Promotion-canapé

La rédaction 5 février 2025

J’étais salarié de ma boîte de conception de logiciels informatiques depuis des années et j’en étais arrivé à un moment de ma carrière où je trouvais opportun de négocier une promotion. J’en ai parlé à mon chef, qui était d’accord sur le principe et qui m’a dit d’aller en parler avec la nouvelle RH. Je ne l’avais encore jamais rencontrée et quelle ne fut pas ma surprise quand je suis allé frapper à sa porte et que j’y ai découvert une jeune rousse flamboyante, d’une beauté stupéfiante ! Voici mon histoire de sexe amateur.

Une soirée de travail tardive

Elle m’a invité à m’asseoir et nous avons fait un point sur mon parcours dans l’entreprise et mes nouvelles prétentions salariales, assorties à un nouveau poste de cadre supérieur. Elle était très professionnelle, et moi plutôt troublé par son charme. Nous avons été amenés à nous revoir plusieurs fois pour négocier ce nouveau statut et peu à peu, je l’ai vue se dérider, être plus affable avec moi. Quand on se croisait dans les couloirs, on s’échangeait de petits sourires et la belle, Anita de son prénom, est venue s’installer dans mon esprit nuit et jour. Et ce, d’autant plus que mon mariage était en train de patiner. J’ai vu en elle un feu qui pourrait raviver ma flamme personnelle, même si je ne voulais rien tenter sans être sûr de ne pas la mettre mal à l’aise. Une occasion s’est présentée lors d’une nocturne que j’ai fait avec mon équipe.

Nous avons travaillé très tard ce soir-là, car nous préparions le lancement d’un nouveau logiciel pour un client important. Et il se trouve que ce même soir, Anita devait boucler des dossiers avant de partir en vacances et elle aussi est restée travailler tard. Elle venait parfois faire une pause dans notre service pour discuter avec nous ou manger un sandwich. Comme c’était le soir et que l’émulation de la journée était retombée, c’était une atmosphère particulière, propice aux rapprochements. A mesure que les heures défilaient, mes collègues sont tous partis un à un pour rentrer chez eux après cette dure journée de travail. A la fin, j’étais seul devant mon ordinateur pour terminer les derniers détails. J’ai senti une présence près de moi et j’ai relevé la tête de mon écran.

Anita était devant moi, chemise blanche entrouverte sur ses seins ronds entre lesquels pendaient un pendentif en or qui détonnait sur sa peau. “Tu as fini ? J’ai trouvé des bières dans le frigo de ma supérieure.” Elle m’en a proposé une et nous les avons sirotées, une fesse sur mon bureau. J’étais fébrile, j’avais envie d’elle. Il y avait dans le confortable bureau de sa cheffe un canapé sur lequel s’installer plus confortablement. Elle m’y a emmené. Pendant quelques minutes, nous avons échangé des politesses, mais j’ai fini par comprendre qu’elle me draguait et qu’il y avait une raison au fait qu’elle reste plus tard et s’éternise pour me croiser. Je me suis rapproché d’elle sur le sofa, d’une manière interrogative dans mes gestes. Elle a été plus audacieuse que moi et m’a attrapé par le cou pour m’embrasser.

C’était de la folie de faire ça, mais elle était trop irrésistible à mes yeux. Je me suis laissé envahir par la saveur du moment et le plaisir suscité par ses baisers. J’ai sombré dans l’aveuglement d’un désir inarrêtable qui m’a emporté avec lui. J’ai déboutonné sa chemise pour découvrir ses seins et y enfoncer mon visage, puis j’ai fait tomber ses vêtements un à un sur le sol. Il y avait un plaisir euphorisant à la délester de tous ses apparats pour la découvrir enfin dans le plus simple appareil. Sa peau sentait le musc et ses cheveux rouges contrastaient avec sa peau lactée. Anita a eu envie de me voir nu elle aussi et m’a ordonné de me déshabiller. J’ai obtempéré. Nos corps se sont retrouvés et apprivoisés tout de suite. Elle s’est installée, alanguie, sur le canapé et je me suis mis à genoux à côté d’elle à hauteur de son visage pour qu’elle puisse me sucer tout en étant bien installée.

Elle se caressait en même temps qu’elle me prenait en bouche pour achever de s’exciter. C’était grisant de se retrouver avec elle dans le bureau d’une boss, nous bravions beaucoup d’interdits. C’est alors qu’elle m’a dit qu’elle se déplaçait toujours avec son vibromasseur sur elle et elle l’a sorti de son sac pour se faire du bien avec, tandis qu’elle continuait de me stimuler avec ses lèvres et sa langue. Elle caressait mon sexe d’une main pendant qu’elle m’avalait, léchant au passage mes couilles tout en continuant sa branlette et, de l’autre main, elle se donnait du plaisir avec le sex toy. Vision enchanteresse pour moi, qui n’avais pas vécu tant d’érotisme sur les dix dernières années que durant les dix dernières minutes ! Elle m’a dit de faire des photos pour qu’on ait tous les deux des sortes de pièces à conviction. Cela participait du fantasme. J’ai fait des photos d’elle en train de m’engloutir, puis quand je l’ai prise en levrette sur le canapé. Son corps vibrait tout entier sous mes coups de boutoir. “Tu vas l’avoir, ta promotion”, a-t-elle murmuré entre deux gémissements. Ce renversement des codes était décidément très excitant.

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