MILF shake

La rédaction 31 mars 2021

Françoise, 47 ans, succombe aux charmes de Romain, le petit copain de sa fille. Un homme tout juste adulte mais déjà bien pervers…

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Bonjour,

Voici mon histoire érotique. Je me présente, je m’appelle Françoise, j’ai quarante-sept ans, maman de trois filles de vingt-cinq, vingt-deux et vingt ans ! Pour me décrire un peu plus, que dire ? Ex-sportive de haut niveau (escrime), je suis toujours au top de ma forme ; fitness, tennis, natation et vélo ! Femme active je fais tout pour faire la fierté de mes nénettes et de mon mari, Charles.

Ah … Charles. Parlons-en ! Lui s’est un peu laissé aller avec le temps. Pas physiquement, il est resté très bel homme avec son mètre quatre-vingt-dix, ses dents blanches au sourire charmeur et son style dandy londonien. Non, c’est sous la couette que ce grand machin de cinquante-deux ans s’est assoupi. Oh, certes, si je glisse une main fureteuse un matin et que je trouve son gourdin en forme, après une bonne pipe, il aime à me prendre et à me faire jouir, sa queue épaisse au gland bien développé fait toujours des miracles. Mais il n’a plus la niaque comme autrefois. D’accord on a vingt-sept ans de mariage à notre actif mais, de mon côté, je rêve toujours d’une soirée à la bougie, une chambre claire-obscure, une plage dans une crique isolée, une longue nuit d’amour intense, de sexe pur ou même d’un petit quickie, là, au-dessus de l’évier de la cuisine entre les épluchures de patates et le pot de crème fraîche ! J’ai toujours aimé le sexe, depuis que je me souvienne. J’ai toujours adoré les sensations délicieuses dont mon clitoris, s’il est bien sollicité, m’inonde.

La MILF part à l’attaque !

Et Charles, et bien Charles est devenu un pépère sexuel. Tirer son coup une fois tous les quinze jours lui suffit. Moi pas ! Je l’ai soupçonné d’avoir une liaison mais pas du tout. Il s’est juste assoupi dans une vie trop confortable. Je suis donc dit « Ma petite Françoise, on va réveiller tout ça » ! Direction internet, les sites de ventes en ligne  de sextoys ne manquent pas. Je me suis fait plaisir, avec sa carte bleue pour que mes achats ne lui échappent pas. Mille balles de jouets divers, de lubrifiant et de divers ouvrages du genre « Osez la masturbation féminine », ça ne pouvait passer inaperçu !

Rien ! Vous m’entendez ? Rien ! Pas une réaction, pas un sourcil qui se lève, un animal à sang froid ! Un caméléon, vous savez avec les yeux fous qui partent dans deux directions différentes !

Peu m’importait, je me suis familiarisé avec mes nouvelles acquisitions ! Rabbit (moi aussi j’ai regardé « Sex and the city »), stimulateur clitoridien, plug anal, wand et boules de geisha, pour savoir ce qui me plaisait, il fallait bien tout tester ! Mon tiercé gagnant ? Grand gagnant, le jouet qui porte le même nom qu’une chanson de Britney Spears, juste derrière le rabbit, j’avoue que le combo clito-point G m’a déclenché de ces orgasmes et enfin le wand, très efficace quand le plaisir a du mal à pointer le bout de son nez.

Voilà dans quel état d’esprit j’étais avant ce fameux week-end où nous sommes partis dans notre maison de campagne, sur les bords de la Loire, à cent cinquante kilomètres au sud de Paris. J’ai là-bas un grand pied-à-terre hérité de mes parents, proche de la capitale il offre surtout six chambres et autant de salles d’eau. Pour les grands week-ends en famille c’est l’idéal.

Nous sommes donc arrivés dans ce petit village par un vendredi soir ensoleillé, Charles, nos trois filles, leurs compagnes et compagnons et moi ! Je ne vais pas vous dresser l’arbre généalogique de la famille, nous ne sommes pas là pour ça, retenez juste deux prénoms, Angélique et Romain. Respectivement la petite amie de la puis-née et le fiancé de l’aînée.

Se déplacer ainsi à huit personnes est toujours une gageure si ce n’est carrément un déménagement ! Entre les valises de vêtements, le matériel de sport et les victuailles, tous les coffres étaient plein à ras-bord. Mais cette soirée d’été s’est doucement muée en un chaleureux barbecue avec cette fabuleuse répartition des tâches préhistorique, les hommes devant le feu à décliner leur savoir ancestral de la maitrise de l’âtre et les femmes dans la cuisine pour la confection de deux gratins de légumes pour l’accompagnement.

L’ambiance était à la fête, les braises crépitaient, le rosé coulait à flot, la nuit s’écoulait au rythme des modulations des petits ducs, sifflements graves et réguliers. Un peu de musique et de danse sur la terrasse, j’étais enchantée. L’église proche a sonné. Dong, dong, dong … Déjà trois heures du matin. Charles est parti se coucher ainsi que les filles, ne sont restés que Romain et moi pour fumer une dernière cigarette et boire un petit shot de rhum.

