Une histoire érotique électrique
21 août 2025Dans notre histoire érotique du jour, Ludovix, électricien de 33 ans, doit s’occuper du tableau électrique d’un jeune quadragénaire. Il n’était pas au courant de ce qui allait se passer
Ludovic nous raconte son histoire de sexe amateur avec une sacrée bonne patronne !
Je m’appelle Ludovic, j’ai 33 ans et j’habite à Perpignan. Il m’est arrivé une histoire de fou. Je travaille comme électricien et mon patron m’a envoyé chez un particulier dans un quartier résidentiel.
Je refaisais un tableau électrique, j’étais seul avec la patronne des lieux, une femme d’une quarantaine d’années, brune et un peu forte, mais une jolie femme.
Chouchouté tel un roi
Midi est arrivé et c’était l’heure de la pause. Je suis parti dans la camionnette pour manger, mais au bout de 5 minutes, la femme est venue me chercher pour que je vienne manger au chaud, chez elle. Elle m’a demandé ce que je mangeais.
Je lui ai répondu que c’était un sandwich. « Venez manger avec moi ! Je suis seule et mon mari ne rentre pas le midi… J’ai préparé un pot au feu. »
Bon ben j’y suis allé quoi… Nous avons mangé ensemble tous les deux, face à face et à la fin du repas, elle m’a préparé un café. « Installez-vous donc sur le canapé ! »
Je l’ai fait. Elle m’a apporté le café, des petits gâteaux, j’étais comme un roi.
On a discuté, elle m’a demandé si j’avais des enfants, j’ai répondu que j’étais célibataire, elle m’a dit que son mari et elle, ce n’était plus trop ça… Puis, au fur et à mesure, elle s’est approchée de moi, je sentais sa forte poitrine.
Elle commençait à m’exciter. Elle a remarqué : « je vois que je vous fais de l’effet. » Timidement, je lui ai répondu : « oui, ce sont vos seins qui me font bander. » Elle m’a répondu du tac au tac : « je vois ça… Je vais m’occuper de toi. »
Là, le choc, elle a carrément sorti ma bite bien raide de mon pantalon et a commencé à me sucer, direct ! Je lui ai dégrafé le soutif et ses deux superbes seins sont apparus. On aurait dit des pamplemousses.
Du sexe électrique !
Je me suis mis à lui sucer les tétons et à lui malaxer toute la poitrine. Pendant ce temps, elle me servait une pipe royale !
Puis, j’ai commencé à lui mettre un doigt dans la chatte. Elle mouillait grave. Elle est venue sur moi en 69 et je lui ai bouffé l’abricot, c’était tout dégoulinant.
Au bout de quelques minutes, elle n’en pouvait plus, elle voulait que je la pénètre.
J’ai enfilé un préservatif et je lui ai mis ma bite d’un coup. Je l’ai ramonée comme un dingue. Elle poussait de petits gémissements, elle prenait son pied, la dame !
Je lui disais des mots crus : « comme tu aimes ça, ma cochonne ! » Elle me répondait : « oh oui, défonce-moi ! » C’était chaud, chaud !
Les va-et-vient étaient de plus en plus rapides. Elle a poussé des cris de jouissance pas dans le manuel. Je n’ai pas tardé à jouir moi aussi. Nous avons poussé des cris à l’unisson tout en nous tendant vers la jouissance.
Nous sommes restés sur le canapé le temps de reprendre nos esprits, puis nous avons bu un autre café. Finalement, j’ai repris mon petit boulot. Cette pause m’avait plutôt bien plu : c’était mieux que de manger tout seul dans ma camionnette, bien mieux même !
Le soir son mari est rentré et m’a demandé si la journée c’était bien passée, si je ne m’étais pas trop fait chier à passer tous les fils dans les gaines. Je lui ai répondu : « un peu, mais dans mon boulot, il y a du bon et du mauvais. » Il m’a demandé combien de jours de travail il me restait.
Je lui ai dit : « encore deux bonnes journées ! » Les deux jours suivants ont été comme le premier. Ce fut un très bon chantier.