Le musi-sein

La rédaction 11 mars 2019

Malek, 32 ans, Clamart.

Les applaudissements résonnaient encore très fort derrière le rideau. C’était un de nos meilleurs concerts, et de loin ! J’avais donné tout ce que je pouvais et, quand toute la bande m’a proposé de les suivre en boîte de nuit, j’ai poliment décliné l’offre. J’étais trempé de sueur, et mes jambes peinaient à me garder debout. Je me suis allongé sur le grand lit de ma loge, satisfait. J’ai retiré le portable de la poche de mon jean et j’ai twitté : « Un concert au sommet ! #love. » Miss_Katy, une de mes plus fidèles admiratrices s’est empressée de retwitter mon post et de l’ajouter à ses favoris.

Dans les secondes qui suivirent, elle répondit à mon message en postant une photo d’elle prise lors de mon concert, « je confirme ! #love ». Plutôt mignonne la Miss_Katy, une petite blonde pulpeuse avec un rouge à lèvre criard ! J’adorais le style. Je lui ai envoyé un message sur sa boîte personnelle : « Envie de prolonger le concert ? J’organise un show privé dans ma loge. » C’était quitte ou double, soit elle me prenait pour un gros pervers, soit elle courait vers moi. Dix secondes plus tard, mon portable s’est mis à vibrer, sa réponse s’est affichée en plein milieu de mon écran : « Avec plaisir. Katia. »

Après quelques échanges pour lui préciser le lieu exact, Katia était chez moi, avec sa jupe blanche et son petit top moulant. « Je n’en reviens pas ! Enfin je te rencontre… » ont été les premiers mots qui sont sortis de sa bouche, puis elle s’est reprise, gênée. « Ton concert était fabuleux, vous avez tous été incroyables ! » Je savais que je n’avais pas autant de succès que Tom, le chanteur de la bande, mais en tant que bassiste, je ne laissais pas non plus les femmes complètement indifférentes.

Elle jetait des regards dans toute la pièce, peut-être un peu déçue que je ne l’ai pas accueillie ma guitare sous le bras et en costume de scène. Je me suis tout d’un coup trouvé sans suite dans les idées. Je n’avais pas envie de me mettre à jouer de la musique. Par contre, faire l’amour, j’en avais bien envie… Mais dans mon imagination, cela m’avait semblé beaucoup plus simple. Elle m’aurait sauté dessus à peine le pas de la porte passé ou se serait jetée nue sur mon lit. Mais non, elle restait plantée près de la porte, son sac à main collé contre son ventre.

« Tu veux un verre ? » lui ai-je demandé avec un peu d’empressement. Elle a hoché la tête timidement, ne sachant trop où se mettre. « Tu peux poser tes affaires sur le lit, si tu veux. » Elle s’est exécutée dans la seconde qui suivait.

Je m’approchais lentement du minibar quand j’ai décidé de prendre mon courage à deux mains et de me retourner pour l’embrasser. Katia s’est laissée faire, un peu étonnée par ma prise d’initiative. Nous nous sommes déshabillés à la hâte et, en un quart de seconde, nous étions tous les deux nus sous la couette. Enfin, pas totalement, elle avait conservé sa petite culotte en dentelle rose fuchsia. Elle a pris ma queue et s’est mise à me branler. Elle était douée, la petite, on voyait qu’elle n’en était pas à son premier essai !

Une fois que ma queue était bien dressée, elle s’est mise à lécher le gland délicatement, en tapotant le bout avec sa petite langue. Bon, pour la fellation, il fallait manifestement qu’elle progresse encore un peu même si sa technique était tout à fait originale ! Je l’ai retournée et ai attrapé le pot de lubrifiant qui trônait sur ma table de nuit. J’avais envie d’une petite sodomie. J’ai badigeonné mon doigt de gel pour bien le lubrifier et l’ai enfoncé dans son cul. Ses fesses m’ont accueilli sans aucune difficulté, bien ouvertes. Elle était parfaitement propre. J’ai essayé de rentrer ma queue dedans, mais ma bite butait contre son petit trou. Je n’arrivais même pas à passer ne serait-ce que le bout du gland.

« Je n’ai jamais fait de sodomie encore », m’a-t-elle murmuré, penaude. Tant pis ! Je me suis rabattu sur sa magnifique chatte, je l’ai bien écartée et ai calé mon sexe dedans. Faire venir Katia était décidément une bonne idée ! Elle était bien chaude, bien serrée.

Une fois que j’ai éjaculé en elle, je me suis retiré. J’étais encore une fois trempé de sueur, et mes jambes peinaient à nouveau à me garder debout. J’avais l’impression de sortir de concert.

Dans ma tête résonnaient encore les applaudissements.

(Photo à la une : Getty Images)

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Des p’tits trous partout
« Je suis batteur d’un groupe de musique métal qui marche pas mal dans ma région. On commence à avoir des fans qui nous suivent en tournée et qui nous contactent sur les réseaux sociaux. Parmi mes groupies personnelles, il y a Katia, avec qui j’ai passé un super moment récemment. » Patrice. 

La groupie du guitariste
« Je suis dehors au moins deux fois par semaine pour danser et chanter en chœur avec mes artistes préférés. Et quand mon groupe de rock favori est venu d’Angleterre pour une date exceptionnelle, j’ai pris un billet sur le champ. Après le concert, j’ai même réussi à passer un moment en tête à tête avec le guitariste dans sa loge. » Sofia.

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