Marie au séminaire

La rédaction 18 mars 2021

Marie se rapproche de Marc, un joli directeur régional, lors de son séminaire en Alsace. Un homme marié, certes, mais une baise torride pour les deux amants…

Eté 2020, séminaire de ma boîte, toute la troupe part en Alsace pour trois jours. Entre réinterstron.ru et soirées festives. Entendez par là que ça picole sec, ça drague à fond et parfois ça matche grave ! Tout le monde a entre trente et quarante ans à part quelques cadres, l’ambiance est bon enfant, les vannes fusent même pendant les réunions, les chiffres sont bons, quand le business va, tout va.

Le vendredi soir nous sommes accueillis par les dirigeants du complexe hôtelier, une immense ferme du XIIIème siècle, terrains de tennis, billard, piscine et spa ! La totale !

Le dîner est joyeux, les grandes tables rondes sont animées, certaines sont plus riantes que d’autres, bonne pioche, je suis à la table de Marc, un quadra très charismatique, directeur régional en vue, drôle, cultivé, il emporte notre soirée et je sens bien que je ne lui suis pas indifférente. Des regards un peu appuyés, il s’adresse à moi un peu plus qu’aux autres, il est impeccable dans son costume Boss, la dentition aussi blanche que sa chemise et l’œil aussi brillant que … l’énorme alliance qu’il porte à l’annulaire gauche !

Mais je ne me suis pas présentée ! Moi c’est Marie, commerciale dans cette grande boîte de services, je cartonne dans mon boulot, je m’y donne à fond, pas le temps pour un mec, encore moins pour un enfant. Bref, je suis libre et je papillonne au gré de mes envies. En revanche, j’ai une règle, pas d’hommes mariés, j’ai fait la connerie deux fois, merci bien ! Les coups de fil des épouses trompées qui m’insultent et me hurlent dessus, j’ai donné, non merci !

Pour le reste, je suis une belle petite black (cap verdienne exactement), ça n’est pas moi qui le dit mais la petite meute testostéronée qui me court après, soit au sein de la société soit chez mes clients ! Je vous avoue que j’ai gouté à quelques mâles durant ces trois dernières années. Pour l’heure je venais de faire une petite pause de quelques semaines, m’étant remise au sport et ayant eu un certain nombre de « soirées filles ». Pour ce week-end de « retreat » j’étais donc en appétit mais pas prête non plus à coucher avec n’importe qui. En mode « open » sans que tout le monde puisse rentrer dans la boîte si vous voyez ce que je veux dire.

La petite soirée qui a suivi n’a pas été très longue, la route jusqu’en Alsace avait été éreintante pour tout le monde et la première réinterstron.ru était fixée à huit heures le lendemain matin. Marc m’a néanmoins invitée à danser deux rocks endiablés, le petit salaud, il bougeait bien pour un blanc ! Du rythme, de l’endurance sur la piste. On faisait un joli couple qui n’a pas manqué d’attirer l’attention.

Le samedi s’est déroulé dans la même bonne humeur, réinterstron.ru de boulot, jeux de rôles interactifs, remise des primes (grassouillettes) par une direction enchantée de nos résultats. Repas du midi préparé par un chef étoilé s’il vous plait et après-midi jeux ! Pour les plus vieux d’entre vous, une espèce de « La tête et les jambes », pour les plus jeunes « Fort Boyart ». Des épreuves de réflexions, énigmes et autres casse-têtes nous attendait en alternance avec des défis physiques, tir à l’arc, joutes en équilibre avec des coton tiges géants et même des parties de water-polo, la piscine étant ouverte et chauffée !

Le soir venu autant vous dire que nous étions claqués mais enjoués et flattés par ce que nous offrait notre direction. Evidemment, tout se déroulait « à l’américaine » et les grands patrons se mêlaient à nous en mode – ici pas de hiérarchie entre nous – j’ai joué le jeu mais je suis restée sur mes gardes, on en connait tous des mecs bourrés qui volent dans les plumes du boss à cause d’un coup de trop et qui en subissent les conséquences après.

