Ma femme m’offre une amante

Cinquante ans, dont trente marié à Valérie, plus qu’une compagne, une complice, une amante, une amie et une confidente avec qui j’ai partagé nombre d’histoire de sexe. Mais la routine est compliquée à éviter, je me suis porté vers les sites pornos, ma chère et tendre le voyait et cela ne la choquait pas, elle venait même me donner « un coup de main » parfois, ce que je ne savais pas, c’est qu’elle avait bien enregistré le type de scènes qui m’excitaient, des femmes assez jeunes suçant un homme devant l’épouse de ce dernier. Je ne pensais pas que sommeillait en Valérie une caudaliste invétérée, elle m’a prouvé le contraire.

Deux femmes et une fellation

Lors d’une soirée dansante, elle a repéré qu’une jeune femme me plaisait. Comment Valérie s’est-elle débrouillée pour qu’elle nous suive à la maison, mystère ? Toujours est-il que quand elles m’ont demandé de m’asseoir sur le canapé du salon, j’ai mieux compris pourquoi ma chérie m’avait rasé le pubis la veille ! Annabelle, cette fille sublime aux ongles chatoyants s’est dénudée en un rien de temps devant mes yeux incrédules puis cela a été mon tour, tout cela sous le regard attentif de Valérie qui prenait des photos de toute la scène ! Je bandais mou sous l’effet de la surprise, mais mon sexe a très rapidement été englouti par une bouche aussi agile que gourmande. Les mains sur mes cuisses, Annabelle me caressait et me griffait sensuellement la peau, tout en aspirant mon zgueg qui, lentement mais sûrement, gagnait en volume.

J’ai avancé un peu mon bassin, ce qui a eu pour effet de libérer mon paquet, les doigts se sont alors perdus sur mes couilles, j’étais au jardin d’Eden. Mes yeux allaient de Valérie à cette tête blonde qui se déchaînait sur mon chibre, j’ai demandé à ma suceuse si j’avais le droit de la toucher, elle a éclaté de rire et a posé mes mains sur ses seins superbes. J’ai joué avec un moment avec les deux masses fermes avant de m’attaquer à leurs tétons bien bandés. Les pomelos étaient dodus, bien ronds et réagissaient à mes douces tortures, déclenchant des soupirs d’aise de cette beauté agenouillée à mes pieds. Valérie lui parlait, lui indiquait ce que j’aimais, guidait les léchouilles de mon gland au-dessous de ma hampe, de mes bourses à la peau fine de l’aine, je ne savais plus où j’étais.Annabelle remontait ses cheveux, dégageant son cou, elle souriait lorsqu’elle abandonnait ma queue avant de l’enfourner encore et encore au plus profond de sa gorge.

Une aventure à trois

Ma compagne s’est enfin mise toute nue et, juste en face de moi, a écarté grand les cuisses pour m’offrir sa chatte béante et douce d’où coulaient de longs filets de mouille. Relevant le bassin, elle m’a donné à admirer son anus, elle sait à quel point je la trouve belle et comme ses exhibitions m’excitent. Ses doigts ne sont pas restés inactifs, un majeur s’enfilant dans le con et un index dans le petit trou. La suite s’est passée sans photos, Valérie étant trop affairée à se masturber de plus en plus énergiquement tandis qu’Annabelle recouvrait ma pine d’un préservatif sorti de je ne sais où. Elle a exécuté quelques pas de danse devant moi, cela a fait bouger ses nichons et s’est tournée pour twerker, faisant vibrer ses fesses tout en les écartant par intermittence. Sa fente était trempée et son anus orné d’un plug décoré d’un diamant rouge, elle a reculé en me demandant de l’extraire de son sphincter, je l’ai ôté avec lenteur et précaution et l’ai porté à ma bouche, il y avait sur l’inox sa cyprine mêlée aux épices de son œillet.

Annabelle a fléchi les cuisses et a attrapé ma queue, quelques mouvements des pieds pour se caler dans la position idéale et elle a incliné son bassin, mon gland s’est retrouvé en contact avec ses petites lèvres puis son clito avant d’être entièrement avalé par le rectum de la belle blonde ! Elle s’est enfilé ma bite jusqu’aux couilles, Valérie a joui en l’entendant gémir de plaisir en s’enculant ainsi sur moi. La suite a été magique, Annabelle s’est limée toute seule, montant et descendant sur mon mât de plus en plus vite en se frictionnant le bourgeon, elle est partie d’un coup, mon membre totalement enfoncé en elle, se raidissant, elle a souillé le tapis en un mascaret éjaculatoire. C’en était trop pour moi, j’ai annoncé que j’allais remplir mon condom, en deux temps trois mouvements, les deux femmes se sont ruées sur moi, arrachant la capote et me branlant à deux mains, j’ai juté dans leurs bouches en criant et en les regardant avaler tout mon foutre. Annabelle a embrassé langoureusement Valérie (son premier baiser avec une fille) et m’a roulé une pelle avant de ramasser ses effets et de disparaître dans la nuit.

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