Un couple de naturiste
2 février 2024lors de vacances sur une île anglo-saxonne où nous avons eu la surprise de trouver des spots naturistes remplis de coquins et de coquines.
Verts échanges
Nous ne l’avons jamais vu dans notre magazine préféré, aussi, avec Nadira, ma femme, nous écrivons chacun une lettre à interstron.ru ! Je ne sais pas si nous serons publiés tous deux, mais nous tentons. L’idée de ces textes croisés est née lors de vacances sur une île anglo-saxonne où nous avons eu la surprise de trouver des spots naturistes remplis de coquins et de coquines. Je vous raconte mon histoire de sexe.
J’ai été le premier à « tomber dans le piège ». J’ai repéré Éléonore bronzant sur un petit ponton, fort peu vêtue d’un simple bikini vert d’eau, je me suis immédiatement mis à bander et Nadira l’a bien évidemment remarqué.
« Eh bien ! Elle te fait de l’effet la belle petite rouquine ! Vas-y, qu’est-ce que tu attends ? Tente ta chance, je reste ici à jouer les voyeuses… »
J’avoue que l’idée m’a excité à mort, je lui ai répondu que c’était à charge de revanche et je me suis lancé. Je ne me suis pas approché de trop près, je me suis présenté et j’ai tout de suite souligné la présence discrète de ma compagne afin de ne pas effaroucher cette beauté tout anglaise. Repérant la bosse qui déformait mon short, la dites Éléonore m’a fait comprendre qu’elle voulait bien s’amuser, mais à distance. J’étais un peu déçu, mais pour un coup d’essai, j’avais quand même une sacrée chance. J’ai donc sorti mon engin, elle s’est passé la langue sur les lèvres et a entamé un strip-tease qui m’a mis dans tous mes états.
D’abord le soutien-gorge qu’elle a dénoué, ses seins aux tétons ténus ont joué un moment à se cacher, se montrer, se dissimuler à nouveau avant que la pièce de tissu disparaisse enfin. Elle était gaulée comme une reine et mon érection s’est encore raffermie un peu. J’ai porté ma main à mon sexe, sans me branler au départ, juste en caressant mes couilles et ma hampe du bout des doigts. C’était très érotique, la belle Britannique adoptait des attitudes plus sexy les unes que les autres, cambrant ses reins ou prenant des poses dignes d’une Vénus de Botticelli. La culotte colorée a bientôt suivi le même chemin que le haut de son maillot, je la fantasmais avec une bonne touffe assortie à sa chevelure de feu, mais c’est un pubis et une chatte totalement glabres qu’elle a fini par exhiber. Cela m’allait tout de même très bien, Nadira est, elle aussi, entièrement épilée du sexe et de la raie du cul et je trouve cela fort excitant !
D’ailleurs cette dernière s’est finalement rapprochée, demandant à mon amante sans contact le droit de capturer la scène avec son portable. Une fois l’autorisation reçue, elle s’est postée non loin de moi et a commencé à prendre des photos en regardant alternativement la fille et ma queue. Celle-ci perlait désormais d’un épais liquide séminal cristallin qui me coulait sous la bite et sur la main, ma femme m’a encouragé à m’astiquer le manche.
J’ai donc saisi ma hampe à pleine main et je me suis paluché doucement, je voulais profiter de l’instant le plus longtemps possible et surtout, ne cracher que lorsque j’en verrai tout de même un petit peu plus. La frustration rajoutait à mon excitation à ma grande surprise. Nadira, qui me connaît bien, a entamé un récit où elle me contait tout ce que je pourrais faire à cette fille, me demandant d’imaginer sa langue lécher mes bourses, agacer mon frein avant que sa bouche n’accueille mon vit pour une pipe gourmande et pleine de salive onctueuse. Elle m’a décrit comment je pourrais lui pincer le bout des seins tandis que j’observerai sa tête aller et venir sur mon chibre tendu, puis avec quelle intensité j’allais la défoncer, là, debout, accoudée sur la table de pique-nique, le derrière bien cambré pour me recevoir au plus profond de sa grotte trempée.
Éléonore a compris notre petit jeu, même si elle ne semblait rien saisir à ce que disait ma chérie, elle a lâché ses affaires et a commencé à se dandiner, se caresser jusqu’à se pencher en avant pour écarter ses fesses parfaites et offrir à ma vue toute son intimité. Je voyais très bien qu’elle mouillait, elle a d’ailleurs posé ses doigts sur sa motte pour l’ouvrir comme un abricot bien mûr avant de glisser son majeur dans sa fente. C’est ce dernier geste qui a tout déclenché, j’ai joui en râlant. Éléonore, alertée par mes borborygmes, s’est vivement retournée pour me regarder éjaculer. Elle fait un « O » avec sa petite bouche divine lorsqu’elle a vu la puissance de mon éruption. J’ai balancé mes jets crémeux et mon foutre a dessiné plusieurs zébrures sur le ponton en bois qui a rapidement absorbé ma semence.
Nous avons remercié Éléonore et avons pris congé, moi toujours nu, Nadira me tenant par la bite.
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