Délicieuses tortures

La rédaction 26 août 2025

Lionel, 66 ans, va découvrir un endroit merveilleux : la salle des tortures ! Godes-ceintures, fouets, bandeaux, pinces-tétons…tout est présent pour vivre de délicieuses tortures !

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Lionel nous raconte son histoire de sexe amateur BDSM !

Bonjour interstron.ru, je vous lis depuis plus de vingt-cinq ans. Bonjour aux lectrices et aux lecteurs également.

Je m’appelle Lionel, j’ai 66 ans et je suis retraité, mais toujours très en forme.

Je suis marié à Marie-Claire, 57 ans, elle est blonde et a une grosse poitrine. Elle est toujours très chaude et demandeuse.

Elle en veut tous les soirs et avec deux orgasmes à chaque fois.

Les libertins coquins !

Avant de partir pour un déplacement de trois mois en Allemagne, elle m’avait acheté un magazine de petites annonces coquines.

Nous sommes des libertins. Il y a huit jours, j’ai répondu à une annonce et, quatre jours plus tard, j’ai reçu une réponse de Françoise, 58 ans, grande blonde aux cheveux longs et à la très grosse poitrine.

Elle avait aussi de très longs et gros tétons comme on pouvait le voir sur l’annonce à travers son chemisier. Elle m’a donné rendez-vous chez elle au Touquet, pour un week-end du vendredi au dimanche.

Le jour J, je suis arrivé au Touquet au lieu de rendez-vous dans une brasserie. Je suis entré et je l’ai remarquée tout de suite, elle était habillée comme sur la photo.

On s’est fait la bise, on a bu un café, deux cafés… Puis on est allés à sa voiture garée en face. Je suis monté côté passager, et nous avons roulé. J’ai vu sa main caresser sa chatte sous sa jupe qui était ras les fesses.

Au bout de cinq minutes de trajet, elle a eu un orgasme dans la descente de son garage

La pièce des tortures

En entrant chez elle, j’ai été très surpris par la beauté de l’intérieur de la maison. Nous avons pris la direction de la chambre d’amis au premier étage. J’ai posé mon sac sur le lit.

Elle m’a dit de me mettre à poil. Je l’ai rejointe dans le couloir. Elle était nue aussi. J’ai eu une grosse érection en découvrant son gros cul et son pubis bombé bien épilé.

Nous sommes descendus pour aller dans le jardin. Il y avait une pièce que j’ai appelé la pièce des tortures. En entrant, j’y ai découvert une croix de Saint-André, une roue hérissée de godes, des martinets, des cravaches,des fouets, des vibros et des cordes…

Et surtout, j’ai vu son mari, Georges, qui était attaché à la croix. Elle a pris un martinet et l’a frappé vigoureusement avec.

Je me suis assis sur un lit. J’étais toujours en érection.

Elle l’a frappé une trentaine de fois et est venue avec moi sur le lit. Elle m’a fait une fellation d’enfer. J’ai éjaculé dans sa bouche. Elle a avalé mon sperme, puis elle a rejoint Georges.

Sa petite bite de 10 cm était à son maximum de l’érection, elle l’a suçotée légèrement pendant quelques secondes. Il a joui presque immédiatement dans sa bouche.

Gorges, le mari soumis

Elle lui a enfoncédans le cul et l’a fouetté à nouveau. Je voyais de grosses marques sur son torse, mais n’entendais pas un bruit de plainte de sa part.

Le vendredi s’est passé comme ça, à se goder mutuellement et à se fouetter.

Le soir, au cours du repas, j’ai appris qu’à la suite d’une maladie, Georges était devenu éjaculateur précoce, et c’était pour lui procurer de nouvelles jouissances qu’ils étaient devenus sadomasochistes.

Pour Françoise, cela fonctionne aussi et lui procure des orgasmes fulgurants. Après le digestif, nous sommes passés dans la salle de projection. Il y avait un grand écran plat et des DVD en grand nombre.

Il y avait aussi un gode géant fixé sur un tabouret. On a regardé un de leurs films personnels. J’ai vu sur l’écran une troisième personne qui paraissait faire à peine 1,60 m.

Elle m’a dit que c’était une amie belge qui était veuve. Elle se faisait goder, prise dans un bondage qui passait sur sa poitrine et sur ses grandes lèvres.

Toujours sans aucun bruit, chacun s’est dirigé vers sa chambre après cette belle soirée.

Fouettée et sodomisée

Le samedi matin, j’ai été réveillé par une superbe fellation de la part de Françoise. Après l’avoir bien sodomisée, nous sommes descendus à la cuisine et là, grande surprise, avec Georges, il y avait Marie leur amie belge.

Elle était à poil. J’ai vu ses piercings aux tétons et au clitoris. Elle était déjà bien excitée. Je lui ai fait la bise. Françoise lui a roulé une pelle de chez pelle. Après le petit déjeuner, nous sommes retournés à la salle des tortures.

Françoise a pris Marie par les cheveux et l’a attachée sur la croix. Elle lui a enfoncé un gros gode dans la chatte et l’a fouettée au martinet. Je me suis assis sur une chaise très confortable.

Je voyais Marie qui avait le sourire aux lèvres. Georges a pris le fouet et a commencé à travailler Françoise qui se tenait debout. Ses fesses et ses seins étaient lézardés de coups de fouet.

Elle a arrêté de fouetter Marie et l’a détachée. Elle lui a roulé une autre pelle et a attrapé un gode-ceinture pour la sodomiser. Elle m’a demandé de m’allonger sur le dos sur le lit et d’attendre.

Elle a sodomisé Marie pendant trente minutes avant que cette dernière ne soit autorisée à venir s’empaler sur ma queue, toujours sous les ordres de Françoise.

Brigitte, l’amie trans

Dans le courant de l’après-midi, une femme est venue voir Françoise. C’était une amie transsexuelle très bien montée. Elle s’appelait Brigitte.

Dans le jardin, elle a enculé Georges pendant que Françoise s’occupait de son cul à elle avec le gode-ceinture. Pendant ce temps, Marie me faisait une très belle fellation.

Ensuite, je l’ai prise en levrette. Je l’ai fait jouir plusieurs fois de suite, mais toujours pas un bruit, c’était très silencieux. Elle m’informait de sa jouissance en me le disant dans le creux de l’oreille.

Nous sommes retournés dans la salle des tortures. Françoise a attaché Brigitte à la croix et lui a misavec des poids, ainsi qu’un anneau au niveau des couilles.

La fin du week-end s’annonçait ainsi. Ensuite, Françoise m’a raccompagné à la gare, non sans avoir fait un petit arrêt dans les dunes pour m’offrir une dernière fellation.

J’ai hâte de les revoir et j’espère être publié pour que ma femme lise tout ça ! Bises à toutes les lectrices !

À propos de l’auteur

La rédaction


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