Le plus beau cabaret du monde !

La rédaction 16 juin 2024

Luc, 28 ans, travaille dans un cabaret où il est considéré comme un gay. Petit à petit; il dévoile son vrai visage et se tape absolument toute la troupe du spectacle dont la patronne du cabaret !

Bonjour à toute la rédaction d’interstron.ru et à tous les lecteurs. Le récit que je vais vous raconter peut vous paraître un peu long, mais il s’est déroulé sur plusieurs années. Et je crois qu’il n’est pas banal… Jugez-en par vous-même. Je me prénomme Luc, j’ai aujourd’hui 28 ans, et les faits que je veux vous rapporter ont débuté il y a huit ans. Voici mon histoire de sexe.

Les filles de la troupe très détendue

Ma passion pour la couture et les costumes me vient du cinéma. Dès l’adolescence j’ai voulu travailler à la création de costumes. À 18 ans, je suis sorti de ma scolarité avec deux diplômes afin de pouvoir exercer mon métier, mais durant deux années, à part des ourlets et des retouches en tout genre pour les amis et la famille… rien ! C’est à 20 ans révolus que j’ai trouvé un travail à mi-temps dans un petit cabaret de province dont je tairai le nom. J’ai commencé par retoucher et ajuster les costumes des cinq danseuses. Puis les mois ont passé et, je ne sais pas si c’est mon métier ou ma timidité, mais les demoiselles ont commencé à me considérer comme une copine. Même la patronne m’avait pris parce qu’elle me pensait homosexuel et se disait que ses filles seraient tranquilles avec moi. J’avoue les avoir quelque peu encouragées à y croire, car la situation avait bien des avantages.

Ces mois ont été passionnants, et je me suis retrouvé à faire partie de la troupe, à part entière. Mon contrat a gonflé également. J’étais là à chaque représentation pour aider aux changements de costume, pour ajuster les dessous, etc. J’étais là au milieu de ces cinq créatures sublimes qui se promenaient nues sans faire attention à moi. Elles chahutaient, se mettaient la main au cul ou se pinçaient les tétons sans même y penser… Et moi, j’étais en érection pendant toute la soirée à chaque fois. Je me masturbais comme un fou sur les affiches des mes collègues de travail. Je ramenais des photos chez moi. Je portais systématiquement des slips serrés sous ma blouse pour ne pas me faire repérer.

Quatre filles pour une queue

Un jour que j’arrangeais un chapeau sur l’une des filles, deux autres danseuses pas indifférentes l’une à l’autre se sont embrassées sur la bouche devant nous. Une belle pelle et une main sous la jupe ! J’ai bandé illico, et la fille assise contre moi s’est penchée pour attraper une brosse. Du coup, elle a senti ma bite. Elle a tâté pour vérifier et elle s’est écriée : « Eh, les filles, notre petit pédé bande comme un cerf ! » Tout a basculé.

« Allez, montre-nous ce que tu as dans le pantalon… Depuis le temps qu’on ne te cache plus rien, nous ! » Elles se sont précipitées sur moi. La fille assise devant moi a sorti ma bite. « Eh, regardez, c’était un crime de nous cacher une belle queue comme ça ! »

Quatre filles se sont alors mises à me peloter et à me branler. Ma verge a fini dans une bouche accueillante. Trois minutes plus tard, je giclais dans leurs doigts et je maculais le menton de ma pipeuse. Elles ont applaudi en criant. La patronne est sortie de son bureau et m’a découvert la bite à l’air, mon sperme sur le visage de sa danseuse. Elle a hurlé. Les filles lui ont expliqué la situation, et elle s’est approchée de moi. Elle a empoigné mon sexe toujours légèrement tendu. Elle m’a branlé pendant 20 secondes et a déclaré : « Personne ne le prend dans le cul avant qu’il ne m’ait baisée. Et rien ne se passe avant la représentation. »

Ce soir-là, les spectateurs et la patronne ont été ravis du spectacle, car les filles étaient bien chaudes et plus sensuelles que jamais. Quand le cabaret a été vidé de ses clients, la patronne a ordonné aux filles de me préparer. Elles m’ont déshabillé et sucé chacune leur tour, sauf la petite Lyonnaise (les quatre autres filles venaient des pays de l’Est), elle restait à part.

