Une baise avec un diagnosticien

Diagnostic thermique ? Ça chauffe !

Cela fait trois ans que je vis avec Achille, nous sommes un couple très libre sexuellement. Personnellement je suis bi et mon homme ne voit aucun inconvénient à ce que je me permette quelques escapades. Dernièrement nous avons dû accueillir un diagnosticien, nous avons reçu une fiche signalétique avec ce qu’il devait effectuer comme vérifications et sa photo. J’ai tout de suite flashé sur lui, blond, des traits juvéniles et une allure slave très prometteuse. Je vous raconte mon histoire de sexe.

J’avais mis toutes les chances de mon côté, quand il est arrivé, j’étais à moitié nue, en tenue de sport réduite au strict minimum. Il a réalisé sa tâche très vite, il faut dire que pendant qu’il bossait, je m’étais allongée sur le canapé et je le fixais, un doigt sur la bouche et une main dans mon mini slip. Il a fini par lâcher son ordinateur et s’est accroupi devant moi, ayant compris que j’étais ouverte à toute proposition, tout comme mon mec qui me prenait en photo.

Stephen a remonté ma petite brassière fluo pour me mettre les seins à l’air et il a commencé à me manger toute crue. Les tétons d’abord, qu’il a sucés et mordillés jusqu’à faire fondre ma minette qui, à son tour, a reçu les hommages linguaux de monsieur. Nous avons ensuite échangé nos places et nos rôles, j’ai pompé mon lécheur après l’avoir complètement déshabillé. Comme je le pressentais, il avait une bonne queue, bien grosse et longue que je me suis empressée d’avaler tout entière. La gorge profonde, c’est mon grand truc ! Il a semblé apprécier ma prestation aux sons gutturaux qui sortaient de sa bouche. Et puisqu’il était en position idéale pour une chevauchée fantastique, je suis venue m’installer à califourchon sur lui. Sa bite était encore plus volumineuse qu’avant ma pipe, elle est entrée tout au fond de moi d’un coup ! Il m’a laissé mener la danse, exactement comme j’aime pour me chauffer à blanc, j’écrasais ma pépite contre son pubis et me laissais porter par mes ondulations instinctives. J’ai doucement pris le chemin de l’orgasme et lorsqu’il m’a glissé un de ses doigts dans le cul,j’ai chaviré corps et âme.

Il m’a fait chaviré

Ma chatte était prête pour la suite, Achille ne ratait rien de ce qui se déroulait sous ses yeux, je me suis bientôt retrouvée en levrette, mon amant me pilonnant avec une vigueur que ne promettait pas son corps finalement assez chétif. Paume sur ma croupe, il me donnait des coups de reins dans une cadence de plus en plus folle, me relevant contre son torse par intermittence pour me rouler une pelle et me peloter les nichons. Mes petits seins lui ont vraiment plu, je crois, il n’a pas arrêté de les chercher à tâtons pour m’en pincer les bouts ou me sucer les aréoles que j’ai très sensibles.

Vautrée dans la luxure, j’ai branlé sa belle queue lorsqu’il me le demandait, de nouveau ses lèvres trouvaient les miennes et j’astiquais sagement son manche jusqu’à ce qu’il me doigte ou m’invite à une nouvelle position. Il a même voulu me tringler debout. Pour cela, il a eu besoin du concours de mon homme qui a accepté d’abandonner ses précieuses prises de vue. Me soutenant par les aisselles, reins contre son torse, il m’a offerte les cuisses écartées à l’extrême à son cocufieur, j’ai été surprise de jouir dans cette posture pour le moins pénible et acrobatique, mais j’y suis parvenue assez rapidement. J’humais la sueur de mon mec avec extase et je sentais le contact de son érection dans le bas de mon dos, promesse d’une nouvelle saillie quand notre invité serait parti.

Nous avons tout de même regagné le confort du canapé, Stephen a encore voulu que je le suce, je me suis exécutée avec beaucoup d’application puis il est venu derrière moi pour me posséder en cuillère. La cuisse haute pour pouvoir me la mettre bien au fond, je le sentais coulisser de toute sa longueur dans mon conduit lubrifié à la perfection. Il était increvable ! Il m’a limée ainsi sans s’exténuer, son bassin battait la chamade contre mon petit cul en claquements rythmés et réguliers. De nouveau, il me ceinturait de ses bras musculeux et cherchait mes aréoles pour jouer avec. J’ai fermé les yeux et me suis laissé emporter pour la dernière fois.J’ai caressé ses couilles et lui ai permis de me visiter l’anus, je pressentais que c’est ce qui allait le faire éjaculer. Je ne me suis pas trompée, après m’avoir fignolé le trou de balle avec deux doigts serrés l’un contre l’autre, il s’est mis à lancer des cris dignes d’un animal et il s’est vidé en moi en plusieurs saccades spermatiques qui m’ont garni le vagin jusqu’à ce qu’il déborde.

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