Les spécialités montagnardes
19 février 2023Je m’appelle Samira, j’ai 24 ans et j’aimerais partager mon histoire porno.
Le montagnard
On m’aurait parlé des sommets et des cimes des Alpes comme lieu idéal de villégiature il y a encore quelques mois, j’aurai ri à gorge déployée. Seulement voilà, entre cette époque (révolue) et aujourd’hui, il y a eu Mathieu, qui m’a définitivement persuadée que la montagne, ça n’est absolument pas le bagne. Bien au contraire ! Je passerai sur l’histoire de famille qui m’a amené aux portes de Chamonix, aucun intérêt. L’unique chose à savoir est que je suis partie en altitude à reculons, loin de moi l’idée que j’allais, aussi intensément, me rapprocher du septième ciel, du pinacle sexuel.
J’ai rencontré Mathieu dès mon arrivée. Ronchonne et la mine renfrognée j’ai décidé de me faire un plaisir sucré en sortant de la gare, il était derrière la billig et j’ai bien vu que j’avais une galette bien plus garnie que tous les autres clients. J’y suis donc retournée le lendemain puis le surlendemain, ma première impression s’est confirmée, j’avais un ticket avec ce beau brun à l’œil coquin. Timide, il m’a fait une cour un peu surannée du haut de ses quarante ans à peine et, pour tout dire, j’ai adoré ! À vingt-quatre ans, j’ai plutôt l’habitude d’être draguée et encore, c’est une litote. Il s’est décidé à m’inviter le quatrième jour, mais pas du tout pour un restaurant ou boire un verre, non, pour me faire découvrir « ses merveilleux paysages alpestres ». J’ai accepté, interloquée, mais curieuse. Bien m’en a pris.
Effectivement Mathieu connaissait des points de vue magnifiques que la brume de ce matin de printemps sublimait. « Franchement, as-tu déjà vu quelque chose d’aussi beau, d’aussi inspirant ? » m’a-t-il demandé, les yeux rivés à ses binoculaires.
Ne recevant aucune réponse de ma part, il a fini par lever le nez. Panorama à couper le souffle, je l’ai servi, il est devenu si rouge que j’ai bien cru qu’il était en apnée. Bravant la fraîcheur et l’humidité, je m’étais entièrement déshabillée, ne gardant que mes sandales tressées blanches. Il a quand même recouvré suffisamment ses esprits pour me détailler de pied et cape et me demander s’il pouvait m’immortaliser en photo. J’ai accepté bien volontiers, je me suis accroupie et je me suis penchée pour bien lui montrer mes petits seins aux aréoles gonflées. Mais les frimas m’ont vite donné la chair de poule.
Pendant le trajet qui nous séparait de chez lui, j’ai trié les clichés, n’en conservant que quelques-unes. Mathieu avait envie de poursuivre la séance dans son appartement et de me prendre encore en photo. J’avais envie de changer de séquence et qu’il me prenne tout court. Je lui ai quand même offert un autre petit cadeau avant que de gagner sa garçonnière. J’ai ouvert ma robe et je me suis allongée sur un banc public, la nuit était tombée et il n’y avait personne dans les rues, la possibilité de se faire surprendre, toutefois, n’était pas nulle. J’ai relevé le tissu, écarté mes grands compas et mon décolleté, à part mes bas résille rien ne préservait ma pudeur. Le flash a crépité à deux trois reprises, j’étais transie, nous nous sommes rués vers sa porte d’entrée.
Son logis coquin
Unité de temps, de lieu, d’action, pourquoi aller chercher quelque digression que ce soit ? La chaleur de son logis m’a revigorée, j’ai abandonné robe et sandales, un canapé me tendait les bras dans la pénombre propice. Je me suis glissée dessus à quatre pattes, très chienne, lascive à souhait, j’ai bien ouvert mon petit cul et je l’ai laissé me mitrailler encore un moment.
Mais j’en voulais plus, je lui ai fait signe de me rejoindre, en un tour de main monsieur avait la queue à l’air. Au milieu d’une prairie châtain entretenue elle s’élevait tel un pic, son sommet était déjà en train de fondre, j’ai approché mes lèvres et j’ai avalé ce bel esquimau brûlant. Il bandait fort, sa bite avait des proportions idéales pour la fellation. J’ai entendu un « je peux ? ». Le cochon avait gardé son boîtier en bandoulière. J’ai acquiescé dans un borborygme étouffé, sa bite au fond de la gorge. Il a réalisé quelques photos de moi et de cette première fellation en me demandant de le regarder tandis que je le suçais à fond.
Enfin, il a lâché son reflex et s’est décidé à prendre les choses en main. Je n’ai rien contre le fait d’oser le premier pas, mais j’aime quand le mâle dirige ensuite les opérations. Je n’ai pas été déçue !
Mathieu m’a baisée dans toutes les positions, missionnaire, levrette, cuillère… tout y est passé. Les montagnards sont de sacrés costauds, il était infatigable. Il m’a prise et prise encore, les voisins n’ont pas pu ne pas nous entendre. J’ai geint pendant au moins deux heures sous ses assauts qui ne souffraient d’aucune faiblesse. Aux claques sur les fesses ont succédé les insanités, des « petite pute », « sale chienne », « espèce de salope » ont plu, cela m’a rendue totalement folle. Je n’ai pu lui dire non lorsque j’ai senti son gland perforer sans ménagement mon anneau secret.
Il m’a enculée avec une frénésie qui m’a fait décoller alors que je venais d’avoir deux orgasmes monumentaux. Derrière ses abords timides, Mathieu se révélait un beau cochon sans limites aucune. Il a fini par rendre les armes sous ma langue experte. Son pieu embaumait ma chatte aux onguents puissants. Je ne suis pas kabyle pour rien, ma fente a de doux relents d’orient et mon petit trou fleure bon les épices relevées de l’Atlas. Il a éjaculé tel un barrage qui cède et cela a été comme une avalanche entre mes lèvres, les coulées violentes s’écrasaient contre mon palais, j’ai avalé toute sa liqueur, son glacier avait enfin fondu sous mes succions gourmandes.
Mais il voulait avoir le dernier mot, sa langue s’est faire dameuse, venant lécher tous les contreforts de ma féminité, il me fouillait, enfouissait son appendice dans tous mes orifices. Il a réussi l’exploit de me faire jouir une quatrième fois. Mon séjour à la montagne s’est révélé être un sommet de plaisir et de sexe débridé. Il paraît qu’il faut voir les Alpes l’été, je ne suis pas certaine de profiter beaucoup de l’air pur, mais d’une congère bien dure … sûrement.
A LIRE AUSSI