Migraines à la sénégalaise

La rédaction 24 juin 2021

Je m’appelle Nial, j’ai 36 ans et voici mon histoire porno: je pensais avoir tout découvert sur le sexe avec mon ex-copine, Fati, qui venait de me quitter. Après notre rupture, qui m’a brisé le cœur, j’ai démissionné de mon emploi à Dakar et je suis rentré chez moi, à Abidjan. Au début, j’ai habité chez des amis. Mes hôtes héber­geaient aussi, dans leur grand appartement, une copine séné­galaise, Saly. Elle logeait chez eux le temps de rentrer à Dakar, après avoir vendu son com­merce. Du haut de ses 1,82 m pour 65 kg, Saly est une belle femme et, comme toutes les Sénégalaises, elle savait se faire désirer. Pourtant, elle ne m’attirait pas trop. En plus, elle comptait repartir pour Dakar alors que moi, j’en revenais. Je m’étais retenu d’envisager quoi que ce soit avec elle.

L’apprenti docteur

Un soir, je suis rentré vers 23 heures. J’avais pris un pot avec des collègues. Encore perdu dans mes pensées et ma peine de cœur, je me suis couché dans ma chambre, située dans la partie haute du duplex. Contrairement aux autres jours, je n’ai pas tardé à m’endormir, pour me réveiller aux environs de 4 heures du matin. J’ai senti que l’on avait touché la plante de mon pied. Je suis sorti de mon sommeil et j’ai constaté que c’était ma jolie Sénégalaise qui bafouillait des excuses pour justifier cette intrusion dans ma chambre à cette heure tardive. « J’ai des migraines et je vou­drais savoir si tu as des cachets à me donner pour les calmer. » Sur le coup, j’ai eu du mal à croire ce que j’entendais. Mais je me suis rappelé une boîte de comprimés effervescents qui traînaient dans mes affaires. Je lui ai fait boire le cachet, et je lui ai conseillé de s’allonger un peu le temps que ça passe.

Elle a fait mine de réfléchir deux secondes, et s’est finalement couchée à côté de moi. J’hésitais sur la conduite à tenir. J’ai posé ma main sur sa tête, et j’ai commencé à lui susurrer des mots doux. Je me suis rapproché d’elle et mes caresses se sont propagées au fur et à mesure sur les autres parties de son corps. Je guettais des signes de protestation qui ne sont pas venus. Ma main est descendue de plus en plus bas sans rencontrer de résistance. Je me suis serré contre ses fes­ses, la queue tendue. Ma main, dans son exploration, a constaté que Saly ne portait pas grand chose sous son pagne… Mes mains baladeuses sont remon­tées sur sa poitrine et ont pris le pouls des seins. Ma belle Saly avait une poitrine menue et bien ferme.

Elle s’est enfin retournée pour prendre possession de ma bouche avec une violente passion. Surpris par cette fougue, j’ai hésité à me laisser aller. Je me sentais encore lié à Fati, mais c’était elle qui était partie, après tout.J’ai rendu son baiser à Saly en même temps que mes mains sont descendues jusqu’à son bas-ventre pour voir si elle était rasée. Ma bouche a quitté ses lèvres pour descendre s’oc­cuper de ses jolis petits seins, dont j’ai fait durcir les tétons en les pinçant entre mes lèvres. Elle a arraché ma bouche de ses seins et m’a embrassé à nouveau avec force, sa langue entrant et ressortant à me faire perdre la tête.

Je bénissais ces migraines sénégalaises. Ma queue, que ce traitement avait complètement réveillée, attendait avec impa­tience qu’on s’occupe d’elle. Mais ma chère Saly prenait son temps. Elle a fini par descendre sa main sur mon phallus, sans me déshabiller. J’ai enlevé mon slip. Elle s’est mise à me pomper la verge. Sa bouche montait et descendait sur ma queue bien raide. Elle s’est attardée sur mon gland et a fait tourner sa langue quelques minutes avant de reprendre son rythme ascen­dant et descendant. Il a fallu que je la couche sur le dos, que ma main aille explorer son sexe doux, qui était rasé de façon assez originale. Le contour de ses lèvres était dégagé mais elle avait laissé une raie de poils assez longs au milieu, ça faisait plutôt bizarre.

