L’hôtesse d’accueil très aguicheuse
18 avril 2021Sabrina, 35 ans ne se doutait pas que son patron était aussi sexy.. elle se transforme en vraie allumeuse.
J’ai toqué à la porte de son bureau, tremblante, au bord de la crise de nerfs. Je travaille pour cet homme depuis des années dans une boîte d’hôtesses, et c’est la première fois qu’une telle affaire me tombe dessus. Je vous raconte dans cette histoire de sexe.
À l’occasion d’une soirée de lancement de produit, un petit vieux bedonnant m’avait fait des avances plutôt insistantes en me menaçant de se plaindre à mes supérieurs si je ne me laissais pas faire. Il avait profité d’un moment où tout le monde suivait avec assiduité le discours du chef de marketing pour me serrer dans un coin, près de l’entrée.
Évidemment, je me suis rappelée des deux trois cours de self-défense auxquels j’avais assisté étant jeune et je lui ai balancé un bon petit coup de pied à l’entrejambe. Résultat ? Me voilà convoquée dans le bureau du grand chef par lettre recommandée. J’allais me faire renvoyer, c’était certain. Quand j’ai passé la porte du bureau, je m’attendais à ce que le PDG soit un vieil homme libidineux sur la route de la retraite – en tout cas, c’est comme ça que nous nous le décrivions avec mes collègues… Nous ne l’avions jamais rencontré, c’était une femme qui m’avait fait passer mon entretien d’embauche, et nous ne communiquions avec lui que par mail. Mais nous nous étions toutes bel et bien trompées ! C’est donc un beau jeune homme en costume-cravate qui m’a ouvert et qui m’a priée de m’asseoir en écoutant mon histoire.
Je n’ai pu empêcher quelques larmes de couler lorsque je lui ai parlé de la peur que j’avais ressentie lorsque le petit vieux avait commencé à relever ma jupe. Je lui ai promis que jamais plus je ne resterais à l’écart de mes collègues, pour éviter de me retrouver dans la même situation. Mon jeune boss est venu sécher mes pleurs en me caressant la joue. « Désolé pour cette familiarité, je ne supporte pas de voir une femme pleurer, en particulier quand je suis un peu responsable… » Ah bon ? Il se sentait coupable ? C’était la meilleure ! Je m’attendais à ce qu’il me réprime sévèrement et qu’il m’accuse de n’avoir pas su maîtriser la situation, mais il a eu l’air plutôt compatissant. « Vous savez, je sais que votre métier n’est pas simple…, a-t-il commencé, vous devez être au service des gens, leur sourire à longueur de journée sans jamais vous reposer, et certains profitent de votre faiblesse, ça ne m’étonne pas… Mais vous savez tous les hommes ne sont pas des brutes, certains ont un vrai respect pour la femme. Je peux m’asseoir à côté de vous ? » Et joignant la parole aux gestes, il est venu se poser sur le canapé, m’a regardée droit dans les yeux et m’a demandé de poursuivre mon récit. Instantanément je me suis mise à mouiller abondamment, il me faisait un effet de dingue. Sa compréhension me donnait envie de me jeter sur lui à corps perdu.
Enfin un homme qui m’écoutait et ne me prenait pas pour une potiche sans cervelle ! J’ai pris sa main et l’ai placée entre mes cuisses. « Vous savez j’ai juste besoin que quelqu’un me comprenne », lui ai-je dit. « Je vais faire ce que je peux… » m’a-t-il murmuré à l’oreille en caressant mon sexe. Je ne pouvais pas croire que j’avais fait des avances à mon propre boss ! En même temps, il était absolument irrésistible. Ses gestes étaient doux, mesurés, précis. Il s’est agenouillé devant moi et a léché ma fente humide comme un petit chat. Il me regardait pour s’assurer de mon accord, pour ne surtout pas me brusquer. J’adorais. Je m’abandonnais à ses coups de langue et à ses doigts méticuleux. Mmmmh… Toute ma tension nerveuse était en train de retomber d’un coup, c’était parfait. Il s’est mis debout devant moi pour me caresser les cheveux, et j’ai instantanément eu envie de lui pomper le dard, de sentir son membre chaud sur le bout de la langue. J’ai ouvert les deux boutons de son pantalon et j’ai sorti son sexe – énorme – à l’air libre. J’ai tourné mes lèvres sur son gland et, de mon autre main libre, je suis venue lui caresser les couilles. Un petit gémissement aigu m’a bien fait comprendre qu’il ne s’attendait pas à tant de prise d’initiative de ma part. J’ai senti qu’il hésitait entre me repousser par convenance ou se laisser aller à mon massage oral.
