Fantasme de l’exhibition publique

Paule 28 octobre 2023

Après plusieurs années dans le célibat Appolinaire rencontre Anne – So avec qui il pouvait partager tous ces désirs de fantasmes et son exhibition.

Premiers ébats torrides

Quand j’ai rencontré Anne-So, j’avais 33 ans. Je sortais d’une longue période de célibat, qui m’avait permis de développer une certaine réflexion sur mes désirs. Nous avons beaucoup exploré la sexualité ensemble. Voici l’une de ces découvertes, survenue au début de notre relation. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Après quelques semaines, elle m’invite à Calais, la ville où elle a grandi. Restaurant, avant d’aller rencontrer sa grand-mère. Après le déjeuner, nous flânons un peu sur la plage, dépeuplée en hiver. Sortant de table, j’éprouve un besoin des plus naturels. Comme la plage est pratiquement déserte et que nous sommes assez isolés, je décide de me soulager sur le sable, face à la mer. Alors que je suis en train d’uriner, je réalise que j’ai le sexe à l’air, là où, en été, des milliers de personnes sont présentes. Et se superposent alors dans ma tête, l’image de tous ces gens pratiquement nus, quelques femmes à la poitrine découverte; et moi, en doudoune et la queue à l’air, pissant devant eux. Une exhibition, mais sans choquer personne, et sans risque d’atterrir au commissariat. Et ce fantasme de l’exhibition publique commence à m’exciter. Je me mets à bander doucement. Et je finis avec une franche érection. Je reste à regarder mon sexe dur, dans le vent froid. Le plaisir de ne pas se cacher, en plein jour, sur cette grande plage, face à la mer, avec le sentiment de liberté que cela procure.

Au bout de quelques instants, Anne-So, intriguée par mon immobilisme, finit par se rapprocher. En découvrant mon sexe dans cet état, son visage s’éclaire d’un sourire, à la fois coquin et surpris de la situation. Après tout, nous n’en sommes qu’au début de notre relation. Cette phase où l’on découvre encore les fantasmes et les gestes de l’autre. Je ne sais pas comment elle va réagir. Si elle va être gênée ou attirée. Mais je suis rassuré instantanément. Elle approche sa main et commence à me caresser. Elle me branle en plein jour, sur une plage publique. Le lieu même où nous reviendrons nous baigner dans quelque temps, avec les copains et la famille. Le fantasme est énorme, la masturbation bien réelle. Je voudrais qu’elle se penche et me suce, comme elle sait si bien m’offrir ça dans la salle de bain quand je sors de la douche. Mais là, ce serait trop. Pas possible de faire ça discrètement. Pas possible non plus de s’arrêter maintenant. Nous sommes trop excités tous les deux. Me vient alors une idée. Le long de la plage de Calais, des dizaines de cabanes  sont alignées.

Ses expériences anales passées

Les Calaisiens les nomment pompeusement “chalets”, et en sont très fiers! Nous décidons donc d’aller nous coller contre un chalet. Je rabats mon manteau devant moi, ce qui permet à Anne-So de garder mon sexe entre ses doigts. Je passe ma main sous le sien, et je redescends dans son pantalon. Contre toute attente, cette position n’est pas inconfortable et nous permet de marcher aisément. En avançant, je caresse son cul superbe. Mon majeur s’immisce entre ses fesses et arrive au contact de son petit trou. À ce moment, son anus est encore terra incognita pour moi. J’ignore tout de ses expériences anales passées. Mais mon doigt se fraie un chemin sans problème, et j’introduis une phalange dans son petit trou. Je ne le sais pas encore, mais elle est vierge de ce côté-là. Et nous marchons tous deux sur la plage, elle tenant ma queue droite; moi, un doigt planté dans son cul.