Le plus beau cabaret du monde 1

Baisé par la patronne du cabaret !

Puis, la patronne est entrée dans ses sous-vêtements. À 43 ans, elle était encore sacrément roulée. Les autres filles se sont écartées. Je suis resté assis. Elle s’est placée face à moi. Elle tenait une règle en plastique, je trouvais ça bizarre… Elle a mesuré ma bite. C’était encore plus bizarre. « 18 cm, pas mal ! » Elle a écarté son string, s’est plantée sur ma verge et m’a littéralement baisé ! Les filles se touchaient en nous regardant et nous encourageaient. La patronne s’est branlée le clitoris et a joui en couinant. Je me suis raidi pour la suivre, mais elle a crié : « Pas toi ! Je n’en ai pas fini avec ta queue ! » Elle s’est retournée, face au miroir, a viré son string et son soutif, puis s’est planté deux doigts dans le cul. Après quelques va-et-vient, elle m’a demandé de l’enculer.

« Allez, ça te connaît le trou du cul, petit pédé ! » Tu parles… C’était ma première sodomie. Elle a remarqué que j’étais un peu déboussolé… Une fille m’a empoigné la bite, a écarté les fesses de sa patronne et m’a guidé dans la grotte de madame ! Ça n’a pas duré bien longtemps. Les deux gouines pelotaient les gros seins de leur patronne alors qu’une troisième me caressait les couilles et sa propre chatte. La patronne a de nouveau gueulé, et je me suis vidé dans son ventre. Elle a simplement ramassé ses sous-vêtements en disant : « Ça fait un bien fou ! Je vous le laisse. Mais jamais avant la représentation, c’est clair ? »

Baisé toute la semaine avec une fille différente

Les semaines suivantes, je baisais une fille chaque soir avec ou sans l’aide de ses copines. Plus besoin de branlettes ! Seul petit bémol, la petite Lyonnaise qui ne participait pas, elle se contentait de regarder. Environ deux mois plus tard, on a fêté son anniversaire. Elle avait 22 ans. On a pris un verre tous ensemble dans la loge avec un petit gâteau. La patronne nous a ensuite invités à finir au bar…

Quelques verres plus tard, les filles se sont amusées à faire un show improvisé, intégral ! C’était chaud. Quand ça a été le tour de la Lyonnaise toute timide, elle a commencé à danser en se déshabillant. Je la dévorais des yeux. Les filles s’en sont aperçu et m’ont poussé sur scène. L’alcool aidant, c’est parti en vrille. On s’est retrouvés nus. Je bandais dur. On a commencé à se tripoter sous les encouragements des filles. Elle s’est baissée pour me prendre en bouche. Elles ont applaudi et sont montées sur scène pour nous rejoindre.

Je vais tâcher de vous décrire le plus beau souvenir de cette soirée unique : je prenais enfin la Lyonnaise en levrette tandis que les deux lesbiennes se bouffaient la chatte. Une fille suçait les seins de la patronne qui avait elle-même la tête entre mes jambes pour me laper les couilles et flatter le clito de la Lyonnaise au gré de mes coups de reins.

Après cette nuit-là, il y a eu beaucoup de changement. Encore quelques coups de bite par-ci, par-là, mais je faisais l’amour de plus en plus souvent à la Lyonnaise, et les autres filles se sont exclues d’elles-mêmes. Maintenant, nous sommes en couple depuis un peu plus de deux ans. Je travaille toujours au cabaret, trois des filles dansent encore, mais les deux nouvelles ne se doutent pas de tout ce qui s’est passé dans les loges ni sur scène ! Ma Lyonnaise ne danse plus depuis deux mois, car elle et son petit pédé attendent un heureux événement pour la fin de l’année ! Bisous à tous et à toutes, et bonne baise !

(Photo à la une et 1ère photo : Getty Images)

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« D’ailleurs, tout amoureux que j’étais de ma fraîche épouse, j’étais obsédé par le téton marron de Luce, un cercle parfaitement dessiné sur une peau hâlée, qui dépassait de son débardeur aux bretelles lâches. » David.

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« J’ai essayé de lui répondre sans loucher sur son décolleté. Ses questions se faisaient de plus en plus indiscrètes. À un moment, elle m’a glissé qu’elle avait repéré notre petit manège sous la table, pendant le repas. » Alain.


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