Un joyeux méli-mélo

Je m’appelle Fabrice, j’ai 40 ans et j’aimerais partager une histoire de sexe amateur. Ma compagne Hélène est l’objet de ma vénération inconditionnelle. C’est une jeune trentenaire brune avec des cheveux d’ébène, des lèvres immenses qui s’ouvrent sur des dents blanches éclatantes. Je l’idolâtre et elle me fait bander tout le temps, depuis que je l’ai rencontrée, je n’ai jamais été aussi endurant !

Ses désirs sont des ordres

Je l’aime tant que j’ai eu envie de la voir prendre du plaisir autrement qu’avec moi. Je voulais tout lui donner, tout sur un plateau, tous les vices sexuels auxquels elle pourrait succomber seraient les miens ! Plus égoïstement, je voulais aussi voir un homme qui serait séduit par sa beauté et sa sensualité et qui saurait qu’elle m’appartenait. Hélène avait des vues sur une amie à elle, Lola, une jolie blonde que je trouvais elle aussi ravissante. J’ai été surpris qu’elle me parle d’une femme quand je lui ai demandé ce qui lui ferait plaisir, mais c’est bien ce prénom qui est venu à sa bouche. Suivi de près par celui de… Emile, qui était un de ses anciens amants que j’avais tendance à voir comme un ennemi. Je n’étais pas ravi de cette proposition, mais Hélène voulait aller au bout de son fantasme en baisant avec Emile et Lola, le tout sous mes yeux !

La gourmande, je voulais lui donner un plaisir et elle m’en réclamait d’autres ! J’ai tout de même accepté, l’excitation à l’idée de la voir baiser à trois étant plus forte que mes appréhensions. Elle a mis les intéressés au courant de notre idée et tous les deux ont mordu à l’hameçon. Pas difficile, Hélène est irrésistible pour n’importe qui croise son chemin. Nous sommes allés chez Lola qui, à 30 ans, vit encore dans une sorte de studio d’étudiante, ça ajoutait du piquant à la scène. Après quelques verres, les filles, conscientes que ça nous excitait, se sont mises à se rouler des pelles sur le petit canapé. Nous nous sommes écartés avec Emile pour les regarder faire et nous chauffer gentiment en les voyant se tripoter.

Que la partie de baise commence !

La blonde et la brune, deux lianes toutes fines, l’une à la peau diaphane et l’autre plus dorée. Elles se sont déshabillées en se caressant et en s’embrassant. Emile me guettait du regard. “Te gêne pas, moi je regarde !” je lui ai glissé. Il s’est rincé l’œil et a dégagé une érection de belle taille de son pantalon. Il a passé sa main imposante sur son pieu en se l’astiquant avec une belle énergie. Les filles étaient désormais à poil sur le canapé, il s’est mis nu lui aussi pour se sentir plus libre et s’est avancé vers elle à quatre pattes par terre pour arriver à hauteur de leurs chattes. Il a mis son visage entre les cuisses de mon Hélène et s’est mis à la lécher tandis que ma douce caressait les seins de son amie Lola assise à côté d’elle. La bouche encore pleine de la mouille de ma compagne, Emile est passé à la chatte de Lola pour mêler les saveurs de leurs deux cyprines. Les femmes frétillaient comme des femelles en rut. J’ai pris des photos de ce joyeux tableau avec leur accord. Quand elles ont été bien échauffées par les cunnis d’Emile qui passait d’un sexe à l’autre, en caressant une de la main pendant qu’il léchait l’autre, elles ont eu envie de s’amuser avec sa queue.

J’ai eu droit à cette jolie scène que représente deux femmes qui se jettent aux pieds d’un homme, côte à côte, pour le sucer et se disputer sa queue. Celle-ci a voyagé de bouche en bouche, leurs langues se sont enroulées tout autour, leurs bouches ont caressé ses bourses, leurs mains se sont nouées autour de son vit gonflé de désir, luisant de leur salive. Il n’y avait plus qu’à honnorer ces deux madonnes avec pour leur montrer sa reconnaissance d’avoir subi pareil traitement ! Quant à moi, je profitais du plaisir d’assister à ce jeu érotique autour du sexe de mon rival. Hélène semblait y prendre goût et à mon excitation s’est mêlée un peu de peur de la perdre, mais je n’en ai bandé que plus fort. Emile s’est assis dans le canapé, installé profondément dedans, et mon Hélène s’est mise à califourchon sur cette queue raidie par ses soins. Elle s’est encastrée sur lui, son buste applati contre le sien, sa bite bien plantée en elle. J’en avais une vue plongeante. Les mains puissantes d’Emile l’enveloppaient et la pressaient contre lui pendant qu’elle faisait basculer son bassin afin de prendre sa queue au coeur de son sexe. Je sais qu’elle aime les pénétrations vaginales profondes…

Pendant ce temps, Lola lui caressait les fesses tendrement, ce qui semblait donner encore plus d’élan aux mouvements de hanches de ma chérie. Hélène a pris la place d’Emile pour se retrouver assise sur le canapé, il était désormais sur elle, toute sa puissance bandée vers son corps. Lola, assise à côté d’elle, a glissé sa tête entre eux deux pour la poser sur le ventre de son amie et continuer à sucer Emile. Elle avait son joli visage qui le pompait, et son corps aux jambes écartées sur le canapé était accessible à ses deux acolytes. Emile lui caressait un sein pendant qu’il embrassait ma femme sous lui et ma femme avait un bras autour du corps de Lola et lui caressait la chatte en même temps. Un méli-mélo de corps où surnageaient une main branlant un clito, une bouche suçant une bite, deux autres scellées par un baiser… Pour finir, Emile s’est posé, nu, sur le dossier du canapé, et ma belle s’est mise à le sucer avec fièvre à quatre pattes entre les cuisses de son amant. Elle était tellement bonne que je n’ai pas pu résister à venir derrière elle pour la prendre en levrette pendant qu’elle lui taillait une pipe.

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