En arrivant devant le chalet, elle se plaque dos à la cloison, et je me colle à elle. Nous ouvrons nos manteaux; nous nous isolons à la vue du monde. Elle défait les boutons de son jean, et je glisse ma queue contre elle. Pratique de sortir avec une grande! Pendant de très longues minutes, nous restons à nous embrasser, à nous serrer l’un contre l’autre. Passionnément amoureux. Étonnés d’oser nous comporter ainsi. Heureux de découvrir que l’autre partage les mêmes envies, les mêmes désirs, nous demandant jusqu’où nous pouvons aller. Prenant garde à ne pas être repérés. Car désormais, il ne s’agit plus seulement d’être le sexe à l’air, cachés à la vue de tous par mon corps. Nous faisons carrément l’amour debout contre le chalet. Les jeans ne permettent pas assez de liberté pour introduire mon sexe dans son vagin. Nous nous contentons donc de nous frotter l’un contre l’autre. Mais les mouvements de nos bassins ne laissent aucun doute quant à la nature de ce que nous faisons. Nous gardons toujours un œil sur les rares promeneurs. Nous nous interrompons quand l’un d’eux passe à proximité. Je suis effervescent. Je sais que je ne pourrai pas me calmer sans jouir. J’ai trop envie d’elle. Elle m’excite trop. Cette femme grande et belle, au cul qui me rend dingue, et que je découvre quelque peu coquine.

Effervescent de désir

J’en suis fou, elle est celle que j’attends depuis des années. J’ai envie de jouir pour moi, de jouir pour elle. Mon plaisir est comme une offrande à son être, un sacrifice délicieux à ma déesse. Mais je ne peux que me frotter contre elle, le dessus de mon sexe contre sa vulve, le dessous contre le tissu rugueux de son pantalon. Mélange des sensations. Mais ça y est, je sens que je monte. J’accélère en tentant de me faire le plus discret possible. Je me serre contre elle pour sentir tout son corps contre le mien. Et je jouis! J’éjacule de belles grosses giclées de sperme épais et chaud qui viennent souiller son sexe et ses vêtements. J’étale cette semence contre sa chatte, son string, son pantalon. Mes jambes flagellent, elle me soutient quelques instants. J’ai le souffle court, elle est rouge d’émotion. Elle n’a pas joui, mais a partagé mon plaisir. Je la ferai décoller ce soir, pour la remercier, pour que nous ayons ça en commun.

Nous nous regardons en reprenant notre souffle. Nous n’osons pas vraiment parler. Tout étonnés que nous sommes de nous découvrir. Nous reboutonnons nos pantalons. Elle, sur son sexe maculé, moi, sur ma verge poisseuse du mélange de sperme et de mouille, de cette fusion de nos plaisirs. Et nous partons, main dans la main, vers la maison de sa grand-mère. “J’en ai partout, me dit-elle, je vais devoir aller m’essuyer en arrivant.” Nous sonnons et entrons, elle embrasse ses grands-parents, me présente, et s’éclipse aux toilettes tandis que je m’assieds sur le canapé, échangeant les: “Enchanté de vous rencontrer, Anne-So m’a tellement parlé de vous!” de circonstance. Je souris à cette mamie charmante, sous le regard débonnaire du papy. Mais mon esprit imagine Anne-So dans les toilettes, le pantalon sur les chevilles, debout et le string à mi-cuisses, essuyant mon sperme qui barbouille ses lèvres épilées, collant les poils de son mont de vénus en touffes gluantes. Et je souris. Extérieurement à Mamie… Intérieurement à la femme dont je suis amoureux. De nouveau se superposent l’image publique convenue, et la luxure cachée. Je savoure le prolongement de la situation qui a débuté sur la plage. Puis, Anne-So revient, tout sourire. Nous échangeons un regard qui en dit long, en prenant le thé avec des gâteaux. Les phéromones de plaisir envahissent la pièce.

Voilà, cher magazine, après tous ces témoignages lus dans tes pages, je voulais moi aussi raconter ma petite histoire. Offrir un peu de plaisir, en remerciement de tous ceux reçus ici. Si mon histoire vous plaît, chers lecteurs, je vous conterai comment j’ai initié Anne-So à la sodomie. Elle en est devenue fan. Avec le temps, son cul est maintenant un fabuleux fourreau souple et doux, dans lequel ma queue va et vient avec autant de facilité que dans son vagin trempé… Pour notre plus grand plaisir à tous deux. J’ai joui tant de fois dans son rectum que je ne saurais les compter! Mais c’est une autre histoire…

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Paule


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