Langues étrangères

La rédaction 17 juin 2021

Luis, 35 ans, est un fêtard, il vit en Espagne et à l’habitude d’accueillir des étudiants. Mais cette fois si, il décide d’héberger des petites étudiantes…

Je vis en Espagne depuis maintenant 3 ans. En bon trentenaire, aimant la fête et les rencontres, j’ai décidé de prendre un grand appartement pour loger des étudiants Erasmus ou des étrangers suivant des programmes d’échange. L’année dernière, j’ai voulu tenter de privilégier les étudiantes… Tout en sachant que c’était un peu risqué si des histoires d’amour venaient à se tisser sous mon toit. Je vous raconte mon histoire porno. 

J’ai quand même voulu tenter le coup et j’ai passé des petites annonces sur Internet. Très vite, j’ai eu un retour de deux Françaises de 25 ans, qui étaient disposées à visiter l’appartement le jour même. Je les ai reçues dans l’après-midi, dans la chaleur de Madrid. En leur ouvrant la porte, j’ai découvert deux très belles femmes court vêtues. L’une était blonde aux yeux bleus, l’autre châtain foncé aux yeux sombres, la première était bavarde et solaire, la deuxième plus taiseuse et précieuse. Je les ai tout de suite trouvées charmantes et sympathiques.

L’appartement étant composé de trois chambres, elles ont regardé les deux qui étaient à leur disposition et ont décrété que ça leur convenait parfaitement. Je voyais aussi qu’elles me jetaient des regards un peu séducteurs. Je devais représenter une forme d’exotisme pour elles car je suis Franco-espagnol et j’ai le physique cliché du bel Andalou, avec des cheveux et des yeux très noirs et la peau mate. Je sentais que je ne les laissais pas indifférentes et que leur choix de venir habiter chez moi comportait une part de curiosité sexuelle. 

La suite des événements me prouverait que je ne m’étais pas trompé. Peu de temps après l’emménagement de mes nouvelles colocataires, nous sommes allés boire un verre tous les trois dans la rue en bas de notre appartement. Nous avons beaucoup ri et passé un bon moment, à se séduire mutuellement en faisant mine de ne pas y toucher, ce qui rendait la chose encore plus excitante. 

Nous avons fini par aller en boîte de nuit dans un quartier animé de la capitale espagnole. Les filles se sont mises à danser ensemble en me regardant et en s’amusant à se coller l’une à l’autre. À un moment donné, elles se sont mises à se rouler des pelles sous mon nez. Je les regardais, danser l’une contre l’autre et à échanger de profonds baisers, leurs chevelures et leurs salives se mêlant les unes aux autres. Pendant que je sirotais ma bière en les regardant, la blonde m’a attiré vers elles et a tendu les lèvres vers moi. Je n’ai pas réfléchi et je les ai saisies entre les miennes pour recevoir son baiser. Nos langues se sont caressées avec un désir intense. Puis je me suis détaché et la brune a à son tour plongé dans ma bouche. Leurs corps se frottaient au mien et leurs langues entraient tour à tour entre mes lèvres sans qu’à la fin je ne distingue plus qui était qui, quoique l’une fut très douce et délicate et l’autre, beaucoup plus fougueuse, me mordant presque. 

Tout ce petit manège était de plus en plus excitant et nos baisers devenaient presque des caresses de plus en plus osées, nos corps se frictionnant de manière de plus en plus explicite. D’un commun accord, nous avons décidé de rentrer chez nous. Une fois à la maison, comme nous ne voulions pas briser le charme de nos aventures, nous sommes allés directement dans ma chambre. Un peu étroit pour trois mais plutôt confortable, mon lit a accueilli notre désir et notre fatigue. Pendant que j’embrassais la blonde, la brune avait sorti mon sexe et se mettait à le caresser fermement entre ses jeunes mains expertes. Je bandais entre ses doigts, pendant que ma bouche se baladait sur les seins et le ventre de son amie. J’étais comblé avec ces deux femmes si à l’aise avec leurs corps et leur sexualité et me désirant en même temps ! J’essayais de ne pas penser au lendemain et au malaise que cela pourrait créer dans notre colocation. 

La brune s’était mise à me sucer intensément, pendant que la blonde me rendait mes baisers et caressait mes fesses. Puis, audacieuse, elle a introduit un doigt dans mon cul et s’est mise à le pénétrer doucement pendant que sa camarade me suçait la bite. Les sensations étaient extraordinaires ! C’était elles qui guidaient tout ce qui se passait et je trouvais ça tellement bandant.

La brune m’a poussé sur le lit et m’a escaladé. Après m’avoir enfilé un préservatif, elle s’est pénétrée avec ma bite et s’est agitée sur mon membre, ses cheveux volant autour d’elle et des seins bondissant au-dessus de moi. J’étais aux anges. La blonde se caressait et caressait un peu son amie, attendant son tour. J’ai tâché de tenir suffisamment longtemps pour que la brune jouisse sur moi, stimulée par la main de la blonde et par ma bite. Puis j’ai pris l’autre à son tour en levrette, car elle m’avait tendu son joli cul, rond à croquer. Elle était aussi délicieuse que l’autre, à la fois lascive et directive.

Pendant que je la sautais et qu’elle se touchait en même temps, la brune avait aussi pris le parti de me mettre des doigts par-derrière. Je baisais ma belle et ma bite disparaissait en elle avec délice, tandis que cette autre femme glissait des doigts en moi et que je les sentais me prendre quand je reculais vers elle. Tant de plaisirs m’ont mené très loin dans l’excitation et quand j’ai senti que la blonde se faisait jouir pendant que je la sautais, j’ai moi aussi lâché les vannes et j’ai éjaculé longuement dans ma capote. Quelle colocation prometteuse !

Les filles ont regagné leurs chambres et nous avons dormi très tard le lendemain. Au petit-déjeuner, nous avons ri de la veille et, à mon soulagement, ça n’a rien changé à nos relations par la suite. Nous avons cohabité en toute sérénité, nous adonnant à une baise de temps en temps quand nous sortions à trois, mais sans que ça devienne une habitude. Mieux, nous avons noué une solide amitié, teintée d’érotisme.

(Photo à la une : Getty Images)

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