J’ai frayé avec mon poissonnier
28 mai 2024Véronique, 52 ans, trompe son mari avec le poissonnier pour être enfin satisfaite.
Je serais heureuse de lire mon histoire dans un prochain numéro, mon histoire dans un prochain numéro, j’aimerais en faire profiter les lecteurs et encourage d’autres femmes à franchir le pas comme je l’ai fait… Tout cela grâce à interstron.ru. Cela ne fait que 6 mois que j’ai découvert votre revue, un inconnu l’avait mise dans ma boîte aux lettres! Je l’en remercie d’ailleurs. Mariée depuis plus de 20 ans, j’ai toujours autant besoin de sexe, alors que la libido de mon mari ne me satisfait plus. Je me masturbe depuis des années avec un sextoy en fantasmant sur un autre homme. Éric, mon poissonnier. Chaque fois que je vais acheter du poisson, il me fait la bise et quelques compliments… C’est grâce à la lecture de votre revue que j’ai eu le courage de l’inviter à la maison pour boire un verre. Il était d’accord pour venir dans la soirée, après sa journée de boulot. Cela tombait très bien parce que mon mari travaillait à ce moment-là. Je me suis dépêchée de rentrer avec mes courses pour me préparer à recevoir Éric. Voici mon histoire de sexe.
La levrette du poissonnier
Après la douche, j’ai juste enfilé une chemise de nuit transparente, sans culotte, ni soutien-gorge. La tension était à son comble lorsqu’à 19 heures, j’ai entendu que l’on sonnait à la porte. Éric était bien surpris de me trouver dans cette tenue. Il avait l’air de bien apprécier aussi. Je lui ai dit que j’aimais bien me mettre à l’aise à la maison, le soir, pour regarder la télévision. Il m’a embrassée sur la bouche tout de suite, en me serrant fort dans ses bras. J’ai servi l’apéro et nous nous sommes assis sur le canapé. Il a retroussé ma chemise et j’ai fini par l’enlever complètement. J’étais toute nue devant lui. C’est par les seins qu’il a commencé à me caresser lentement. Sa langue a pris bientôt la relève sur mes tétons, pendant que ses mains tripotaient mes fesses. J’ai réussi à baisser son pantalon et j’ai plongé une main dans son slip. La verge de mon poissonnier était toute visqueuse et glissait entre mes doigts comme une anguille. Je l’ai masturbé doucement, car je ne voulais pas le faire éjaculer trop vite. Je voulais qu’il me pénètre. Je me suis mise à quatre pattes. Éric m’a prise en levrette.
Pendant qu’il me chevauchait, il m’astiquait le clito d’une main habile. Au bout d’un moment, son gland a dérapé et s’est retrouvé dans mon petit trou. Je ne sais pas s’il l’a fait exprès, mais je n’ai rien dit et je l’ai laissé faire. Il a enfoncé sa teub délicatement entre mes fesses. À ma grande surprise, elle est entrée assez facilement. Nous étions très lubrifiés. Il a commencé des va-et-vient, sans forcer. C’était vraiment très agréable pour une première sodomie, surtout qu’il continuait à me titiller le petit bouton. Ses coups de bite se sont accélérés. Sa respiration est devenue haletante… Il a déchargé dans mon croupion. Quand il s’est retiré, j’ai serré les fesses car je voulais garder sa laitance le plus longtemps possible au fond de moi. Il m’a allongée sur le canapé pour me faire une minette que je ne suis pas près d’oublier.
Avant de partir, il m’a embrassée en demandant s’il pouvait revenir me voir. Quand mon mari est rentré, j’étais déjà au lit en pensant à cette belle soirée passée avec mon poissonnier…
(Image à la une : Getty Images)
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Ludo
Bonjour,
Il a de la chance ce poissonnier