L’épine et la tige
7 juin 2020Georges, 65 ans nous raconte son histoire de sexe peu banale avec Laure, sa voisine divorcée…
Il m’est arrivé, la dernière fois, une histoire de sexe peu ordinaire. Je suis retraité et je vis seul dans un appartement. Deux étages au-dessous de moi, une jeune femme, Laure, habite avec sa fille. Elle est divorcée, elle a une quarantaine d’années. On se connaît bien car je bricole beaucoup et je rends des services dans l’immeuble et les pavillons en face.
Au mois de mai, l’an dernier, dans la rare période de beau temps, un lundi, elle revenait de conduire sa fille à l’école, et moi je rentrais. Elle est descendue de sa voiture avec précaution, en poussant de petits cris. J’étais étonné et je lui ai demandé ce qu’il lui arrivait. Elle m’a expliqué que la veille, elle était allée dans les bois ramasser du muguet avec sa gamine. Elle était en robe et, en chahutant, elle était tombée sur des épines. Elle pensait ne pas avoir tout retiré et m’a confié qu’elle allait certainement passer voir son médecin. Je lui ai proposé de regarder. Elle m’a répondu que ce n’était pas possible, que c’était une zone intime. Je lui ai rétorqué que j’avais bien compris, mais qu’à mon âge, j’en avais vu d’autres…
On était devant sa porte. Je suis entré avec elle. Je lui ai demandé de poser un pied sur une chaise et de relever sa robe. Elle a rougi, mais elle l’a fait. Je me suis accroupi et j’ai regardé. Elle avait une épine près du bord de sa culotte blanche. J’ai délicatement écarté le tissu et découvert sa vulve. Elle a protesté en me demandant ce que je faisais. Mais elle avait une autre épine, plantée entre la base de son sexe et l’anus. Je le lui ai dit posément. Je me suis relevé, et je lui ai proposé de les lui ôter. Je lui ai suggéré de placer une couverture sur la table de la salle à manger, et je lui ai demandé de me donner des cotons-tiges, une aiguille, une pince à épiler et de l’alcool à 90°. Elle m’a apporté tout cela et je l’ai priée de relever sa robe et de s’étendre sur la table. Elle a hésité, rouge comme une tomate, puis elle s’est allongée sur le dos. Je lui ai mis un coussin du fauteuil sous la tête. Avec la pince, j’ai retiré l’épine sur l’intérieur de la cuisse près du bord de la culotte et j’ai désinfecté avec de l’alcool et un coton-tige. Elle se laissait toucher sans problème. J’ai pris la culotte à la taille pour la baisser. Elle a protesté. Elle avait honte. Je l’ai rassurée, et elle m’a laissé ôter ses dessous. Mais elle a mis les deux mains sur sa touffe très fournie. J’ai retiré ses mains, je lui ai fait plier un peu les jambes et je les ai écartées. Son sexe s’est ouvert. Je sentais sa bonne odeur.
Toujours très “professionnel”, j’ai attaqué la deuxième épine. J’ai eu un peu plus de mal, mais j’y suis arrivé. Je ne me privais pas au passage de toucher les lèvres de son sexe. Elle mouillait légèrement. Je lui ai suggéré de se tourner afin que je puisse vérifier qu’il ne restait pas une vilaine épine quelque part. Je lui ai fait poser la tête sur le coussin. Elle avait le derrière en l’air. J’avais une vue magnifique sur son petit trou, ses fesses et son sexe. J’ai pris mon temps en examinant ses plis presque un à un. Elle commençait à mouiller beaucoup, et l’odeur de son abricot devenait très forte. Je lui ai scruté la fente par-derrière en lui écartant les grandes lèvres. Elle se laissait faire et apparemment, cela lui plaisait.
Puis, je lui ai demandé de se remettre sur le dos, prétextant de vérifier que rien ne se cachait dans sa toison. Là, elle m’a prié d’arrêter car ça l’excitait, m’a-t-elle avoué. J’ai rétorqué que ça ne faisait rien mais qu’on ne pouvait pas prendre le risque qu’il reste quelque chose. Je lui ai caressé le sexe et j’ai sorti son clitoris. Elle a gémi : “Oh non, pas ça.” Je me suis approché de son oreille et je lui ai soufflé de profiter sans se poser de questions. Puis, je suis retourné à son sexe et j’ai commencé à la lécher et à téter son clitoris. Elle a gémi et m’a caressé la tête. Notre jeu a duré un peu, et d’un coup, elle a crié en m’envoyant des giclées de mouille. Elle a repris son souffle et elle s’est assise. Elle avait un peu honte, ça se voyait. Je lui ai dégrafé sa robe et son soutien-gorge. Devant son étonnement, je lui ai dit que c’était juste pour le plaisir de regarder et de caresser ses seins. Elle a souri et l’a retiré elle-même. Je l’ai frôlée. Là, elle m’a pris par la main, m’a emmené à la salle de bain, m’a dévêtu et m’a longuement masturbé devant la baignoire pendant que mes doigts se promenaient sur son corps. Elle a regardé ma queue envoyer des saccades de sperme. On s’est encore caressés et on s’est rhabillés, car l’heure tournait. Sa fille allait bientôt sortir de l’école. Elle devait aller la chercher.
Je lui ai dit qu’il faudrait que je contrôle pour voir si ça cicatrisait bien. Deux jours après, elle est passée un soir chez moi. Elle a enlevé sa robe. Elle était nue par-dessous. Je me suis déshabillé, nous sommes allés dans la chambre et nous avons fait l’amour comme des fous. Depuis, elle vient presque toutes les semaines, ou bien je vais chez elle. Quand elle a ses périodes, elle me suce à fond. Vive le muguet !
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« J’ai commencé à me branler doucement devant elle. Elle m’a tendu le collant résille. Je l’ai disposé autour de mon barreau de chair tendu à craquer et j’ai continué à me toucher, en la regardant droit dans les yeux. J’étais tellement échauffé que ma timidité naturelle s’évaporait ! Elle m’a demandé de rester là, debout. » Joao.
Je m’occupe beaucoup de ma voisine
« Puis je l’ai prise. Le gémissement qu’elle poussa quand je m’enfonçai en elle trahissait le désir qu’elle avait d’être possédée. Son vagin était profond et doux, un délice où ma verge ne demandait qu’à s’abîmer de plaisir. Je lui faisais sentir toute la longueur de mon sexe et elle réagissait quand mon gland frappait au plus profond d’elle. » Quentin.
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