Ma puce dans le camping-car

La rédaction 4 février 2023

Mon histoire s’est déroulée un vendredi soir de septembre, nous partions pour un week-end en amoureux en Bretagne. Ma petite femme avait mis une robe légère et courte, avec de la lingerie très sexy. Nous avons pris la route avec notre camping-car. Quand nous avons quitté les grands axes, ma puce s’est mise à lire à haute voix un récit de notre magazine d’amour, interstron.ru. Cela commençait à la chauffer. Je roulais avec un oeil sur la route et un autre sur ma puce (ce n’était pas facile). Je m’appelle Denis, j’ai 43 ans et voici mon histoire porno.

Une puce aguicheuse

C’est alors qu’elle a posé ses pieds sur le tableau de bord pour se mettre bien à l’aise. Elle a largement écarté ses jambes et a tiré sur sa petite culotte. Toutes les voitures et les camions que nous croisions pouvaient se rincer l’oeil librement. Je n’ai pas pu résister à l’envie de prendre une photo. Elle a commencé à se mettre un doigt. Puis deux, puis trois… Sa petite chatte avait faim. Elle était très humide.

Son entrejambe brillait de mouille. Ça lui coulait de partout. De mon côté, j’avais du mal à me concentrer sur ma conduite. Mon sexe était très à l’étroit dans mon jean et il ne demandait qu’à sortir. Ma puce m’a supplié de trouver un petit coin paisible… Et vite ! En attendant, elle s’est faufilée sur la banquette arrière pour continuer sa séance de masturbation. Elle avait emporté des jouets pour le voyage…

J’ai fini par trouver le fameux petit coin tranquille qu’il nous fallait. J’ai pris mon appareil photo pour la mitrailler. Elle devait mouiller toujours autant car la serviette sous ses fesses était déjà trempée. Je me suis mis à l’embrasser. Je suis descendu doucement vers ses grandes lèvres charnues. J’ai dégagé son mignon clito d’amour pour le bouffer. Sa mouille abondante m’a procuré un plaisir fou.

Elle était surexcitée

Elle a sorti ma bite pour me sucer. Elle m’a léché divinement. Il fallait y aller doucement, l’excitation était à son comble. Elle m’a lapé les couilles et le petit trou, j’adore ça. Elle m’a prié de la prendre. Sa chatte était béante, au point qu’elle a ajouté deux doigts à ma queue !

Elle était surex’. J’ai caressé ses seins, je les ai léchés, j’en ai mordillé la pointe dure. Ça la foutait dans tous ses états. Pour finir en beauté, elle m’a demandé de la baiser par son tout petit trou. Nous y avons joui ensemble. Je me suis finalement retiré d’elle pour qu’elle puisse m’embrasser la queue. Elle aime la saluer après l’avoir utilisée. Je suis prêt pour d’autres aventures quand elle voudra ! Ker S.M. (elle comprendra…).

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