J’en ai rajouté une couche ! Je l’ai allongé sur le canapé et ai redoublé d’efforts pour pomper sa grosse bite avec ardeur. Il n’était pas question que je laisse partir un homme aussi gentil dans la nature, je comptais bien que notre petit écart sexuel reste à jamais gravé dans sa mémoire ! Il n’osait me toucher et gardait bêtement les bras en l’air en suffoquant. Il s’est mis à haleter comme une petite bête prise au piège. Cette fois-ci, je contrôlais la situation. C’était moi la prédatrice sexuelle, et c’était si bon ! Évidemment j’avais encore gardé des atouts en main. J’ai sucé mon majeur sous ses yeux et suis venu me l’enfoncer dans le cul. Mon boss s’est tout à coup arrêté de respirer, médusé par ce que je venais de faire. Je sentais bien qu’il perdait tous ses moyens, sa femme ne devait pas être du genre à se lâcher autant que moi sous la couette. Mais moi, j’en avais connu des mecs ! Des abrutis, des pervers, des jaloux, des voyeurs, des voyous aussi… Ça vous donne une bonne palette de compétences au pieu ! Pendant que je continuais mon petit show de femme libérée assumant pleinement sa sexualité, mon boss s’est relevé comme un pic. « Bon ça suffit maintenant… Sabrina. Je crois que nous sommes, de façon évidente, allés trop loin. J’ai bien compris votre histoire et j’écrirais votre rapport des faits à la société qui s’est plainte. Vous savez que nous risquons un lourd procès quand même ? » Il parlait de façon hachée sur un ton faussement autoritaire. Il me repoussait ? Moi ? C’est ce que nous allions voir ! Je me suis relevée du canapé en exagérant outrageusement tous mes mouvements.
Je me suis placée face à lui en soutenant son regard. Perchée sur mes talons hauts, mes courbes sublimées par mes bas et mon porte-jarretelle, je savais que j’étais irrésistible. Je n’ai pas répondu à son monologue qui n’était certainement qu’une excuse pour ménager sa bonne conscience et je suis venue me frotter à lui. J’ai serré sa bite encore bandante dans mes mains et lui ai demandé avec un air de défi : « Nous sommes allés trop loin ? Et pourtant, vous n’avez pas encore vu l’étendue de mes talents. » Il n’a pas su quoi répondre. J’ai fait coulisser son nœud de cravate et l’ai embrassé dans le cou. Enfin, embrasser, façon de parler. Je lui ai surtout fourré des grands coups de langue sous le menton, près de sa pomme d’Adam, en titillant les quelques poils qu’il avait dû négliger ce matin au moment du rasage. Il conservait ses bras ballants de part et d’autre de son corps, voyant que je m’asseyais royalement sur son semblant d’autorité. Je sentais que j’avais les pleins pouvoirs sur lui, ça n’a fait qu’attiser toutes les idées perverses qui traversaient mon esprit. J’ai continué à le branler, enfonçant par intermittence mes ongles dans sa peau. Il grimaçait à chaque fois, mais n’osait pas retirer ma main : le plaisir et la douleur devaient se mêler délicieusement dans sa tête. Je suis venue embrasser ses lèvres, les croquer et les sucer. Il se laissait faire, telle une petite poupée, un sextoy à la merci de mes envies sexuelles ! Bientôt ses deux lèvres étaient luisantes de ma salives et rougies par mes légères morsures, et pourtant il ne bronchait toujours pas et se contentait de gémir au rythme de ma main sur sa queue.
