Les ballons d’Alsace

La rédaction 3 octobre 2024

Malek, 27 ans est compagnon de France et voyage beaucoup. Lors d’un déplacement, il tombe sur une logeuse amatrice de sodomie. Excitation garantie !

Compagnon du tour de France, ma formation m’a amené sur le chantier d’une cathédrale en Alsace l’été dernier. J’ai été accueilli par des frères sur place qui, comme à l’habitude, m’ont trouvé un hébergement pour la durée de mon séjour. Je n’ai pas bien compris pourquoi, le soir même de mon arrivée, ils sont partis le sourire aux lèvres, mais lorsque j’ai rencontré ma logeuse, j’ai pigé ! Une bombe aux yeux bleus, habillée plus que court avec un décolleté vertigineux qui ne dissimulait rien de ses seins au volume phénoménal ! Avec elle j’ai partagé une histoire de sexe amateur des plus chaude.

Une logeuse amatrice de fellation

Graziella m’a fait visiter ma chambre et je bandais déjà. La belle n’arrêtait pas de se pencher, m’offrant une vue imprenable sur son côté face comme sur le pile. Quand sa jupe en jean est carrément remontée au-dessus de son arrière-train rebondi, je n’ai pas pu détacher mon regard de ses fesses. « Il te plaît mon cul ? Tu veux le voir de plus près ? » et elle a libéré sa poitrine en abaissant son top rouge. Elle m’a roulé une pelle, sa langue était fraîche, elle attaquait ma braguette pour en extraire ma pine. Elle a eu un moment d’arrêt et, tout en soulevant ses lunettes de soleil, a jeté un coup d’œil au morceau qu’elle tenait entre les doigts. J’ai été gâté par mère Nature et visiblement ce n’était pas pour déplaire à ma logeuse.

Elle a sorti un compact et mitraillé ma queue, j’ai pris mon portable et photographié ma paparazzi à moitié nue. Elle a gagné le lit pour poser comme une professionnelle, se libérant définitivement de son tee-shirt et de son soutif pour finir chatte écartée, se caressant comme si je n’étais pas là. J’ai pris le temps de me déshabiller à mon tour et mon hôte s’est ruée sur ma barre d’acier, la couvrant de salive, crachant dessus, aspirant mon gland et mes bourses. Malgré le diamètre de mon pénis, elle a réussi à tout mettre dans sa bouche pour me pomper à mort. Elle me branlait tout en agaçant mon méat urinaire avec son piercing fluo, j’ai pris un pied incroyable.

Aventure et sodomie

Je l’ai renversée sur le matelas et de nouveau, elle a ouvert ses cuisses, me donnant libre accès à tous ses orifices. Son corps sentait bon, sa mouille, aigre-douce au départ s’est soudain transformée en un jus mielleux et sucré, ça me coulait dans la gorge, et son clitoris grossissait sur ma langue comme une petite bite. Je l’ai suçotée tel un bonbon et elle a joui en criant à gorge déployée. Elle a alors réclamé que je lui mette ma trique tout au fond de la chatte, son con était de plus en plus gonflé. Je me suis exécuté avec application, je ne voulais pas lui enfiler mon gourdin trop brusquement, erreur, c’est Graziella qui a soulevé son cul et, en un grand coup de hanche dans ma direction, s’est empalée jusqu’à la garde. Son vagin était étroit, mais suffisamment élastique pour m’accueillir entièrement en lui. Ses yeux étaient partis dans le vide, elle éructait qu’elle désirait que je la baise, que je la démonte, j’étais crevé par mon voyage, mais j’ai tout donné. J’ai jeté mes dernières forces dans une levrette épique qui a fait reculer le lit jusqu’à la fenêtre. Elle a eu un autre orgasme, encore plus fort que le précédent. Je l’ai laissée reprendre ses esprits et en ai profité pour enfin aller prendre une douche. Quand je suis revenu, elle avait disparu. Je me suis écroulé, halluciné par ce que je venais de vivre.

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Dans la nuit, j’ai reçu sa visite, j’ai senti la couette se soulever et ses gros nibards qui caressaient ma bite flasque. En quelques secondes j’avais une gaule terrible et je sentais ses tétons remonter sur moi en agaçant mon ventre, mon torse, ils se logèrent entre mes lèvres et je lui bouffais les mamelons pendant qu’elle fouillait son sexe, histoire de le préparer avant de se ficher sur mon mât désormais fièrement dressé. Cette femme était insatiable, une vraie furie sexuelle. Après s’être fait jouir ainsi à califourchon sur moi, elle a jeté la couette au sol et s’y est installée en chandelle, le cul au ciel, le dos contre le lit. Elle a basculé ses jambes en arrière jusqu’à poser ses pieds de part et d’autre de sa tête et s’est écarté les fesses au maximum avec les mains. Je doutais d’avoir bien compris, mais quand elle m’a dit, alors que je cherchais à la pénétrer, « Non, dans l’autre trou mon cœur », j’ai su ce qu’elle désirait vraiment. Ma pine s’est enfoncée dans l’œillet moelleux qui a cédé dès la première poussée. Je n’avais enculé que peu de filles jusque-là, avec mon membre, elles ne veulent jamais. Graziella a été la quatrième à me livrer son anus. J’en ai profité quatre mois, lui défonçant la rondelle comme le vagin, éjaculant dans son fion, dans sa chatte, dans sa bouche ou encore sur ses gros roploplos.

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