Rencontre décisive
27 décembre 2022J’avais envie d’écrire cette lettre pour Mia, la fille la plus dévergondée, la plus douce, la plus enivrante que j’ai connu. Je dis « enivrante » et je pèse mes mots. Mia, c’est un peu comme un « sex on the beach », on a l’impression de boire un innocent jus de fruits, sans déceler la moindre trace d’alcool, mais elle vous retourne le cerveau avant que vous ayez pu finir votre verre. Je m’appelle François, j’ai 31 ans et voici mon histoire porno.
La chaleur montait
Nous nous sommes rencontré en boîte de nuit. Elle portait cette robe bleue électrique qui laissait ses épaules dénudées, et ses cheveux bouclés et sauvages caressaient sa nuque au rythme de la musique folle. Soudain ses yeux se sont posés sur moi, avec une intention très palpable. Son regard était figé, elle tissait un lien magnétique et invisible entre elle et moi. Un lien tellement puissant que ma bite n’a pu s’empêcher de se mettre à bander instantanément. Elle est allée chercher une coupe de champagne au bar, et elle me l’a tendue, tout naturellement.
« Tu sembles avoir chaud, j’ai pensé que ça pourrait te rafraîchir… Moi c’est Mia, et toi ? ». Cette femme canon prenait les devants avec un aplomb superbe, et j’ai cru tomber à la renverse lorsqu’elle m’a dit son prénom… avant de percuter qu’il fallait vite que je donne le mien ! « François » ai-je répondu bêtement, timidement même. D’habitude je suis d’un naturel assez entreprenant avec les filles, mais il faut dire que dans son cas, elle cassait réellement tous les codes. Je ne savais plus du tout quoi faire ou comment me comporter. J’en venais à contrôler le moindre de mes gestes, à bafouiller, à ne plus savoir quoi faire de mes mains…
« La musique est super forte ici ! » me cria-t-elle à l’oreille, alors que j’essayais de faire la conversation « Je suis sûre que tu as du bon jazz à me faire écouter chez toi… »
Du silence pour plus d’intimité
Là, pour être honnête, j’ai complètement halluciné. Cette femme, dont je ne connaissais absolument rien, et qui ne connaissait absolument rien de moi, voulait déjà découvrir mon salon ! Évidemment, je ne suis pas passé à côté de l’occasion. Je me suis jeté sur le premier taxi qui passait à la sortie de la boîte, et nous nous sommes rués chez moi, en se roulant des pelles sur le trajet, comme deux ados étourdis par leurs premiers émois. Sa bouche était une pâtisserie merveilleuse. Sa langue tournait autour de la mienne avec générosité, enlaçant les moindres de mes gestes. J’avais envie de la goûter, et plus encore !
Une fois chez moi, nous ne sommes finalement pas passés par la case « jazz » et nous sommes directement allés sur mon lit. Je l’ai déshabillée, et j’ai découvert avec une agréable surprise les deux plus beaux nichons de ma vie. J’en étais même un peu ému, ils étaient pleins, fermes, superbes. Je les ai mordillés, titillés, suçotés. Je voulais en avoir plein la bouche. On a baisé comme ça durant des heures et des heures, et nous nous sommes effondrés à une heure indécente, nus dans le lit, emmêlés l’un dans l’autre. Ses cheveux me rentraient dans le nez et les oreilles, mais je m’en fichais.
J’ai dormi à point fermé cette nuit-là, et ce fut le premier jour du reste de ma vie…
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