La veuve très joyeuse
9 décembre 2019Jérémy, 30 ans
Je suis un jeune Ivoirien, j’habite Abidjan. Cet été, j’ai travaillé dans une petite boîte d’audiovisuel et je devais aller tourner à Man, une grande ville de l’ouest du pays. Le groupe est parti deux jours avant moi, parce qu’il fallait que je termine mes compositions avant de les rejoindre. Au lieu de prendre un autocar à la gare routière, j’ai fait de l’auto-stop, ce qui peut être dangereux. Une grosse voiture s’est arrêtée, sa conductrice, seule à bord, était une dame proche de la soixantaine. Elle m’a dit : « Je peux te déposer mon grand ? Tu vas où ? » Comme moi, elle se rendait à Man, ou tout près en tout cas, ce qui tombait plutôt bien. Je suis monté avec elle devant, et on s’est mis en route en causant. Elle m’a appris qu’elle était originaire de Côte d’Ivoire mais qu’elle vivait en France, et qu’elle était veuve. Elle était plutôt sexy pour une veuve, sa petite robe remontait sur ses belles cuisses brunes que je n’arrêtais pas de regarder. Ma pine durcissait à intervalles réguliers.
Nous avons atteint la ville de Gagnoa aux environs de 13 h 30, et la conductrice a décidé qu’on allait s’arrêter pour manger quelque chose. Au bord de la route, il y avait un hôtel-restaurant assez joli. Pour le déjeuner, on s’est régalés d’un bon poulet. Puis la dame s’est absentée une dizaine de minutes. Quand elle est revenue, elle m’a annoncé qu’elle avait une surprise pour le dessert. Nous sommes montés dans une très belle chambre, et elle m’a expliqué qu’elle venait de la louer. Je ne prononçais pas un mot. « On dirait que tu as peur de moi, tu ne réagis pas, là« , et elle a ri en touchant mon pantalon où il fallait. La belle veuve a commencé à enlever ses habits devant moi. Elle s’est dirigée tout droit vers la douche et elle n’a pas fermé la porte. J’étais sûr maintenant qu’elle voulait quelque chose de bien précis… Dans la chambre, je me suis dépêché d’ôter tous mes vêtements et je l’ai rejointe sous la pluie d’eau. Elle m’a dit en souriant : « Je savais que tu allais te décider. » L’eau dévalait sur nos corps, je me suis mis à sucer ses seins qui étaient encore en bonne forme.
On s’est embrassés et elle s’est assise, puis elle a écarté ses jambes comme pour me dire : « Occupe-toi de moi. » Je me suis baissé pour laper son clitoris et son vagin, elle gémissait fort. Je l’ai fait jouir deux fois. Je sentais ses muscles du bas bouger sous mes lèvres, en même temps qu’elle n’arrêtait pas de produire de la mouille. Après ça, elle s’est levée et a commencé à me faire une pipe pas possible. Quelques va-et-vient dans sa bouche et j’ai déversé mon jus sur sa langue. Elle a avalé avec appétit. On s’est séchés et on est allés se câliner sur le lit. J’avais déjà oublié que je devais aller à Man, et le réalisateur m’a ramené à la réalité en me passant un coup de fil pour voir où j’en étais. Je lui ai menti avec aplomb, comme quoi l’autocar était tombé en panne au niveau de Divo. Il m’a souhaité bonne chance amicalement.
J’étais sur un petit nuage. Je me suis à nouveau occupé de la charmante veuve, dont le corps ridé mais ferme sollicitait toute mon attention. Je l’ai léché de longs instants, en évitant soigneusement le clitoris qui réclamait encore ma langue. Finalement, je suis allé m’occuper du petit machin que j’ai lapé et sucé, comme un bonbon. On s’est mis en 69, et on s’est mutuellement donné du plaisir . J’ai sorti une capote de mon sac. « Alors comme ça, on est toujours prêt ? » J’ai répondu que quand on voyage, on ne sait jamais. Elle a acquiescé. Je me suis couché sur le dos pendant que j’enfilais le bonnet en plastique.
Ma conductrice s’est assise doucement sur ma pine qui a disparu dans son vagin comme un couteau dans du beurre. « Ta bite est longue elle veut me toucher les intestins« , et ça m’a fait redoubler de vigueur. Elle me chevauchait comme au grand galop vu les coups de gourdin que je lui infligeais. J’ai joui dans ma capote. Quelques minutes plus tard, c’était reparti, elle en voulait plus, elle réclamait une pénétration anale. Je n’avais jamais fait ça avant, alors elle s’est mise à quatre pattes et a guidé ma bite qui avait immédiatement regonflé à cette proposition. Je l’ai pénétrée avec précaution, elle hurlait de joie, je n’ai pas mis longtemps à remplir une nouvelle capote en lui disant que si elle le voulait, je pouvais la baiser jusqu’à minuit.
On a dû reprendre la route de Man. Mon amante était très heureuse, elle m’a dit qu’on ne l’avait jamais sautée comme ça, que j’étais un champion. Nous sommes arrivés à Man vers 22 heures, et elle a pris une chambre dans le même hôtel que moi. On a baisé comme des fous. Quand je suis rentré à Abidjan après ce boulot, on s’est revus plusieurs fois, et on a baisé encore, et encore… Puis elle s’en est retournée en France. Au début, elle me téléphonait régulièrement, puis on a lentement perdu contact. Si tu me lis, appelle-moi, j’ai encore envie de toi. Depuis, je ne fais plus l’amour qu’avec des femmes mûres. J’adore le sexe. Je suis infatigable. Mesdames d’un certain âge, si vous venez à Abidjan, écrivez-moi ! Je vous promets de vous faire jouir comme jamais cela ne vous est arrivé, comme j’ai su faire décoller ma charmante veuve joyeuse !
(Image à la une : Getty Images)
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