Josy la déchainée

La rédaction 30 novembre 2020

Josy, 53 ans, tombe sur un ex qui la reconnaît de suite. Il lui remémore leur partie de jambes en l’air et s’en vont à l’hôtel !

Bonjour, c’est Josy de Lyon, il faut que je vous raconte mon histoire de sexe. Alors voilà, je devais rejoindre des copines au resto quand je suis tombée sur un ex, Houssine, qui m’a reconnue de suite. Moi, je ne l’avais pas capté immédiatement, il m’a remémoré notre partie de jambes en l’air…

ll est vrai qu’on n’avait baisé qu’une seule fois, et je ne me souviens pas de tous les mecs qui m’ont sautée. Ne vous méprenez pas, je ne suis pas une pute, juste une vraie coquine qui aime le sexe… Bref, j’ai annulé le resto et on est allés à l’hôtel !

Dans l’ascenseur, il a commencé à me peloter en me roulant des pelles, et j’ai tâté la bosse de sa braguette qui me semblait prometteuse. Pas le temps pour des préliminaires. À peine passé le seuil de la chambre, il a baissé son jean, et je me suis jetée comme une vorace sur son pénis érigé.

Houssine a une belle queue avec un gland circoncis proéminent qui m’a bien rempli la bouche… Du liquide séminal abondant m’inondait la langue… Le genre d’amuse-gueule qui me file le feu aux fesses. J’étais bien chaude quand il m’a pénétrée, c’est entré tout seul. Une bonne bite entre les jambes, c’est meilleur qu’un steak-frites.

Pour pimenter le plat, il m’a retournée en levrette. Houssine m’a rappelé notre dernière partie quand il m’avait sodomisée. Il était très chaud pour réitérer l’expérience… Moi aussi d’ailleurs !

Comme ce mec est bien monté, j’ai préféré qu’il me lubrifie avec le gel que j’ai toujours dans mon sac avec les capotes. Je suis prévoyante. Il m’a enfilée sauvagement. Sa bite dure comme de l’acier m’a ouvert la rosette comme une brute. Il m’a chopée par les bourrelets en poussant, et j’ai senti la colonne m’envahir progressivement centimètres par centimètre.

J’ai cambré les reins, tendu les fesses et l’engin m’a remplie jusqu’à la garde. Il m’a promis de me « défoncer le cul » et il a failli le faire. Sauf que… trop excité, il a eu plusieurs spasmes et a déchargé dans la capote. J’en aurais bien pris encore deux ou trois petits coups, dommage.

Mon amant du jour me regardait avec les yeux hagards, la bite ramollissant dans sa main. J’ai retiré le préservatif pour sucer cette tige poisseuse de foutre qui a vite durci dans ma bouche. En guise de dessert, le goût n’était pas formidable, mais j’aime sucer pour faire plaisir, et Houssine me disait que j’étais bonne. Je l’ai laissé jouir dans ma bouche à nouveau et j’ai tout avalé, pas parce que j’aime ça, mais parce qu’il me l’a demandé.

Notre partie de jambes en l’air a duré moins d’une heure. On s’est séparés en se faisant la bise comme deux vieux copains. Je ne voulais pas qu’il se fasse des illusions, qu’il me croie amoureuse parce que je baise avec lui. J’avais juste envie du bon coup de bite que je n’avais pas eu à la maison.

Je suis rentrée chez moi. Mon mari, déjà là, m’a trouvé une mine épanouie : « Je fais un régime et de la gym entre midi et deux« , lui ai-je dit. Bien sûr, il m’a crue. Il m’a fait l’amour fougueusement et moi, pour m’exciter, j’ai repensé à la grosse pine de mon amant au fond de mon cul. Si mon mari avait été plus entreprenant, il aurait constaté ma rondelle encore lubrifiée de gel et dilatée par la bite de mon amant.

Il sait que je le trompe, mais reste persuadé que je suis vierge de l’anus et que le sperme dans la bouche me fait vomir. Ça, c’était avant, la bobonne fidèle et ignorante prête à se faire larguer par un mari égoïste. J’étais vraiment conne.

Les hommes aiment les salopes, et mon époux est heureux d’avoir une chaudasse dans son lit. Et pour ça, il me pardonne mes petites aventures pour la bonne cause.

En quelque sorte, je fais la pute pour mon époux depuis presque trente ans, sauf que, maintenant, il me demande de lui confier mes aventures avec mes clients récalcitrants : « C’est juste écarter les cuisses ma chérie, tu me raconteras. » Je lui ai donc raconté comment, obéissante, j’avais ouvert les jambes afin que le type tire son coup. Mais, ce qu’il ne sait pas, c’est que je me suis pris la bite du type au fond de l’anus, juste pour le plaisir.

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