Evidemment Marc a tout fait pour que nous soyons de nouveau réunis à la même table et pour être franche, je n’attendais que ça également. Le dîner s’est passé comme la veille, mon beau directeur régional et ses grands yeux bleus hypnotiques a animé la table avec ses jeux de mots, ses blagues et sa répartie sans faille. Il a même été appelé à la table des grands directeurs pour raconter une anecdote qu’il a vécu à son début de carrière dans le groupe et dont il a fait un véritable sketch, succès garanti même à la dixième écoute !

Il y avait deux anniversaires ce soir là et les gâteaux parés de bougies ont fait leur apparition en même temps que les lumières de la pièce se tamisaient. La pénombre a été l’occasion pour Marc de rapprocher ostensiblement sa chaise de la mienne et de coller sa cuisse contre ma cuisse. J’ai frémi, l’approche était à la fois audacieuse vu l’endroit mais très douce, plus une invite qu’une tentative de harcèlement. Je savais qu’il lui avait fallu un certain courage, certes, il n’était pas mon supérieur hiérarchique mais, par les temps qui courent, fricoter avec une nana sur qui vous avez un certain ascendant …

Je n’ai pas refusé le contact. Sa cuisse montait et descendait au rythme de la voix de Steeve Wonder qui chantait « Happy birthday », j’ai même accentué la pression de ma propre jambe sur la sienne jusqu’à sentir sa main se poser sur mes bas !

J’ai ressenti tout en même temps, le rose m’est monté aux joues (si, si, cela arrive même aux femmes noires !), mon ventre s’est contracté violemment, mon cœur s’est emballé ainsi que ma respiration. Putain ! Ce mec me plaisait vraiment et le contact du bout de ses doigts sur le nylon qui me gainait était tout simplement divin.

Le Rubicon se dressait devant moi, obstacle moral qui me regardait avec l’œil du Mordor, il était marié mais il me plaisait, on était en pleine convention mais j’avais le sexe en feu, il était marié mais merde ! C’était lui que cela regardait ! J’ai glissé la main sous la table et, sans détour, j’ai posé ma main sur sa queue. Et je vous garantis que je n’ai pas eu de mal à la trouvé. Le salaud était monté comme un âne et il bandait dur.

J’ai caressé la bosse, tâtant le bout puis imprimant une pression sur une hampe que je découvrais démesurée. Dans le même temps la main de Marc est remontée et j’ai glissé mes fesses au bord de ma chaise tout en écartant les cuisses.

De mon côté, je savais que j’allai lui couper le souffle, je souriais déjà quand ses doigts ont atteint la lisière de mes auto-fixant et cela s’est amplifié lorsqu’il a découvert que je ne portais pas de culotte. Il a plongé ses yeux bleu azur dans les miens, à la recherche d’une autorisation, d’un blanc-seing pour explorer ma peau noire. Trop mignon ! Au point où l’on en était, le message de ma chatte était clair, humide et brûlant ! Vas-y ! Doigte-moi !

J’ai caressé le paquet de ses couilles à travers le pantalon, je malaxais doucement les deux bourses qui coulissaient aisément l’une contre l’autre, je remontais le long du pieu, je le sentais pulser et tressauter, visiblement l’engin était tout ce qu’il y a de plus vigoureux. J’en ai eu la preuve dans la nuit !

Marc de son côté a fait preuve d’une maîtrise totale ! Le bougre savait s’y prendre avec le désir féminin. Moi qui n’attendais que cela, qu’il me touche, qu’il me doigte, qu’il me fouille. Il a pris tout son temps, d’abord en arabesques de caresses sur le haut de mes cuisses nues, montant doucement jusqu’à l’aine, il devait sentir la chaleur irradiante de ma chatte en pleine éruption, je mouillais comme une folle. Il a joué à ce petit jeu un moment, ne faisant qu’effleurer l’orée de ma vulve, je ne m’en suis rendue compte qu’après un bon moment mais j’ondulais du cul, comme quand je vais à la rencontre de la pénétration d’une bonne queue. J’ai essayé de calmer ma danse sensuelle, en vain, la main a repris son rite initiatique entre mes cuisses. Torture ! Morsure ! Feu et glace ! Je ne sais combien de temps il a mis avant d’enfin toucher mon graal .. trop à mon goût.

