Le cul dans la neige
11 juillet 2023Régine se souvient de cette amant avide de cul qui lui avait offert un cunnilingus mémorable dans la neige en pleine rue !
La neige tombe, à nouveau, cette année. La neige tombe et comme à chaque fois, cela ravive chez moi d’anciens souvenirs, celui d’un amant. De L’amant, même, avec un grand L – celui qui m’a fait connaître le grand frisson, celui qui m’a fait sentir femme comme nul n’a jamais réussi, avant lui, et après lui : Serge. Voici mon histoire de sexe.
Un amant insatiable
C’est bien simple, il voulait me baiser tout le temps. Il était insatiable. Si bien qu’une fois, en vacances avec une bande d’amis, dans une station de ski quelque part dans les Alpes, alors que nous avions décidé d’aller voir un film au cinéma tard le soir… il a décidé de me prendre directement sur le chemin. Sans même attendre que l’on rentre au chalet. Alors que d’épais flocons tombaient et recouvraient toute la station d’une épaisse couche de neige. Le vent se levait et que la nuit noire faisait trembler les montagnes, il a décidé qu’il me trousserait. Là, tout de suite, maintenant.
Gênée par son impudeur, j’ai voulu m’éloigner des chemins publics. J’ai préféré que nous nous cachions derrière des pins, en bordure, dans la pénombre et l’obscurité. Qu’est-ce qu’il faisait froid. Je tremblais dans ses bras, bien que ses baisers brûlants, empressés me réchauffaient un peu. Si je jouais souvent celle qui n’aime pas ça, je dois bien avouer que je raffolais de ses moments d’étreintes. Son désir semblait le transcender et lui apporter une énergie presque surnaturelle.
Chaud au cul dans la neige
Après m’avoir embrassé tout le visage, ses mains se sont ensuite promenées sur mes vêtements à la recherche des boutons et des zips. De tout ce qu’elles pouvaient dégrafer. Mon pantalon est tombé sur mes gros après-ski et j’ai encore le souvenir de son sourire qui brillait dans la nuit. Il s’est agenouillé au niveau de ma culotte qu’il a fini par baisser, elle aussi. Il m’a fait un cunnilingus d’enfer, passant ses bras sur mes fesses et mon dos pour que je ne lui échappe pas, il lapait goulument tous les plis et replis de mon sexe.
Sa bave, d’abord chaude, coulait ensuite le long de ma cuisse. Elle terminait sa course, presque gelée au niveau de mes chevilles. Qu’est-ce qu’il faisait froid ! À force de me presser de la sorte, nous avons fini par chavirer, tous les deux au sol, en riant mais pas trop fort, pour ne pas attirer les passants. Dans de petits « chut » « chut » « chut » que nous prononcions en nous embrassant en même temps. Mon cul s’est retrouvé dans la neige – et curieusement, je n’ai même pas senti la brûlure du gel sur ma peau. J’étais dans un tel état d’excitation qu’aucune autre sensation ne pouvait prendre le pas dans mon cerveau.
Masturbation intense
Serge a pris ma petite main, l’a placée dans son pantalon de ski, au niveau de sa braguette et a guidé mes doigts pour que je le branle. Dans la chaleur de son vêtement rembourré. Mes gestes se faisaient plus difficiles, entravés par tout ce tissu, mais sa paume, moite, et son pénis, fiévreux me réchauffaient.
Il a fini par jouir sur lui, et nous nous sommes embrassés longuement encore, dans la neige. Je crois que mon cul est resté collé sur le sol de longues minutes avant que je ne m’aperçoive que toute ma culotte, ainsi que le rembourrage de mon pantalon étaient trempés. Nous avons ri. Il me serrait fort dans ses bras. Le temps nous a séparé, mais encore aujourd’hui, dès que la neige tombe, je tuerai pour me retrouver à nouveau, la bouche vissée à la sienne, emmitouflée dans ses bras musclés. Et le cul dans la neige.