Comment en est-on arrivé à parler sexualité ? Pourquoi lui ai-je glissé des confidences intimes à l’oreille ? Quand ai-je posé mes lèvres sur les siennes, rouge de honte et d’excitation ? Je ne sais plus. Si, peut-être. Il m’a parlé de mes seins qu’il trouvait « à tomber » et qu’il regrettait que ma fille n’ait pas hérité de mes gènes côté poitrine. Le reste se perd dans la brune de cette nuit folle, entre les hululements entêtants des rapaces nocturnes et le scintillement de la voie lactée.

La cougar se jette sur Romain

Toujours est-il que c’est moi qui me suis jetée à corps perdu contre ce beau gosse, petit ami de ma fille et qui, de fait, aurait pu être mon fils ! J’avais envie d’être bousculée, j’avais besoin de vibrer et sa jeunesse, et sa fougue et son désir ont fait céder toutes mes digues. Que dire de la crainte d’être surpris ? Que dis-je de la crainte, de la terreur de ruiner ma vie si mon mari ou l’une de mes filles me voyait embrasser ce jeune éphèbe !

Mais la situation a été plus forte que moi. Après avoir fait le premier pas et franchi le Rubicon, je me suis tétanisée, c’est Romain qui a pris l’initiative et je n’ai pu me résoudre à refuser ses avances. J’en mourais d’envie en réalité.

Il a fait jaillir mes seins en dehors de mon t-shirt, je ne portais de soutien-gorge et mes tétons étaient déjà durs comme de la pierre. Il s’est jeté dessus pour me téter, me mordiller les aréoles. Mon 95C lui faisait un effet fou. J’ai agrippé sa chevelure blonde et bouclée et j’ai enfoui sa tête dans mon décolleté. Je ne voulais pas que cet instant se termine. D’abord parce qu’il me suçait la pointe des seins avec une maestria toute particulière, ensuite et surtout, parce que la suite me faisait peur. Mon ange personnel me dictait de tout stopper, là, maintenant et mon démon sensuel, lui, m’incitait à aller bien plus loin, là où portait déjà mon regard intérieur.

Bien sûr. C’est le démon qui a gagné cette bataille perdue d’avance.

Romain a guidé une de mes mains sur le dôme que formait son jean. Le denim était tendu, en-dessous une boule dure palpitait sous ma paume. Mes doigts ont agi seuls, enfin je crois. La ceinture d’abord, le bouton métallique qui m’a blessé la pulpe tant ces slims sont serrés à l’extrême, enfin le zip qui s’abaisse sans un bruit et la bosse qui prend de l’ampleur. Un peu comme ces images de brioche qu’un boulanger fait « pousser » lorsqu’elles sont diffusées en accéléré.

Il a glissé un doigt sous l’élastique de son slip et son engin a jailli. Je ne le voyais pas, la tête de Romain m’en empêchait. Telle une aveugle « lisant » les traits d’un visage en faisant glisser ses doigts sur les contours d’un menton, l’arrête d’un nez, j’ai détaillé le gland, découvert le prépuce déjà enroulé à sa base, longé la longue colonne de la hampe pour finir par soupeser le lourd paquet des couilles. J’ai enserré cette bite regorgeant de jeunesse de mon pouce et de mon index, sans pouvoir en faire le tour.

« Tu aimes la bite n’est-ce pas Françoise ? J’étais sûr que tu étais une belle coquine. Combien de fois je me suis branlé en pensant à toi ou en sentant tes culottes sales ici même !? Je vais te baiser comme la petite chienne que tu es. »

Les mots de Romain résonnent encore en moi. Ils m’ont bouleversé, choqué, anéanti de désir. Un désir pesant qui m’a écrasé de toute son évidence, de toute son inéluctabilité.

J’ai relâché mon étreinte sur sa chevelure, mes jambes tremblaient. Oublié mon époux, oublié mes filles, je ne voulais plus qu’une chose, le prendre en bouche et qu’il me baise, qu’il me baise comme une putain.

« Suce-moi maintenant ! »

Je me suis laissée tomber à ses pieds, le clair de lune m’a laissé voir sa peau blanche, une grande tige d’ivoire qui brillait et dont un filet de miel s’écoulait lentement. J’ai toujours adoré ces premiers instants. Ces instants liminaires à tout acte irréparable, ces instants où l’on peut encore s’échapper mais où l’on décide, contre toute raison, de sauter dans le vide quand même.

J’ai emprisonné fermement cette queue superbe, j’ai léché son pré-sperme du bout de la langue puis j’ai laissé mes lèvres coulisser sur le chibre en gémissant de bonheur. Sa bite était étonnamment fraîche, elle sentait la fleur de pain, elle était vigoureuse, dure, si pleine de promesses, si riche d’interdits.

