Les joies du cap

La rédaction 31 juillet 2024

Eleonore, 33 ans est libertine et réalise son rêve d’aller au Cap d’Agde. Elle fait la rencontre d’un couple qui lui propose de se joindre à eux.

Je suis très heureuse de vous écrire car je suis une fervente lectrice, même si je n’ai découvert votre magazine qu’il y a deux ans en passant devant un kiosque. Puisque de nombreux lecteurs vous font part de leurs histoires, je vais moi aussi vous conter l’extraordinaire aventure que je viens de vivre au Cap d’Agde. Voici mon histoire de sexe.

Le 18 juin, j’ai pris mon train pour le Cap, une destination qui me faisait rêver depuis dix ans déjà et que je n’avais jamais eu l’occasion de visiter. Célibataire, libertine et d’un caractère très ouvert, c’est dans cet état d’esprit que je me suis rendue sur les plages les plus chaudes des côtes françaises. À la gare, je me suis empressée de prendre un taxi jusqu’à l’hôtel où j’avais réservé une chambre. J’ai déposé mes valises, et je me suis vite changée pour découvrir les lieux.

Arrivée dans les dunes, je me suis installée sur ma serviette en prenant soin d’ôter mon soutien-gorge et de transformer mon slip en string pour mieux bronzer. Le spectacle autour de moi attirait les regards, et mes yeux se sont attardés sur un couple allongé un peu plus loin. La femme, très jolie et pulpeuse, recevait avec plaisir les coups de reins rapides et précis de son homme, un type plutôt bien charpenté. Elle semblait tant apprécier qu’elle avait meurtri le dos de son compagnon avec ses ongles. J’ai détourné la tête.

Une invitation à ne pas refuser

La vision de ce spectacle m’avait donné si chaud qu’inconsciemment, j’avais glissé mes doigts dans ma culotte pour apaiser mon clitoris gonflé. Mon majeur a pris le dessus et s’est introduit tout entier dans mon sexe ruisselant. Sans que je m’en aperçoive, l’homme s’est levé pour me convier à leurs ébats. L’idée d’une partie à trois me rappelait la fac et les plans avec Sandrine et Nadia, deux copines qui avait comme moi un tempérament de feu. Je n’ai pas hésité une seconde. En plus, j’étais venue pour m’éclater !

Très vite, j’ai pris la place de la femme car je lui enviais le sexe de son mari. Moi qui rêvais de me faire défoncer par ce genre d’engin, je n’ai pas eu bien longtemps à attendre. On aurait dit que l’homme savait déjà tout de mes préférences sexuelles car, sans plus attendre, il m’a demandé de lui tendre ma croupe et a pointé son gland sur mon petit trou. J’ai écarté mes fesses au maximum avec mes mains pour l’aider à entrer et, enfin, il s’est glissé en moi.

Dans le petit trou

Il savait s’y prendre. Il a commencé par un rythme lent pour m’éviter d’avoir mal. J’étais si excitée que c’est moi qui lui ai demandé d’augmenter la cadence. Pendant ce temps, à quelques mètres de nous, sa femme s’était emparée de deux belles bites qu’elle suçait avec vigueur. De mon côté, je ne voyais plus les regards autour de moi tant cette grosse queue me faisait planer. J’ai joui de nombreuses fois avant que mon bel amant ne gicle sur mon dos.

Le soir même, le couple m’a invitée à dîner. Depuis, nous sommes devenus des amis très proches. De retour à  Paris, ils m’ont présenté un de leurs potes que je ne quitte plus. Vous pouvez aisément imaginer ce que donnent nos rencontres à quatre !

(Image à la une : Getty Images)

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« Mais quel plaisir de sucer mon mec, à quatre pattes, le cul offert aux caresses des vagues et aux rayons du soleil ! Quand il a voulu jouir, je me suis accroupie à ses pieds et j’ai attendu la giclée, l’eau à la bouche » Marianna

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« Il s’est retourné, et j’ai pris sa belle bite dans ma bouche en lui lançant des regards coquins. Je jouais de ma langue sur son gland, je l’aspirais tout entier, je le suçais goulûment » Anne-Sophie


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