Comment j’ai décoincé belle-maman
26 décembre 2020François, 36 ans, va héberger sa belle-mère chez lui. Il va en profiter pour avoir une belle partie de jambes en l’air avec elle…
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Au début de l’année, une chose que je ne pensais pas possible s’est produite. Ma femme devait partir en stage deux semaines pour le travail et m’a demandé si sa mère pouvait s’installer à la maison pendant ce temps, car chez elle, ça n’allait pas très fort avec son mari. Je lui ai répondu qu’il n’y avait aucun souci.
Il était 7 heures du matin. Ma femme a préparé sa valise et, avant de se sauver, elle a appelé ma belle-mère pour lui dire qu’elle pouvait venir dès qu’elle en aurait envie. On s’est embrassés, et elle est partie pour son stage. Belle-maman n’habitait pas très loin aussi, vers 9 heures, elle était déjà là.
Elle est arrivée avec sa petite valise et semblait très gênée de son intrusion. Je l’ai rassurée en lui affirmant qu’elle devait se considérer comme chez elle. Je lui ai dit de ranger ses affaires dans notre chambre. Moi, je dormirais sur le canapé. Elle était encore hésitante, alors j’ai pris son bagage pour le poser sur le lit.
Ensuite, j’ai préparé un café que nous avons bu au salon, et je lui ai demandé ce qu’il se passait. Elle m’a expliqué que son mari ne la désirait plus depuis plusieurs mois et que ça la frustrait. De plus, il avait une maîtresse qui avait vingt ans de moins que lui. Je lui ai suggéré d’en faire autant. Elle m’a rétorqué que personne ne la regardait dans la rue. Je lui ai avoué que ce n’était pas étonnant, vu la manière qu’elle avait de s’habiller.
C’est une femme très prude et pieuse. Tous les dimanches, elle va à l’église et elle est toujours en tailleur avec des pantalons très stricts, plutôt amples. Ce qui ne laisse rien deviner de son corps… Je lui ai demandé si elle me faisait confiance. Elle m’a répondu d’un hochement de tête.
Alors, je l’ai prise par la main et l’ai amenée dans la chambre : “Viens, je vais te relooker.” Ma femme faisait la même taille qu’elle. J’ai sorti des affaires lui appartenant. J’ai choisi les plus sexy, celles que je préfère. Ma belle-mère m’a dit qu’elle ne pourrait jamais se vêtir ainsi. Elle avait peur d’avoir l’air d’une pute. Je lui ai demandé d’essayer, pour voir. Je lui ai passé une minijupe accordée à un petit top et un string avec des bas. Puis, je l’ai laissée quelques minutes.
Elle m’a appelé et je suis allé la rejoindre. Elle était d’une grande beauté. Je ne l’avais jamais remarqué sous ses fringues strictes. Je lui ai demandé de se tourner. Elle était superbe. J’ai vu sur le lit le string qu’elle n’avait pas mis… Je me suis permis de lui retirer sa culotte blanche en coton très couvrante et “vieille école”. Je voulais lui enfiler le string. Elle était gênée, mais s’est laissé faire.
Elle avait des poils ! C’était flippant… Comparé à ma femme qui se rase toujours la foufoune pour qu’elle soit bien lisse, c’était la jungle ! Je lui ai dit qu’il fallait enlever tout ça. Elle a rougi. Je lui ai demandé de m’attendre et je suis allé chercher le nécessaire. Je suis revenu, j’ai posé une serviette sur le lit. Je lui ai enlevé la mini et le string. Elle n’osait plus rien dire. Je l’ai fait s’allonger, les cuisses bien écartées, et je l’ai rasée. Elle était délicieuse, je bandais comme un fou. Je lui ai demandé si ça lui plaisait. Elle a de nouveau hoché la tête.
Elle a voulu se lever pour s’habiller. Je l’ai retenue sur le lit en lui disant qu’il ne restait plus qu’à goûter. J’ai placé ma tête entre ses cuisses pour la lécher. Elle était bouillante d’envie et totalement en manque. Elle n’arrêtait pas de jouir. Son jus était délicieux. Après un troisième orgasme, elle m’a demandé de stopper… Ce que je n’ai pas fait. Au lieu de cela, je lui ai retiré le top et le soutif.