Romain a empoigné ma queue de cheval au reflets blond vénitien et a accompagné mes mouvements tantôt lascifs, tantôt gourmands. Parfois il plaquait son membre le long de son ventre afin de m’inviter à lécher sa hampe et à lui gober les couilles. Parfois il me donnait à lécher ses doigts, me privant quelques instants de son membre, glissant son pouce dans ma bouche. Ce jeune homme savait d’instinct ce qui m’excitait. Je l’ai sucé longtemps, son pieu raide était comme une sucrerie dans ma bouche. Ma salive trempait désormais mon décolleté à l’instar de ma chatte que je sentais inonder mon string. Dans un timing parfait, à nouveau, Antoine m’a ordonné de me toucher pendant que je lui administrais mes bons soins buccaux.

J’ai glissé ma main sous l’élastique de ma culotte et j’ai découvert ma zone humide, ruisselante, ouverte, gonflée. Je me suis touché le clito, j’étais au bord de l’orgasme, je l’ai rejeté de toute ma volonté, je désirais plus que tout jouir de sa queue. Deux de mes doigts ont investi ma chatte sirupeuse.

« Donne-les moi à lécher ! » m’a ordonné Romain. J’ai tendu la main, sa bite toujours entre mes lèvres et j’ai senti les siennes s’enrouler autour de mes phalanges, lentement, avec une sensualité folle. Sa langue chatouillait ma pulpe et me titillait comme s’il s’était agi de mon clitoris. J’étais à mon point de rupture. Il l’a senti et m’a aidée à me relever. Me prenant par la main il m’a entraînée vers la table sous l’auvent à l’arrière de la maison. Les rideaux n’étaient pas tirés, n’importe qui pouvait descendre à l’improviste pour aller boire un verre d’eau à la cuisine ou sortir fumer une cigarette. Pourtant, je me suis laissée déshabiller entièrement, la fraicheur légèrement humide du val de Loire m’a fait frissonner, ou bien était-ce la fièvre du désir ?

S’étant dénudé à son tour, il a étalé ses vêtements sur la table afin de m’improviser une couche à peu près confortable. Il s’est alors accroupi entre mes cuisses, mon sexe juste devant son visage, je le sentais observer mon con comme s’il voyait une chatte pour la première fois de sa vie. Je ne sais évidemment pas à quoi ressemble désormais l’intimité de mes filles. La génétique a-t-elle parlé ? Ont-elles, comme moi, des nymphes exubérantes et débordantes, un sillon long qui se referme par une corolle de chair renfermant un bourgeon volumineux ? Mystère. Ce qui ne l’était pas, en revanche, c’est l’effet que mon entre cuisse a eu sur Romain.

« J’adore ta chatte Françoise ! » et il continué sur un ton qui oscillait entre la gourmandise et le clinicien ! « Charnu, dodu, fourni, délicat et à la fois presque dodu … » Sa phrase est restée en suspens et il a collé sa bouche à ma vulve comme s’il voulait l’avaler toute entière ! Son cunni a été délicieux, juste assez long pour que je le supplie de me prendre.

Enfin il s’est remis debout, il a posé son gland à l’orée de mon vagin et s’est enfoncé dans mes moiteurs brûlantes. M’attrapant les hanches il m’a baisée comme une petite chienne, me traitant de petite pute et me demandant si je n’avais pas honte de « se faire son gendre ». Plus il m’agonissait de ces propos orduriers et de honte et plus je mouillais.

Mais il en voulait encore plus, moi je n’étais plus en possession d’une quelconque volonté que ce soit. Il m’a remise debout, m’a demandé de prendre appuie sur la table, quelques coups de langues sur ma rondelle plus tard, je sentais son chibre forcer mon anneau sacré. S’il y a bien une chose que je n’ai jamais pratiqué avec mon mari, c’est bien la sodomie. Eh bien, croyez-moi ou non, c’est rentré tout seul et pourtant Romain a, lui aussi, un sacré calibre !

Il m’a enculée avec force, me pénétrant jusqu’aux couilles et me claquant les fesses en essayant de ne pas être trop bruyant. C’est alors qu’il a glissé une main entre mes jambes et a caressé mon clitoris, le temps s’est figé, la nuit s’est faite jour, un flash, une décharge le long des reins et mes dents qui se sont enfoncées dans la paume de ma main pour retenir au dernier moment un hurlement de plaisir.

Romain a senti mon anus se contracter convulsivement sur son membre fiché en moi, il s’est immobilisé, a attendu l’apaisement de mon corps puis a repris quelques va-et-vient dans mon cul ouvert. J’ai caressé ses couilles du bout des ongles et j’ai senti, à mon tour, sa queue prise de gonflements successifs. Il éjaculait dans mon cul !

La suite du week-end a été marqué par de nombreuses autres péripéties érotiques. Ah mais au fait ! Je ne vous ai pas parlé de ce qui s’est passé avec Angélique, la petite amie d’une de mes filles !? Dans une prochaine lettre peut-être …

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