Mais à la réflexion, il avait bien amené la chose. Quand ses doigts ont touché leur but ultime, je ne m’appartenais plus. Il a délicatement parcouru mon sillon, je le sentais décoller mes nymphes soudées par une cyprine aussi épaisse qu’abondante. Il prenait son temps, découvrant avec une lenteur calculée les circonvolutions de mon abricot wengé et rose. La musique était trop forte pour entendre le « plic » lorsque mon fruit s’est ouvert, j’ai tout de suite senti ses doigts glisser aisément, ma cyprine est un véritable lubrifiant naturel, j’ai fait jouer les muscles de mon périnée, Marc a senti les douces pressions de mon sexe et son majeur à remonté le canyon de mes petites lèvres, débusquant in fine mon clitoris gonflé par une érection titanesque.

Mes amants m’ont toujours dit avoir été impressionné par la taille de mon bouton lorsqu’il bande, une belle perle rose et poudrée qui s’érige et se dégage bien de son capuchon protecteur. J’ai sursauté tant la caresse était légère et voluptueuse. J’ai senti la pulpe tourner autour de mon bouton de rose, mes doigts se sont crispés sur la nappe d’un côté, sur la queue du beau directeur régional de l’autre.

Qu’allait-il faire ? Enfin me glisser ses doigts au fond de mon fourreau ? Non, il a décidé de faire vibrer son majeur à une vitesse folle, il donnait de légères impulsions, comme des pichenettes à mon clito qui rebondissait à la manière de ces punchingballs qu’on voit dans les salles de boxe ! Il m’a fait entrer en transe, mon sexe était inondé et mon clitoris en résonnance. Il m’a amenée ainsi au bord d’un gouffre abyssal, il me regardait avec l’intensité d’un fou, mes yeux noisette se sont fermés, j’ai renversé ma tête en arrière et il m’a porté le coup d’estoc, deux de ses doigts m’ont enfin pénétrée ! Forts, puissants, vifs et précis ! Il a été directement activer les terminaisons nerveuses de mon point G, pile sur ma petite éponge, j’ai failli crier mais me suis contenue. La décharge a été d’une rare violence, mon vagin s’est serré spasmodiquement sur les doigts de Marc qui, en amant expérimenté, ne bougeait plus du tout. Les ondes de l’orgasme se sont propagées en profondeur, résonnant jusqu’à mon anus, faisant palpiter mes tétons, irradiant le long de ma colonne vertébrale avant d’illuminer mon cerveau.

Lorsque je suis revenue à moi, Marc me souriait à en fondre sur place, il goûtait discrètement mes secrétions en léchant ses doigts, ma jupe était trempée, les flashes des stroboscopes créaient des arrêts sur images de la piste de danse et de nos regards brillants de désir. Ce type était le jackpot absolu !

« Tu m’invites à danser ? »

Deux rocks et un Madison en ligne plus tard Marc me glissait à l’oreille un « On monte dans ma chambre ? »

J’ai fait oui de la tête et nous nous sommes éclipsés de la fête.

Un regard en arrière pour vérifier que personne n’avait capté notre petit manège et nous nous engouffrions dans le premier ascenseur disponible.

Les trois étages nous ont tout juste permis de nous rouler notre première pelle, profonde, humide, amoureuse, sexuelle !

Ses lèvres étaient douces, ses mains ont soulevé ma jupe et je me suis retrouvée le cul à l’air, j’ai senti son regard qui matait le reflet de mes fesses dans le miroir de la cabine. Son pieu toujours dur comme l’airain planté contre mon bas ventre. J’ai senti mon minou de nouveau en pleine effusion. Ce type me faisait mouiller comme moi je le faisais bander.

Quelques mètres de moquette épaisse, mon popotin toujours dénudé, Marc me pelotant sans vergogne et glissant la carte magnétique dans la fente prévue à cet effet. Le déclic de la gâche électrique, le bruissement sourd de la porte retenue par le groom puis la lumière blafarde qui jailli de toutes les pièces.