À cet instant précis, j’étais devenue son boss, je venais d’inverser les rôles définitivement. Je sentais que, dans mon bas-ventre, j’en voulais plus ! Ma chatte commençait à couler à grands flots dans mon string, il fallait qu’il s’occupe de moi. Je me suis retournée, en levrette sur le canapé et lui ai écarté ma chatte en grand pour qu’il puisse entrer dedans. Il a pris soin de lubrifier un peu sa bite avant de rentrer en moi et s’est enfoncé tout doucement. « Ça va comme ça, Sabrina ? » m’a-t-il demandé d’une voix chancelante. C’est la première fois qu’un homme me demandait mon ressenti lorsqu’il me pénétrait ! D’habitude, j’avais le droit à une entrée très brutale et violente, mais là je sentais que ce n’était pas dans les habitudes de mon supérieur hiérarchique. « Vas-y », l’ai-je encouragé. Il continuait à me donner quelques à-coups en caressant tendrement mes fesses à sa merci. J’ai replongé mon doigt dedans, pour qu’il profite du show. J’ai toujours aimé l’anal, mais je voyais ça comme un complément à une bonne pénétration. Mon boss a alors accompagné d’une main les mouvements de mon doigt, le faisant entrer et ressortir en même temps que sa queue en moi. Je me faisais pilonner des deux côtés, c’était vraiment bon ! J’avais aussi envie de me caresser le clito, mais la position n’était vraiment pas pratique. Je me suis alors allongée sur le canapé, il est venu se placer derrière moi. Encore une fois, sa pénétration s’est faite très lentement, en douceur. Il me baisait avec une tendresse touchante. À ce moment précis, je me suis rendue compte qu’il ne s’était même pas encore occupé de mes deux énormes seins.
Je vais encore comparer avec mes expériences précédentes, mais d’habitude les hommes se ruent dessus comme des mouches attirées par le miel. J’ai alors posé sa main sur mes deux beaux nichons, pour qu’il les caresse. « Ils sont si beaux… » s’est-il émerveillé en contournant l’aréole ! J’avais vraiment l’impression de coucher avec un jeune homme qui découvrait sa sexualité, un peu gauche dans ses gestes, mais c’était tout à fait adorable ! En même temps, je me caressais la chatte, c’était la seule façon que j’avais de jouir et je sentais l’orgasme monter très rapidement. Sentant certainement mes cris monter de volume, mon supérieur s’est mis à brusquer ses coups de reins pour me faire atteindre le septième ciel. Ça n’a pas loupé ! En quelques minutes à peine j’ai senti mon vagin se contracter dans des spasmes autour de sa grosse tige. Mais c’est qu’il était bon ce petit jeune finalement ! Il m’a ensuite placée au bord du canapé en me disant : « Regarde comment moi je prends mon pieds. » Il a écarté bien grand mes deux belles jambes et a enfoncé sa bonne grosse queue dedans. Mon sexe était encore hypersensible, et je n’ai pu retenir un cri de plaisir s’échapper de ma bouche. C’était vraiment trop bon. Il a continué à me bourriner pendant quelques minutes en s’agrippant à mes cuisses avant de joindre mes pieds pour me surélever. L’angle de pénétration était beaucoup plus profond, et je dois avouer que son gros membre s’enfonçait jusqu’au creux de mes entrailles. J’ai fermé les yeux pour mieux savourer toutes les sensations dont j’étais inondée. J’avais le vagin à vif, le clito prêt à exploser, et mon patron, que je n’avais jamais rencontré il y a de ça quelques minutes, continuait à accélérer la cadence sans relâche. Mmmh, je me suis caressé les seins en même temps. Peut-être allais-je jouir une seconde fois ? Mais mon boss ne m’en a pas laissé le temps !
