Je veux sentir votre bouche, Mademoiselle. Puis ce bel objet… ». Troublée, je me suis placée derrière le cul de la blonde. Elle a ondulé, puis a fait glisser sa main le long de sa raie, avant d’écarter les globes, me présentant ainsi son anus rosé. J’ai fermé les yeux et j’ai plongé, tête la première.
BOUTIQUE SEXY
Je n’avais jamais mangé le cul de personne, mais vu les gémissements de ma cliente, je m’en sortais bien. D’abord des petites léchouilles, suivis de coups de langue de plus en plus profonds, avant de carrément enfoncer mon visage tout entier dans l’antre de Liliane, qui en redemandait d’une voix aigüe : « Oh oui ! Encore ! Plus vite ! ».
À l’étage, ma collègue devait penser à des cris de douleurs provoqués par les bandes de cire… Pour essayer de calmer la furie, j’ai arrêté de la bouffer et j’ai porté le pilon à mes lèvres. Puis je l’ai posé sur le petit trou humide qui s’offrait à moi. Ce qui a suivi m’a fait halluciner…
Dès la première seconde, Liliane s’est mise à lâcher des soupirs à fendre l’âme. J’ai poussé légèrement et le pilon s’est enfoncé d’un centimètre, puis deux… J’étais fascinée par cette image : le gros cul soyeux de la blonde, perforé par cet objet phallique, le tout accompagné du souffle de la jouissance qui montait… J’ai poussé encore, en m’assurant de tenir fermement le pilon pour qu’il ne soit pas aspiré par le trou noir de Liliane.
Au bout de quelques minutes, j’ai pu aller et venir à ma guise, ma cliente couinant et frémissant à chaque mouvement. « Je viens ! Je viens ! », n’arrêtait-elle pas de dire, mais je sentais qu’elle se retenait pour faire durer le plaisir.
J’ai donc effectué un mouvement rotatif improvisé avec le gode, et senti les dernières réticences de la belle, fondre comme neige au soleil. Une rotation, deux rotations, trois… La quatrième a été la bonne et Liliane a poussé un hurlement de louve. Je n’ai plus eu qu’à retirer délicatement le pilon et à admirer le jus de cul qui coulait abondamment dessus. La salope, désormais tremblotante sur ses quatre appuis, n’avait pas fait semblant de kiffer…
J’espère qu’elle repassera un jour la porte du salon, car j’ai en tête d’autres ustensiles à tester sur elle.