Nous nous jetons l’un sur l’autre comme des fauves affamés ! Je veux sa queue, je veux la toucher, la voir, la sucer, l’avaler autant qu’il me sera possible de le faire avec ce mastodonte.

Tant pis pour la lumière crue, il verra mon corps tel qu’il est, peu m’importe. Je ne désire qu’une chose, le baiser à mort et qu’il me baise à mort.

Mes escarpins volent, mes pieds jouissent de cette libération, j’ouvre sa chemise, un peu trop violemment, deux boutons sautent.  Il dégrafe ma ceinture et ma jupe choit à mes pieds, ses doigts agiles libèrent l’attache de mon soutif dans mon dos, je sens mes seins balloter un moment, la suite est brouillonne et précipitée. Nous nous retrouvons enfin à poil, il m’a juste laissé mes bas noirs, c’est vraiment un kiff pour tous les hommes décidément.

J’ose enfin poser mes yeux sur son membre. La vache ! Cette queue ! J’ai eu deux trois sexfriends bien monté mais là ça dépasse l’entendement. J’ai aimé sa queue sur-le-champ. Large, longue, un gourdin lourd et massif surplombant comme un fier obélisque une paire de couilles volumineuse. Son prépuce est déjà rétracté ce qui me laisse tout le loisir de détailler son gland à la couronne bien ourlée et bien dessinée. Il a un sexe parfait. Intimidant et quelque peu effrayant mais parfait.

De son côté il ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais non plus. Il a pris un peu de recul pour détailler la lyre de mes hanches, mon petit ventre plat au nombril parfait (je sais, c’est ridicule mais j’ai toujours adoré mon ombilic), une fois encore mon cul rebondi dans le miroir derrière moi et enfin mes seins. Je ne l’ai su qu’après mais j’étais sa première « panthère noire » comme il m’appelle désormais. Il s’est longuement attardé sur mes jolies poires bien pleines et bien hautes, sur mes aréoles chocolat et mes tétons ébène. Je voyais ses yeux briller, j’ai pris mes lolos à pleine main et les rapprochant légèrement et lui ai tendu mes tétins bandés. Il s’est penché sur moi et a commencé à me téter, à me sucer, à m’aspirer en pressant mes bouts entre sa langue et son palais. Marc avait une science du sexe hors pair, il se dessinait de plus en plus comme un amant parfait.

J’ai lâché mes nénés pour aller m’occuper de sa bite, son gland était dans le même état que ma chatte, son méat dispensait un pré-sperme liquoreux en quantité. Nous nous sommes embrassés comme si nous voulions nous dévorer. J’ai commencé à lui astiquer le manche, lui gémissait doucement tout en me pelotant les fesses quand il a soulevé une de ses mains pour m’asséner une claque sonore qui a fait vibrer tout ma matrice. J’ai adoré ça ! Il l’a senti et a recommencé sur l’autre fesse. Même mon clitoris était gagné par ce mini séisme qui provenait de mes globes charnus. Il m’a chauffé le cul ainsi un moment, je continuais de jouer avec sa queue qui ne débandait pas.

« Tu aimes ça petite salope ? »

Sens du timing, sens du dosage, je me suis liquéfiée une fois de plus. Cet homme mettait mes émotions et mon désir sans dessus dessous.

Un regard de sa part et je suis tombée à genoux, enfin son chibre somptueux était à portée de ma bouche. J’ai attrapé la tige majestueuse, je l’ai de nouveau branlé quelques instants puis j’ai embrassé la fraise couleur chair. Son miel m’a recouvert les lèvres tel un gloss, c’était salé et doux à la fois. J’aime sentir cet élixir de désir perler au bout de la queue d’un amant, signe indéniable de l’effet que je produis. Lentement j’ai apprivoisé la « bête », petits coups de langue par petits coups de langue j’ai lapé toute cette ambroisie avant de goger mon pêché mignon. Marc m’a ramené les cheveux en arrière et a ma emprisonné cette queue de cheval improvisée, j’avais désormais toute liberté pour me repaitre de son sucre d’orge. Il était entièrement épilé, drôle de dichotomie que ce contraste entre un pubis de jeune garçon et cette verge démesurée.