J’ai trouvé son clitoris et je l’ai fait jouer entre mes doigts pendant un bon moment, en m’inspirant de ses cris et de ses râles. J’ai décidé de lui faire don de « ma spéciale » : un bon cunniligus. Des seins, j’ai fait glis­ser ma langue le long de son corps, en faisant une bonne halte sur son nombril. Elle sou­pirait et gémissait toujours. Je suis descendu encore, j’ai commencé par prendre sa raie de poils dans ma bouche. Ma langue a exploré son pubis autour des lèvres, sans entrer dans sa fente. Elle avait de grosses lèvres moelleuses. Je retardais le moment de m’occuper de son clitoris, pour qu’elle n’attende que ça. Elle a attrapé ma tête avec ses deux mains et me l’a tapotée. J’aime sentir la main d’une femme sur ma tête quand je m’égare sur son minou.

Malgré sa grande taille, cette fille était d’une souplesse remarquable, je m’en suis rendu compte quand je lui ai plié une jambe pour conti­nuer mon travail de fond auprès de sa chatte. Quand j’ai sucé enfin son clitoris, elle a fermé les yeux et s’est régalée volup­tueusement. Elle se contor­sionnait avec grâce. Je lui ai introduit un doigt dans la chatte et j’ai constaté qu’elle était très étroite, malgré son excitation. Elle m’a encouragé à y bouger mon index par ses cris. J’ai ensuite fait entrer ma langue jusqu’à ce qu’elle me tire à elle et m’embrasse fiévreusement, satisfaite. Les cunnis sont vrai­ment ma spécialité.

Ma queue m’a alors rappelé qu’elle voulait parti­ciper à la fête. Malgré sa mouille abondante, Saly a eu du mal à me recevoir sans douleur. Elle m’a confié que cela faisait huit mois qu’elle n’avait pas été visitée. Avec douceur et précau­tion, en forçant un peu quand même, j’ai réussi à entrer en elle. J’ai attendu qu’elle s’habi­tue avant de commencer mes va-et-vient. Elle a même voulu s’asseoir sur moi pour contrôler la pénétration, ma queue très dure était très à l’étroit dans son vagin peu élastique, un vrai bon­heur !

Les hautes chaleurs d’Abidjan

Quand j’ai été au plus pro­fond d’elle, Saly a commencé à prendre beaucoup de plaisir, sa chatte épilée permettait à son clito de frotter contre mon pubis en même temps que mes coups de queue lui provoquaient des spasmes au bas-ventre. À la fin, elle a subi mes assauts en criant juste avant moi. Nous nous sommes endormis, totale­ment rassasiés tous les deux.

Ma migraineuse m’a avoué le lendemain n’avoir ja­mais fait l’amour avec autant de douceur, et elle a ajouté que, si elle ne devait pas retourner au Sénégal, elle me croquerait bien tous les jours. J’ai trouvé cela bien gentil, mais les compli­ments des femmes, je m’en méfie désormais. Quoi qu’il en soit, c’est ainsi que Saly a « raté » son avion deux fois pour ne finalement partir que huit jours plus tard. Entre-temps, elle ne s’est pas privée de me retrouver chaque nuit dans ma chambre. On en a profité pour se faire les photos souvenirs que je vous envoie.

Deux jours avant son dé­part, Saly m’a annoncé : « Les Anglais ont débarqué. » J’ai pensé qu’on ne ferait plus l’amour avant qu’elle ne quitte Abidjan et je suis allé dormir. Ma chère avait plus d’un tour dan son sac. Elle est montée se blottir contre moi vers 2 heu­res du mat’, en couinant et en m’embrassant. J’ai fait ce que je pouvais pour la satisfaire, mais elle voulait plus. Elle m’a dit qu’elle avait envie de ma queue. Après m’avoir bien pompé, elle m’a présenté son dos en me tendant un flacon de lubrifiant qu’elle avait apporté. Elle voulait que je la sodomise.

J’étais émoustillé. Je l’ai bien préparée avec mon majeur de façon à ce qu’elle soit bien ouverte et j’ai vraiment profité de ma première vraie sodomie. C’était sublime ! Elle connais­sait toutes les techniques du sexe ; par exemple, elle a réussi à me convaincre de lui faire l’amour par la chatte alors qu’elle n’avait pas fini de régler. Moi qui ai horreur du sang, là, c’était l’abandon total…

Elle est repartie à Dakar. Avant de s’en aller, elle m’a laissé en cadeau, en plus d’un ancien numéro d’interstron.ru, deux beaux ouvrages : « Kama Sutra : le livre secret » et « Petite encyclopédie illustrée du plaisir amoureux ». Depuis, Saly cherche à développer la relation à dis­tance. Moi, je suis parti pour une bonne série de conquêtes sexuel­les. J’espère en avoir d’autres à raconter, surtout qu’Abidjan me semble être la ville la plus hot d’Afrique de l’Ouest.

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  • Damako nopp

    Je suis un senegalais bien monté je vis à dakar pour celle qui veulent une partie de jambes en l’air je suis à vous

interstron.ru