Je me suis déshabillé et allongé sur elle. Je l’ai embrassée à pleine bouche. Elle m’a donné sa langue tout de suite. Ma queue était à l’orée de sa petite chatte. Je n’en pouvais plus. Elle a senti ma bite entre ses lèvres intimes, elle a frémi. Je me suis enfoncé en elle sans difficulté tellement elle était trempée. Quand j’ai buté au fond, je suis resté un instant sans bouger.
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Je l’ai regardée en lui disant qu’elle ne serait plus jamais en manque et j’ai commencé à la bourrer du plus fort que j’ai pu. Elle remuait ses fesses, elle était heureuse. J’ai senti qu’elle contractait son sexe autour du mien. Elle a joui, et je me suis enfoncé au plus profond pour me lâcher. Son visage respirait le bonheur. J’avais encore ma queue en elle.
Elle en a profité pour me donner encore ses lèvres et sa petite langue. Je me suis retiré et allongé sur le dos. Je lui ai demandé de venir à cheval sur mon visage pour qu’elle me donne sa chatte, ce qu’elle a fait. Dans le même mouvement, elle s’est laissé porter et a englouti ma queue ! Elle suçait comme une reine. Je lui ai dit que j’allais jouir. Elle m’a retenu pour que je gicle dans sa bouche. C’était délicieux. Elle a tout avalé comme une gourmande.
Nous avons fait une petite pause câlins et elle m’a confié que c’était la première fois qu’elle buvait du sperme. Mais elle a ajouté qu’elle y avait pris beaucoup de plaisir. Je l’ai fait mettre en levrette et je l’ai reprise très fort. Elle venait à la rencontre de mes coups de queue. Elle a encore joui.
Je me suis retiré tout dur et je lui ai léché l’anus. Elle a deviné ce que je voulais et m’a avoué n’avoir jamais fait ça. Son mari trouvait cela sale. Je lui ai répliqué que moi, je voulais son cul. J’ai mis de la salive sur sa rondelle, j’ai appuyé mon gland et elle s’est laissé faire pendant que j’entrais en elle très doucement. Je lui frottais le clito en même temps et je l’ai sentie plus à l’aise tout à coup. J’ai commencé à l’enculer plus fort. Elle avait mal, mais ça lui plaisait de plus en plus. J’ai joui en elle.
Nous avons tranquillement repris notre souffle, puis elle m’a demandé si c’était juste pour une fois ou si je comptais continuer à tromper sa fille avec elle… Je lui ai répondu que je les voulais toutes les deux. Nous nous sommes douchés et câlinés, puis elle a enfilé une nuisette de ma femme et nous sommes restés sur le canapé à nous embrasser.
Quand la sonnette a retenti, c’était mon frère qui arrivait. J’ai refait couler un café que nous avons bu à trois dans le salon. Il avait remarqué que belle-maman était nue sous la nuisette… J’ai mis ma main entre ses cuisses et constaté qu’elle était encore trempée. D’un coup, je lui ai donné ma bite à sucer sous le regard médusé de mon frangin.
Je lui ai demandé ce qu’il attendait… Il a baissé son pantalon et lui a présenté sa queue à son tour. Elle semblait embêtée, mais elle a fini par le pomper lui aussi. Elle nous a fait jouir tous les deux dans sa bouche. Elle était de plus en plus à l’aise. J’ai dit à mon frère de se mettre par terre, sur le dos, et j’ai demandé à belle-maman de le chevaucher. Elle s’est placée au-dessus et a eu un mouvement de recul. Je l’ai fait descendre et j’ai guidé la lance brûlante de mon frère dans sa chatte.
Elle était un peu honteuse, mais elle aimait cette bite qui allait et venait en elle. Je me suis ensuite glissé derrière elle et j’ai posé mon gland sur son cul. J’ai poussé et je suis entré. On a accordé notre cadence pour baiser à fond tous les trois. Belle-maman était pleine. Elle n’en pouvait plus. Elle a joui comme une folle et on s’est vidés en elle. Elle était crevée, je lui ai dit de se mettre une dernière fois en levrette. Elle s’est laissé enculer par mon frangin et s’est écroulée. C’était terminé.
Depuis, on fait ça tous les trois régulièrement. Ma femme ne le sait pas et le pire, c’est que belle-maman est amoureuse de mon frangin. Elle prend de plus en plus de plaisir à boire nos jus et à se faire enculer. On a même tourné des vidéos à trois chez mon frère et dans son jardin… Pourvu que ça dure !
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