Je me suis appliqué comme jamais, salivant au maximum, léchant la hampe, avalant le gland et ce que je pouvais de ce pieux interminable, gobant les couilles, ce qui lui arrachait des gémissements de plaisir. J’ai rendu les armes au bout d’un bon quart d’heure, la mâchoire légèrement engourdie par cet effort titanesque, Marc m’a aidée à me relevée et m’a invitée à m’allonger sur le lit kingsize.

Je n’ai jamais été très pudique avec mes amants, avec Marc je me sentais en totale liberté. Aucune barrière, aucune hésitation. La lumière faisait briller ma peau d’ébène, je me sentais belle, je me sentais irrésistible, j’avais envie de me donner à cet homme et que, même si cela n’était « qu’un coup d’un soir » de marquer sa mémoire au fer rouge de ma passionaria.

Il s’est lové entre mes cuisses, caressant mes pieds, mes jambes, mon ventre. Ses bras se sont tendus pour venir envelopper mes seins tandis qu’une pluie de baisers crépitait sur ma peau. Comme pour ses caresses un peu plus tôt, il agissait avec une lenteur calculée. Je suis d’un naturel impatient, j’aime quand ça va droit au but mais là, j’ai a.d.o.r.é. cette escalade toute en graduation. Je sentais sa langue goûter la peau caramel de la fine peau de l’aine, les baisers redescendaient en cascade sur l’intérieur de mes cuisses jusqu’à la fosse poplitée, c’est alors mon ventre qui accueillait sa fougue buccale, il fouillait mon nombril pour enfin prendre le chemin, non de Compostelle, mais de ma petite coquille entrouverte.

Il a baisé mes nymphes, je l’ai entendu inspirer puissamment, goûtant les moindres fragrances que libérait mon antre humide, il a glissé ses mains sous mes fesses et m’a légèrement soulevée, portant mon calice à portée de ses lèvres. Je sentais son souffle, j’entendais son émoi de me voir à ce point réactive à ses caresses. Mon bassin s’est mis à danser avec langueur, le salaud n’attendait que cela, c’était à moi de venir laper sa bouche avec mon sexe. Le jeu était sensuel, c’est moi qui imprimais la pression que je voulais ainsi que la vitesse de défilement de sa langue quand cette dernière a pris son envol. Je dis cet envol car j’ai eu l’impression d’avoir un insecte fou entre les jambes, un papillon névrosé mais diablement habile ! Il a mangé mon sexe jusqu’à mon petit trou, enfouissant son visage et maculant ce dernier de mes sucs. Il agitait son muscle avec une vivacité telle que j’avais l’impression qu’il en avait plusieurs, il était sur ma perle, à l’orée de mon vagin, sur les pourtours de mon anus, de nouveau sur mont de Vénus avant de replonger une langue démoniaque dans mon fourreau. Ses phalanges sont enfin venues investir ma forteresse, je l’ai vu sucer un, puis deux, puis trois doigts. Sûr qu’il fallait préparer le terrain avant l’offensive du Panzer qui faisait office d’organe sexuel et la blitz krieg » qui allait suivre !

Il m’a fouillé avec douceur, vrillant lentement afin que la corolle de mon sexe se dilate suffisamment, ramenant ses doigts en crochet afin d’exciter ma zone sensible , le tout en continuant de butiner mon bouton alangui. Je n’ai pu retenir mon second orgasme, plus court mais plus intense, j’ai même senti un léger mascaret être expulsé de ma chatte, j’ai su quelques heures plus tard que ma fontaine avait coulé pour la première fois.

Il s’est relevé, a été nous chercher deux coupes de champagne, nous avons trinquer, j’ai même pris son gland avec le breuvage pétillant en bouche lui m’a rendu la politesse avec un glaçon … hummmm quelle délicieuse sensation que ce chaud et froid sur ma chatte encore brûlante.

Il prenait son temps, un gentleman avec du savoir-faire, sa belle gueule qui me souriait comme un ange, sa queue qui m’attendait, diabolique. La peur me tiraillait quelque peu les entrailles mais je voulais l’avoir en moi, je devais l’avoir en moi.

