La tente de belle-maman

La rédaction 9 février 2023

Je m’appelle Denis, j’ai 31 ans et j’aimerais partager une histoire pornoqui m’est arrivée il y a quelques années maintenant, quand je n’avais que 19 ans. J’étais parti en vacances avec une copine, Juliette, et sa mère divorcée, Florence. Juju était très mignonne et naturellement, je me la tapais.

Ma petite copine  

Officiellement, sa mère l’ignorait, mais elle n’était pas dupe. Elle surveillait tout de même de très près Juliette, qui était sa fille chérie. Juliette était à croquer, sa mère Florence l’était tout autant: toute petite mais assez bien proportionnée et sexy. Elle faisait beaucoup moins que ses 44 ans. Comme de son côté, Juliette faisait plus que son âge, on aurait presque pu les prendre pour deux soeurs. Elles étaient très complices, jusqu’à afficher un comportement plutôt équivoque, des mains baladeuses, de fréquents petits bisous sur les lèvres.

Quand je faisais l’amour à Juliette, je m’imaginais de façon perverse que nous le faisions tous les trois ensemble (mais hélas, la chose ne s’est jamais faite !). Déjà à deux, c’était difficile de tenir dans ma tente, aussi inconfortable que minuscule. Alors j’ai baisé Juliette partout: dans les sanitaires, dans les cabines de bain de la piscine, derrière les cuisines… Le quatrième jour, Juju m’a glissé discrètement à l’oreille : « Viens me rejoindre ce soir sous notre tente, mais fais gaffe à ne pas réveiller Maman ! » Elles occupaient une tente à deux chambres.

La nuit venue, seulement vêtu d’un slip de bain, je me suis glissé à quatre pattes dans leur tente. J’ai rampé à tâtons jusqu’à la chambre de Juliette, dans la plus totale obscurité. Ma main a rencontré un pied nu, Juliette a sursauté, je l’ai rassurée : « Chut, c’est moi, Denis ! » Son corps s’est apaisé. Mes mains ont remonté les chevilles, les jambes, les douces cuisses que j’ai embrassées. D’elles-mêmes, elles se sont ouvertes, et j’ai pu accéder à une petite chatte déjà bien humide. Je l’ai explorée, léchée, puis bue. Le jus en sortait en abondance, délicieux. Mais son goût m’a mis la puce à l’oreille. Il ne ressemblait pas à celui de Juliette dont je m’étais déjà bien abreuvé.

Un gros doute m’a envahi, amplifié lorsque j’ai tâté des seins bien fermes mais pas très gros, alors que malgré son âge, Juliette possédait de véritables obus. Et c’est alors que m’est parvenue la voix de… Florence : « Tu es quand même gonflé mon petit chéri, tu te rends compte, si Juliette nous surprenait ?«  Je m’étais gouré de chambre !Je suis resté pétrifié. Continuer ? Partir ? Florence a donné la réponse à la question que je n’avais pas posée : elle m’a attiré à elle et a collé sa bouche à la mienne, recouverte de son goût. Elle a soufflé : « Baise-moi, depuis le temps que j’en ai envie ! » Incroyable.

J’ai baisé sa mère

Après la fille, j’allais me taper la mère. De suite, j’ai été dans Florence, qui ondulait lascivement sous moi. C’était tellement bon et inattendu qu’à peine une minute après l’avoir pénétrée, j’ai joui dans sa petite chatte.Penaud, je me suis excusé. « Pas grave, repose-toi, on remettra ça tout à l’heure et tu tâcheras de te montrer plus brillant, Enfin, j’espère… » Flo s’est rendormie, moi pas. Puis, c’est peu de dire que nous avons remis ça. Pendant plusieurs heures (entrecoupées de pauses, tout de même !), nous avons baisé comme des fous. Florence était aussi chaude que Juliette, mais beaucoup plus vicieuse.

Elle a fait découvrir au jeunot que j’étais de nouvelles positions. Elle m’a sucé divinement, bien mieux que sa fille, parfois un peu malhabile. Tout en baisant, elle chuchotait continuellement des obscénités, et elle insistait aussi pour que je lui en dise. Je peux vous dire que je ne m’en suis pas privé ! Un court instant, j’ai pensé à Juliette qui devait se morfondre pendant que je défonçais sa maman. Mais déjà, Florence était sur moi, à califourchon. Elle allait s’enculer « elle-même ».

Elle s’est mise au-dessus de ma bite tendue, grande première pour moi, afin de s’y visser l’anus. C’était extraordinaire. Serré et chaud, l’odeur, fascinante, comme de l’encens très fort, la sensation d’être au fond de son cul… Le temps de reprendre mes esprits, elle était à quatre pattes, et je lui éclatais son petit cul en cognant fort contre ses fesses. Je m’y suis entièrement vidé dans un gros râle. Il faisait chaud sous la tente, Florence ruisselait littéralement de transpiration, de la tête aux pieds. Cela aurait pu être désagréable, mais cette baise « mouillée » assortie d’un érotique chuintement ajoutait un plus très excitant.

J’aurais voulu finir la nuit avec elle, mais elle m’a conseillé prudemment de regagner ma tente. Le lendemain, Juliette m’a engueulé de lui avoir posé un lapin. J’ai menti, dit que je m’étais endormi. Je pensais qu’elle avait tout entendu. Mais non, rien, son sommeil de plomb avait protégé notre secret, à sa mère et moi. Les jours qui ont suivi, c’est vraiment devenu n’importe quoi. Florence m’a tacitement donné l’autorisation de baiser sa fille dans la journée, si c’était elle que je venais baiser la nuit ! Juliette a toujours ignoré nos rapports à Florence et à moi, du moins je le suppose.

Les choses ont évolué. Je baisais Juliette, maisje faisais de plus en plus l’amour à Florence. D’un peu bestiaux dans les actes et très crus dans le langage, nos ébats se sont faits de plus en plus tendres et amoureux. J’embrassais Florence interminablement, jusqu’à en perdre haleine. J’étais devenu complètement dingue d’elle, à tel point qu’elle a dû me rappeler notre différence d’âge… Vingt-six ans, hélas ! À la rentrée, comme on habitait dans le même quartier,j’ai refait l’amour des dizaines de fois à Florence, mais plus jamais à Juliette, qui s’était trouvé un nouveau copain, sûrement plus assidu.

Florence me rejoignait parfois dans ma chambre d’étudiant, aussi. Je ne saurais dénombrer les nuits blanches et fauves, passées à baiser comme des brutes ! Et, à défaut de pouvoir réunir Juliette et Florence, j’avais organisé une mémorable partie à trois avec une copine étudiante, Sylvie. Florence n’avait pas rechigné à se gouiner avec elle. Mais le meilleur, c’était quand même nos interminables joutes amoureuses, rien qu’à deux. Au bout de deux années comme ça, Florence m’a brisé le coeur. Elle avait rencontré un homme de son âge, elle voulait lui être fidèle… Mais ce fut quand même une bien belle aventure, surtout quand on pense qu’elle a démarré sur une grosse méprise !

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