Merci pour trou !

La rédaction 30 août 2020

Max, 47 ans, est divorcé depuis 5 ans. Il tombe fou amoureux de sa baby-sitter qui va lui offrir des parties de jambes en l’air torrides.

J’écris cette histoire de sexe pour Laetitia, qui me lira, j’en suis sûr…

Laetitia, je voudrais te remercier pour ce que tu as fait pour moi. Cela faisait 5 ans que j’avais divorcé de la mère de C., mon fils. Cinq ans de déprime, sans aucun contact avec la gent féminine (ou si peu). Cinq ans sans sexe, je l’avoue… Alors, ce soir de septembre pluvieux, quand tu es venue chez nous pour garder C., c’est un peu comme si tu avais ramené le soleil dans ma vie.

Je te revois encore, avec ton tee-shirt gris et ton pantalon moulant. Tes yeux bleus étincelaient quand j’ai ouvert la porte. Cela devait faire déjà 6 mois que tu étais notre baby-sitter, mais à chaque fois que tu déboulais, si jeune, si pleine de vie, mon cœur tombait au fond de mon estomac. J’ai remarqué que tu étais trempée, sans doute avais-tu oublié ton parapluie. J’étais déjà en retard pour mon resto avec des collègues, mais qu’importe ! Je suis allé chercher le séchoir à cheveux dans la salle de bain et je t’ai dit d’aller m’attendre dans ma chambre, à l’autre bout de la maison, pour ne pas réveiller C. qui dormait profondément.

Quand je t’ai retrouvée deux minutes plus tard, tu avais enlevé tes belles chaussures et ton short détrempé, et tu tordais ton haut pour l’essorer tant bien que mal. Il collait à ta poitrine bombée. Je suis resté interdit. Comme tu étais sexy… Je me suis approché de toi. Tu n’as pas bronché, seulement montré ton beau sourire, celui qui te fait des fossettes si craquantes. J’ai fondu. Et je t’ai embrassée en tremblant.

Je n’ai jamais retrouvé mes collègues ce soir-là. Et toi, tu m’as tout donné. Tes mains, pour commencer. Tu m’as branlé longuement, patiemment, jusqu’à ce qu’enfin la flamme reprenne. J’ai bandé dur entre tes doigts pour la première fois depuis longtemps. Ta bouche, ensuite. Ton piercing était froid sur mon gland et j’ai été d’abord surpris de ce contact métallique. Mais j’ai rapidement profité de tes savoirs : tes lents coups de langue sur ma tige, la pression de tes lèvres jusqu’à la base, tes aspirations sensuelles et humides…

Et puis j’ai eu accès au Saint des saints : ton sexe, si pulpeux, si moite. Je suis entré dedans en poussant de longs gémissements, les couilles douloureuses de tant de désir contenu… Je t’ai prise d’abord lentement, en te caressant les cheveux, en me perdant dans ton cou trempé de sueur. Et puis tu m’as murmuré au creux de l’oreille que je pouvais y aller plus fort. Alors je me suis redressé et j’ai commencé à t’enfiler totalement, en allant taper loin dans ton antre. En baissant les yeux, j’ai vu la boule que formait mon gland en affleurant à la surface de ton ventre.

J’ai fermé les yeux et j’ai joui en étouffant un hurlement de plaisir. Je tremblais de tout mon corps. Mais tu n’avais pas fini de me surprendre : quand j’ai roulé contre ton flanc, tu t’es mise à te toucher en me demandant de regarder la scène. J’ai vu mon jus couler de ton con sur les draps, tes doigts agiles faire monter le plaisir et ta poitrine qui se gonflait sous l’effet de l’orgasme tout proche. J’ai eu l’audace de donner quelques coups de langue sur ton clitoris dodu, recueillant au passage des gouttes de mon propre foutre… Tu as joui et ça a été pour moi comme un second orgasme.

Ma Laetitia, nous avons depuis refait l’amour tant de fois que j’ai perdu le compte. Tu m’as confié tes désirs, ton goût pour les récits érotiques (notamment ceux d’Union). Alors voici ma déclaration : ma plus belle histoire de cul, c’est toi.

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