J’ai pas fait mes devoirs !

La rédaction 2 juillet 2019

Lydie, 25 ans, Dunkerque

j'ai pas fait mes devoirs histoire erotique

Encore une fois, je n’ai pas fait mes devoirs ! Ça avait le don de rendre mon chéri, Jules, complètement fou. On joue souvent à des jeux de rôles un peu régressifs : l’étudiante et le professeur, la secrétaire et le patron, la pom-pom girl et le joueur de football (oui, celui-là est particulier, je vous l’accorde !)… et là, je n’avais pas fait mes devoirs ! J’avais pris soin, avant de le déranger dans sa partie de jeux vidéo, d’avoir enfilé une petite jupe très courte, un petit haut vert fluo et de m’être fait deux couettes bien hautes. Quand il m’a vu arriver dans cet accoutrement avec ma petite moue boudeuse, mon homme m’a immédiatement prise à la renverse sur ses genoux, abandonnant d’une traite sa partie virtuelle en cours.

Il a relevé ma jupe au-dessus de mes deux petites miches et m’a donné une petite tape sur le fessier. « Oh, tu as mis ta petite culotte blanche en coton, en plus ! » s’est-il émerveillé. « Mais je vais quand même te la retirer, elle me gêne terriblement dans mes mouvements. » Très doucement, il a fait coulisser ma culotte entre mes cuisses. Il a certainement dû s’apercevoir qu’elle était trempée, mais il n’a rien dit. « Bon alors, tu n’as pas fait tes devoirs, c’est ça ? Mmh, laisse-moi réfléchir à une punition… » Jules avait toujours beaucoup d’imagination, j’étais impatiente qu’il en trouve une nouvelle ! Tout en réfléchissant, il faisait rougir mes deux petites fesses d’une poigne très maîtrisée.

Ça ne faisait pas mal du tout d’ailleurs, c’était assez agréable. Il savait comment frapper, toujours sur la partie la plus charnue, en alternant une tape ferme et une caresse plus douce. « Je sais ! » s’est-il écrié comme un gosse. « Tu vas devoir te tenir à genoux, main sur la tête, langue pendante, et moi je vais t’enfoncer ma bite jusqu’au fond de la gorge. » L’idée m’excitait bien (surtout dite de cette façon-là), même si ce n’était pas si original que ça. Je me suis donc mise dans un coin de la pièce, Jules a fait passer sa queue à travers la braguette de son jean. Il avait encore une demi-molle, mais une fois dans ma bouche, il s’est mis à bander bien dur instantanément. Un peu comme un cachet d’aspirine au contact de l’eau. « Tire plus ta langue Lydie ! Je veux te voir baver sur ton menton ! » Je la tirais le plus possible mais il était vraiment impitoyable. Il me tenait par les cheveux, et enfonçait comme il pouvait mon visage sur son membre viril. Ça m’étouffait, et, me voyant suffoquer comme une malade, il a décidé d’arrêter. « Bon allez, c’est bon ! Le jeu est terminé, viens que je te baise… » Il s’est allongé lentement sur notre lit et je suis venue m’empaler sur lui. « À toi de bosser ! » m’a-t-il ordonné.

J’ai soulevé puis redescendu mon bassin, avec une rapidité qui m’étonnait moi-même, dans un mouvement qui se voulait le plus ample possible. « Mmmh. Ooh. Encore… » Jules avait l’air comblé. Il a tendu ses bras en haut comme s’il s’étirait après une nuit agité. Il était complètement abandonné à mes à-coups impulsifs. Plus je lui en donnais, plus cela coulissait facilement. Au bout d’un moment il a lâché un grand soupir saccadé, signe évident d’une éjaculation réussie. Il m’a alors serrée contre son torse et m’a retiré les élastiques qui nouaient mes cheveux en couette.

« Je te préfère au naturel… » m’a-t-il susurré à l’oreille tandis que nous étions collés l’un à l’autre, en position de câlin. « En tout cas merci, c’était vraiment très bon ! »
Pour un professeur, il savait être sévère… mais juste !

(Image à la une : Getty Images)

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