Incartade aux lois du mariage

La rédaction 29 juillet 2021

Je viens à mon tour vous livrer un « petit secret » dont j’ai un peu honte, mais qui m’a procuré un énorme plaisir. Il y a environ un mois, j’ai trompé mon mari avec un collègue de bureau sur lequel je fantasmais depuis son arrivée dans l’entreprise. Je m’appelle Mélanie, j’ai 34 ans et voici mon histoire porno.

Les courses dans le coffre

Un jour, alors que je faisais des courses au supermarché, je suis tombée sur lui pendant que je rangeais mes paquets sur le parking. Il faisait chaud et il s’est proposé de m’aider à tout mettre dans le coffre de la voiture. Il était sublime dans son T-shirt moulant sans manches. Son short laissait deviner de solides attributs et je n’ai pu m’empêcher d’y jeter un coup d’oeil furtif. Nous regards se sont croisés, et il m’a fait un joli sourire en s’approchant pour m’embrasser doucement. Nous étions dans un coin un peu isolé du parking.

J’étais si heureuse de pouvoir enfin assouvir mon fantasme que mes mains se sont immédiatement dirigées vers son sexe déjà tendu. Des frissons me parcouraient le corps. J’étais dans un tel état que j’ai aussitôt extrait sa queue de son short et j’ai commencé à la caresser. Il n’en croyait pas ses yeux. Nous étions si attirés l’un par l’autre que plus rien ne nous importait, à part notre plaisir.

Le coffre de la voiture était toujours ouvert. Je me suis assise sur le rebord avant de prendre son sexe entre mes lèvres. Le beau jeune homme m’a alors saisi la tête pour faire des va-et-vient dans ma bouche. Jamais je n’aurais pensé être un jour assez chaude au point de faire une pipe à un collègue sur un parking ! Il haletait, et j’ai vite compris qu’il ne serait pas long à jouir. Lorsqu’au loin, j’ai aperçu une femme avec son chariot qui se dirigeait vers nous, j’ai massé ses couilles et accéléré le rythme. Un divin jus tiède et épais m’a rempli la gorge. J’ai tout avalé avant de remonter pour l’embrasser à pleine bouche. La femme nous a gratifiés d’un superbe sourire en passant devant nous. Elle avait dû comprendre ce qui s’était passé…

Le chemin de campagne

Je ne souhaitais pourtant pas en rester là, car je n’avais pas eu mon compte. Nous avons décidé de nous donner rendez-vous quelques jours plus tard sur un petit chemin de campagne, après le bureau. Je mouillais d’avance à l’idée de cette rencontre coupable, et je n’ai cessé de me caresser pendant les jours qui ont précédé cette incartade aux lois du mariage. C’était plus fort que moi, il fallait que je connaisse l’amour dans les bras de cet homme !

Lorsque nous nous sommes retrouvés, j’ai tout de suite pris entre mes mains sa belle bite chaude et déjà bien raide. Nous avons renouvelé notre première opération et je l’ai branlé plus doucement, cette fois, avant d’approcher mon visage pour l’engloutir dans ma bouche. Ma chatte était bouillante et je me suis déshabillée pour qu’il vienne me lécher. J’avais tant attendu ce moment que, lorsque sa langue s’est posée sur mon minou inondé, mon premier orgasme a été fulgurant. J’ai joui en tenant sa tête bien calée entre mes cuisses.

Puis, j’ai pris position à quatre pattes sur le siège passager et je lui ai demandé de me pilonner avec force. Mon beau mâle m’a saisie par les hanches et s’est enfourné dans ma chatte d’un mouvement sec. Il me donnait de grands coups, et je ne pouvais retenir des paroles obscènes. Je lui demandais de me défoncer, de me faire jouir.

Tout à coup, il est sorti de ma chatte et a collé son gland contre mon anus. Mon mari ne cessait de me demander de lui offrir mes fesses, mais j’avais toujours refusé. Pourtant, à cet instant, je me sentais bien incapable de lui interdire de prendre possession de mon oeillet. Il a déposé un filet de bave sur mon petit trou et il s’est enfoncé en moi. Contrairement à ce que j’avais imaginé, je n’ai ressenti aucune douleur et, bien vite, un plaisir immense m’a submergée. Je me caressais le clitoris pendant que sa queue m’écartelait. » Plus vite, plus fort ! « , les mots sortaient de ma bouche sans que je puisse les contrôler. Quelques minutes plus tard, il s’est retiré pour déverser son jus sur mes fesses. J’étais heureuse !

Notre relation a été sans lendemain, mais je garde un fabuleux souvenir de cette escapade en campagne.

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