La garce aime les geysers

La rédaction 17 octobre 2024

Anaïs 28 ans aime mettre à jour des infidèles. Elle donne de sa personne et baise avec les mecs de ses copines. Elle tombe alors sur un super coup.

Je m’appelle Anaïs, j’ai 28 ans et j’aimerais partager mon histoire de sexe amateur. Mon prénom, vient de l’hébreu, il est synonyme de « grâce ». Autant dire tout de suite que c’est un de mes traits physiques, mais certainement pas de caractère. Dans la vie, je suis une vraie garce et fière de l’être. Mon péché mignon ? Piquer les mecs de mes meilleures amies. Et croyez-moi sur parole, j’excelle dans mon domaine. Salope, moi ? Pas du tout, au contraire, je montre par les actes que les compagnons qu’elles choisissent sont de fieffés menteurs, coureurs de jupons et docteurs en infidélité. Autant vous dire que je prends deux fois mon pied. La première quand je baise avec l’impétrant en question, la seconde lorsque je présente les preuves du forfait à la pauvresse qui se ruine le mascara tant elle pleure ou éructe après son futur ex.

Pris dans mes filets

La dernière « victime » ? Élie. Un grand brun, charmeur, gouailleur, beau mec de vingt-sept ans qui sort avec Carla, une copine de collège. Quand j’ai repéré son manège et les regards qu’il posait sur moi à la dérobé, j’ai su. Je me suis efforcée de prévenir mon amie, rien à faire. Là je dois dire que je me suis surpassée, il ne m’a pas fallu quinze jours pour le mettre dans mon lit et dans mon cul ! Nous nous sommes croisés par hasard, Blois est une petite ville. Il m’a invité à aller boire un verre et deux heures plus tard nous étions chez lui. L’excitation que je ressens à l’idée de faire tomber une nouvelle proie est incommensurable. Je lui ai sorti le grand jeu, strip-tease devant le miroir de l’entrée, lentement je me suis effeuillée, lascive et ingénue, lui lançant des regards lourds de désir sexuel brûlant. Je venais d’acheter des bas, je lui ai proposé de choisir ceux qu’il aimerait que je porte pendant qu’il me baiserait. Il a opté les rouges, j’ai donc ôté les noirs pour enfiler sensuellement les résilles carmin avant de le rejoindre sur le lit. Je lui ai tendu mon portable en lui demandant si ça l’exciterait d’immortaliser nos ébats. Je n’ai pas eu besoin de lui dire deux fois. Il s’en est emparé et m’a fait prendre la pose, il était fou de ma chatte toute lisse.

Je dois avouer qu’il s’est avéré aussi bon amant que bon photographe. J’adore ma position en grenouille où l’on voit mon petit trou et ma vulve en clair-obscur. Très esthétique. Mais au plaisir des yeux s’est bientôt rajouté celui des autres sens. Torse et pubis entretenus niveau capillaire, Élie était une belle prise, sa queue en particulier était de la taille et de la forme que j’aime par-dessus tout. Je l’ai sucé en prenant tout mon temps, léchant ses bourses avec un regard enflammé, pompant son joli dard, le laissant coulisser loin au fond de ma gorge, j’ai même cru que j’allais réussir à le faire cracher mais monsieur a su se maîtriser et retenir une éjaculation qui aurait été aussi précoce que décevante. Il a tenu à me rendre la politesse, il a mis beaucoup de cœur à l’ouvrage avec une insistance toute particulière sur mon anus. Et j’ai une théorie sur le sujet, si un homme te bouffe le cul avec passion, c’est qu’il veut te la mettre dans le fion. Et bien, cette dernière n’a pas été prise en défaut, la suite des évènements l’a prouvé. J’ai eu le droit à la totale. Et si sucer, ce n’est pas tromper, alors sodomiser, c’est quoi ?

Toutes les positions pour jouir

Élie m’a possédée dans toutes les positions. Endurant le garçon ! Infatigable même. Et il m’a fait jouir dans chacune, ce qui n’est pas un exploit mais néanmoins assez rare. Sa maîtrise du missionnaire, en particulier, était assez fantastique. Les mains sous mes fesses, il m’aidait à me cambrer et à partir à la rencontre de sa bite, l’angle de pénétration était idéal pour m’amener au plaisir. Il m’a même fait quelque chose qu’aucun homme ne m’avait fait auparavant, il parvenait à rester fixe au-dessus de moi et à me faire aller et venir sur sa queue en me soulevant. Étonnant et jouissif ! J’ai explosé ainsi, en espèce d’apesanteur. C’est assez fantastique je dois bien l’admettre. La levrette a été le second stade, quoi de plus normal puisque Monsieur s’offrait le choix du trou. En fin stratège, il a pénétré ma chatte pour commencer. Le premier orgasme m’avait ouverte de partout et je dois avouer que j’attendais qu’il m’encule. J’adore ça ! J’ai toujours adoré me faire prendre le cul, depuis on tout premier amant, et j’avais à peine seize ans. Il m’a défoncée à quatre pattes, le lit grinçait, les lattes du sommier éructaient tant la contrainte des secousses était violente. J’ai bien cru que tout allait s’écrouler, mais non, le matériel a tenu le choc.

J’ai pris mon pied une seconde fois et c’est moi qui suis allée sortir sa queue de ma chatte pour me la foutre dans le cul. On n’est jamais mieux servi que par soi-même, non ? Pas une seconde d’hésitation, en même temps que je dirigeais le gland vers mon anus, j’ai senti les mains d’Élie s’arrimer à mes fesses. Une poussée douce, une seconde plus franche et c’était parti. Mon cul était ouvert et bien lubrifié, c’est rentré tout seul. J’ai frotté mon clito, je me suis glissé deux doigts dans le vagin et j’ai laissé Élie m’enculer à sa guise. Trop bon ! Il avait un coup de rein souple et ample, à la limite de l’expulsion complète, son sexe repartait à l’assaut de mon fondement avec une régularité de métronome. Ça chauffait de partout, mon cul bien sûr mais bientôt mes fesses également. Dans un timing impeccable, Élie a opté pour la levrette claquée, la meilleure. Me tenant par mon immense queue de cheval blonde, il me contrôlait parfaitement, je geignais doucement, une dizaine d’allers-retours dans mon anus et pan ! Une volée bien dosée sur une fesse, dix autres va-et-vient et c’était la seconde qui prenait.

J’ai joui une troisième fois, la dernière fessée a été la bonne, j’ai été emportée par l’orgasme. Mon petit trou a sursauté, convulsé, ma chatte, à l’unisson, a été prise se spasmes involontaires et c’est venu d’un coup. J’ai senti la bite sortir de moi au même instant et… une véritable douche de sperme s’est abattue sur mes fesses, mon cul, mon dos ! La vache ! La queue de ce type était un geyser. C’est ainsi que tout s’est fini, moi couverte de foutre, lui épuisé, vidé et… célibataire. (Enfin, célibataire, ne le répétez pas à mes copines mais je me suis fait prendre à mon propre jeu, lui, je l’ai gardé comme crush ! Il me baise au moins une fois par semaine !)

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