Il s’est retiré et a commencé à m’enfoncer un doigt dans le cul, en vue d’y glisser son gourdin ! Je lui ai alors refusé l’entrée. Un doigt, oui, mais plus, je ne l’avais encore jamais fait et je n’allais pas me laisser déchirer pour lui. Voyant que je n’étais pas emballée par la suite des événements, mon charmant patron s’est tout de suite excusé de sa proposition. « Oui, désolé, je n’ai jamais fait ça… J’ai pensé que vous étiez assez ouverte d’esprit, enfin… » Il se confondait en excuses, pris au piège. « Et éjaculer dans la bouche, vous avez déjà fait ça à une femme auparavant ? » Ses yeux se sont écarquillés et un sourire ravi est venu illuminer son visage. Manifestement, non. Je me suis agenouillée devant lui en comprimant mes seins l’un sur l’autre. Leur forme galbée devait certainement l’exciter. J’ai tiré bien grand ma langue et ai ouvert ma bouche en cœur. Je suis restée comme ça quelques minutes sans toucher à son sexe. Il commençait à montrer quelques signes d’impatience, il était à point. J’ai placé mes mains sur ses fesses et ai appuyé dessus de façon à m’enfoncer sa queue jusqu’au fond de la gorge. En entendant son cri de plaisir, je me suis doutée que personne n’avait dû le sucer de cette façon auparavant. J’ai accéléré ses mouvements de va-et-vient avec mes mains toujours collées à son cul. Il bougeait ses hanches en cadence pour m’aider. Je sentais sa bite grossir, elle était prête à exploser. Il s’est arrêté net. « Non, je ne peux pas. C’est impoli ! » s’est-il exclamé tout penaud. « Ne vous inquiétez pas, j’aime ça moi : le foutre chaud qui glisse sur mon menton… » À l’écoute de cette seule phrase bien crue, mon dirigeant a oublié toute sa gêne et a remis sa bite dans ma bouche béante aussi sec. Je l’ai enserrée dans mes mains, la pompant et l’astiquant en même temps.
Ses couilles ballottaient sur mon menton et me chatouillaient un peu. « Je vais jouir, Sabrina » m’a-t-il prévenu comme un dernier avertissement. Je lui ai lancé le regard le plus cochon que j’avais en stock d’un air de dire « OK Coco, c’est ce que j’attends depuis le début… » Efficace. Un long jet de sperme gluant est venu asperger ma langue et mes lèvres. Puis un autre. Puis encore un autre. J’orientais sa bite de façon à en avoir partout, sur mes lèvres, sur les joues, sur le menton. J’aimais savoir qu’un homme venait de jouir, et que c’était grâce à moi. Il m’a tendu un paquet de mouchoirs et m’a aidée à me relever. « J’espère que j’ai su vous consoler » m’a-t-il dit en souriant pendant que j’essuyais sa liqueur de mon visage. Je suis venue l’embrasser sur la joue, pour montrer que tout était OK entre nous. « Vous savez Sabrina, je viens de réfléchir à votre problème. Je pense que pour éviter un autre traumatisme auprès de notre clientèle, l’idéal serait que vous soyez au bureau. Dans mon bureau, en fait. Pour ne rien vous cacher, je cherche depuis quelques semaines une assistante. Bien sûr vous aurez une période d’essai… »
Une promotion ? Je venais dans son bureau avec l’idée ferme que j’allais me faire virer, et mon boss me proposait un poste à temps plein ! Je n’en revenais pas. Je l’ai allongé sur le canapé, ai léché les quelques gouttes de sperme qui coulaient de sa queue ramollie pour l’éveiller un peu. En un quart de seconde, j’ai obtenu une demi-molle frétillante et prête à un second round. Et c’est reparti pour une partie de jambe l’air ! La deuxième d’une longue, longue, très longue série…
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