La Gaule de Lyon
1 octobre 2021Enfin ! J’ai été mutée à Lyon. Des mois que j’attendais cela et ma société a finalement accédé à ma demande. Me voilà donc installée dans le très chic sixième arrondissement, seule, désespérément seule. Ne pas avoir de vacances estivales n’est pas un problème pour moi en revanche pas de sexe, en résidant au cœur de la capitale des Gaules. Inenvisageable ! Heureusement pour moi j’ai repéré Alex, le beau gosse trentenaire du palier d’en face. Sportif tous les deux. Il m’a très vite invitée à courir avec lui au bord du Rhône et nous avons sympathisé. Mais côté drague, zéro pointé ! Rien… Je m’appelle Amélie, j’ai 27 ans et voici mon histoire de sexe.
La cabine d’ascenseur
J’ai donc pris l’initiative. De retour d’un dix kilomètres je lui ai dit que les six étages à pied me paraissaient insurmontables et nous avons emprunté le vieil ascenseur à cabine en bois, exigu et grinçant. Alex n’a rien vu venir, je me suis collée à lui, il sentait bon la sueur fraîche de l’effort et son sourire n’avait d’égal en séduction que ses pectoraux qui se soulevaient avec une masculinité prometteuse. J’ai donc joué le tout pour le tout et après que mes seins se soient plaqués contre son torse, ce sont mes lèvres qui ont épousé les siennes et j’ai entendu un «enfin» libérateur. Et alors que sa langue se lovait autour de la mienne, j’ai senti les élans liminaires d’une érection digne d’un taureau.
J’ai passé les mains sous son tee-shirt moulant, un toupet de poils au-dessous du nombril, la dureté des abdos puis sa poitrine imberbe et sculptée. Lui aussi a poussé son avantage et est parti explorer mon arrière-train callipyge. Il a semblé surpris que je ne porte pas de culotte, il a donc pu jouer un moment avec mes deux orbes toniques puis a essayé de glisser ses doigts vers mon petit trou. Second étonnement dans son regard, il a dû se dire que c’était son jour de chance, car loin de refermer mon cul pour lui en interdire l’accès, j’ai détendu mes muscles fessiers pour lui libérer la voie. J’apprécie qu’on s’occupe de ma rondelle sensible et j’adore la sodomie. Le pieu d’Alex a retenti de nouveau contre ma cuisse, j’ai osé une main et j’avoue avoir conçu quelque inquiétude vis-à-vis d’un éventuel enculage. Monsieur était réellement membré comme un âne.
La cabine s’est arrêtée à notre étage. J’ai enlevé mon croc-top sur le palier. Il a apprécié mes seins toniques et a vite ouvert sa porte. Nous ne sommes même pas allés nous doucher, nous n’étions que des corps en fusion, des libidos exacerbées qui ne demandaient qu’à être exorcisées par une baise dans les règles de l’art.
Sa chambre, dans les tons taupe était en ordre (c’est fou ce qu’une femme peut remarquer comme détails incongrus y compris au pinacle de l’excitation !), je lui ai fait une petite prise de judo qui l’a renversé sur la couette, il m’a entraîné dans sa chute dans un ippon fripon. La suite, du reste, a tenu plus du combat que de l’amour il est vrai.
Engloutir son chibre
Je découvrais enfin sa bite. Un mastodonte, un obélisque de chair circoncis et rose. J’ai eu des copains bien équipés mais là, ça dépassait l’entendement. J’ai ouvert les hostilités et j’ai sucé le monolithe frémissant. Lui jouait avec mes beaux nibards et mon sexe. Il a grogné de plaisir en me trouvant lisse et trempée d’excitation. Ses doigts sont vite entrés en moi, dextres et doux, il a branlé ma fente avec beaucoup de talent tout en me regardant le piper avec avidité. «Bouffe-moi les couilles », j’en aurais défailli, dirty-talk et bourses offertes, un doigtage parfait en cours, rien ne pouvait plus m‘arrêter.
J’ai léché son paquet avant de laper de nouveau la hampe et d’avaler encore et encore ce chibre fantastique. De son côté Alex n’avait pas perdu le nord et j’ai senti ses phalanges quitter le cocon désormais évasé de ma chatte pour des contrées plus … difficiles d’accès dirons-nous. J’ai écarté les fesses afin de donner libre cours à ses désirs. J’ai adoré sa façon d’approcher ma zone anale tout en légèreté précautionneuse.
Message reçu, pourquoi ne pas essayer ? J’ai abandonné ma proie bandée à l’extrême, j’ai fait un roulé-boulé pour me retrouver dos à lui, en position de levrette, totalement soumise. J’ai respiré lentement, à fond, et je l’ai tué en lui demandant de m’enculer.
Alex en amant expérimenté m’a d’abord offert un anulingus de folie, il a assoupli mon anneau un bon moment, je me branlais le clito tout en savourant les qualités de lécheurs de mon beau voisin. Il pénétrait mon cul et, de sa langue puissante, il élargissait lentement mon œillet, un forage en bonne et due forme. L’instant tant attendu et tant redouté à la fois est arrivé. Il s’est glissé entre mes jambes, j’ai cambré les reins et j’ai senti le gland se poser au centre de mon anus. J’ai exercé une poussée sur mon sphincter, j’ai expiré à fond et j’ai fait signe à Alex d’y aller.
Quelle sensation que ce foret perçant mon puits intime ! Je me suis ouverte jusqu’à ce que la couronne se loge en moi. Sans cesser ma masturbation clitoridienne, j’ai propulsé mon cul vers lui, m’empalant moi-même sur ce pieu dressé, maîtrisant l’avancée millimètre par millimètre de cet anaconda fertile. Jusqu’à sentir ses couilles se coller à ma fente poisseuse de mouille. Il était entièrement dans mon trou du cul le petit salaud ! Et Dieu que c’était bon !
Quelques secondes d’acclimatation puis le premier mouvement de recul, et le va-et-vient a été lancé. Il m’a sodomisée de toutes ses forces, me soulevant presque comme une vulgaire poupée de chiffon, quel pied ! La testostérone parlait à plein régime, j’ai joui dans une ignition simultanée de mon bouton et de mon anus. Je griffais les draps, l’orgasme m’envahissait, Alex est alors sorti de moi et j’ai senti son sperme se déverser sur mon sillon, nappant tous mes orifices. J’ai accompagné les derniers soubresauts de libération en glissant mes doigts dans sa crème douceâtre et en me pénétrant de partout.
L’été s’est déroulé ainsi, entre sport et sport en chambre. Lyon porte décidément bien son surnom de capitale des Gaules … et quelles Gaules !
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