Il s’est allongé sur le dos et m’a invitée à venir m’accroupir au-dessus du piton de chair. Il a enfilé un préservatif et m’a tenu par les hanches. J’ai guidé le chibre fantastique à l’entrée de ma chatte et doucement, très doucement j’ai apprivoisé le fauve. D’abord le gland, qui est rentré tout seul puis centimètre par centimètre j’ai senti mon sexe s’ouvrir, mes nymphes, distendues par cette invasion, se sont doucement adaptées au format inédit, lentement j’ai pu m’empaler entière sur cette queue qui me remplissait entièrement.

J’ai twerké sur sa bite, Marc était enchanté de ce petit manège puis il m’a basculée sur le coté pour me prendre en cuillers, je pouvais ainsi jouer avec ses couilles, lui avec mes seins. C’est moi qui me suis faufilée afin de lui présenter ma croupe, le genou au bord du matelas, les pieds dans le vide. Il s’est levé, a laissé un filet de salive tomber dans sa paume pour lubrifier son gland toujours protégé, il a posé ses mains sur mes fesses, les a écartées doucement. Il s’est penché pour lécher ma fente que je sentais dégouliner, il n’a pu s’empêcher de glisser sa langue dans mon puit serré, deux doigts dans mon con, sa langue dans mon petit trou, j’ai failli décoller une troisième fois mais il s’est arrêté à temps.

Il a repris possession de mes charnels appâts et m’a prise, d’un coup. J’ai suffoqué, il n’a plus bougé et un zouk infernal a commencé ! Il était inépuisable et d’une enivrante endurance ! Je sentais ma chatte chauffer, mon fourreau prenait la bite jusqu’à la garde, les hanches de Marc claquaient contre mes cuisses, ses couilles sur mon clitoris, c’était divin. Ça l’est devenu encore plus lorsqu’il a commencé à me donner des claques en rythme, une fessée d’un côté, une fessée dans l’autre. Mon cul me brûlait à l’unisson de mon con, il m’a baisé je ne sais combien de temps, j’ai joui pour la troisième fois lorsqu’il a glissé un de ses pouces dans mon cul. J’ai frémi puis n’ai pu retenir un cri, long, rauque, mes cuisses se sont mises à trembler et j’ai été emportée par un orage tropical, ma chatte a fusé comme jamais, des jets puissants et limpides ont inondé Marc. Il a laissé mon plaisir me terrasser, a arraché sa capote et est venu au-dessus de moi se branler vigoureusement. J’ai recouvré assez de lucidité pour glisser ma tête entre ses cuisses et lui offrir un anilingus fatal, j’ai vu ses belles fesses se contracter, il a décalotté son gland à mort, une seconde, deux secondes … rien puis ça a été un geyser de foutre chaud. Les éjaculats se sont succédé, longs traits blanc crème qui se sont écrasés sur mes seins havane, j’ai pu gober son nœud afin de recueillir les dernières gouttes de son sperme doucereux. J’ai étalé son sperme sur mes seins et mon ventre, j’ai léché mes doigts avec gourmandise et il est venu me rouler une pelle d’anthologie, mêlant tous nos fluides et nos saveurs intimes.

J’étais fourbu, je me suis endormie à ses côtés en quelques instants, en caressant sa bite redevenue flasque. J’ai été réveillée vers trois heures du matin par des à-coups, j’ai ouvert les yeux, Marc était en train de se branler ! Inépuisable ! Sa queue avait repris toute sa superbe, mon sexe était un peu douloureux, il l’a compris et il s’est fait gicler, cette fois-ci j’ai tout pris en bouche et avalé l’intégralité de se semence. Il m’a léché et doigté à m’en arracher un énième orgasme.

La douche du matin s’est déroulée à deux, sensuelle et caressante. Nous sommes descendus rejoindre les collègues pour le petit déjeuner et les regards croisés nous ont vite fait comprendre que notre petite histoire était éventée.

Si vous êtes sage et que mon histoire vous a plu, je vous écrirai bientôt la soirée du dimanche qui s’est transformée en quatuor digne d’un film porno !

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