Un Noël de garde
5 avril 2019Pierre, 25 ans, Nantes
L’année dernière, je me suis retrouvé seul comme un con pendant les fêtes de fin d’année. Je devais les fêter chez ma copine de l’époque, mais nous nous étions quittés juste avant le départ. J’étais encore étudiant et je dormais dans mon studio nantais. J’étais tout seul et je me languissais sur mon lit. Les billets de train étaient trop chers pour rentrer chez mes parents. J’étais coincé. Du coup, je me suis retrouvé le 25 décembre au soir dans les rues de Nantes. J’ai ouvert une application de rencontres géolocalisée, juste pour voir. J’ai remarqué qu’il y avait des nanas dans mon cas, qui se retrouvaient seules sur Nantes en ce soir de fête. Il y en avait notamment une qui était infirmière, très jolie. Nous avons échangé des messages et elle m’a dit qu’elle était de garde à l’hôpital toute la nuit, mais qu’elle aurait une pause vers 1 h du matin. Elle m’a dit que cela serait amusant que je la rejoigne dans la salle de garde, qu’elle se sentirait moins seule. J’ai éclusé quelques bières dans un bar avant de me décider à la retrouver.
Je suis arrivé sur les lieux et elle m’a guidé à travers les couloirs jusqu’à la fameuse salle de garde. Elle était là, seule à la table devant un sandwich. Elle était aussi belle que sur les photos, cheveux blonds sur un visage rond, corps sensuel dans sa blouse blanche qui moulait sa poitrine. Elle m’a invité à m’asseoir et nous avons ri de la situation. J’avais emmené une bouteille de champagne pour donner à sa garde un petit air de fête. Elle a accepté une flûte, mais pas plus. Elle m’a parlé de son travail, des cadences infernales, du manque de reconnaissance, de sa peine quand elle avait vu des patients mourir pour la première fois. Cette discussion sur l’accompagnement de la maladie et de la mort nous faisait nous sentir vivants, paradoxalement. Nous étions là, jeune homme et jeune femme, à boire du champagne. Nous avions du désir.
Elle s’appelait Océane et elle me disait que son rythme de travail et ses horaires décalés rendaient les rencontres difficiles. Il lui manquait un homme dans sa vie et surtout, du sexe. Cela faisait trois mois qu’elle n’avait pas baisé. Je lui ai dit qu’on pouvait y remédier. Elle a ri et a dit oui, pourquoi pas. Je lui ai demandé si je pouvais l’embrasser et elle a approuvé. Nos bouches se sont rencontrées au-dessus de la petite table de la salle de garde. Océane s’est levée pour caler une chaise contre la porte. Elle est revenue vers moi et s’est mise à déboutonner sa blouse. J’ai enlevé son tee-shirt en dessous et dégrafé son soutien-gorge. Ses seins remplissaient mes paumes et je me suis mis à les embrasser lentement, à les lécher. J’étais tellement reconnaissant que mon Noël se passe ainsi. Je découvrais un nouveau corps, je retrouvais un désir qui s’était évanoui en moi depuis un moment. Ses seins aux formes tellement différentes de celles de mon ancienne petite amie me redonnaient le goût du sexe. Ses tétons étaient sombres et parcourus de frissons. Elle m’a aidé à me déshabiller et s’est mise elle aussi à embrasser mon torse nu de sa bouche pulpeuse. J’avais froid, mais cette fraîcheur rendait ses caresses encore plus électriques.
Puis je l’ai soulevée de terre pour la poser sur la table. J’ai baissé son pantalon et sa culotte pour lécher sa chatte. Elle était toute humide de son excitation, toute offerte à mes caresses. Ses cuisses tremblotaient, son sexe mouillait de plus en plus. Je redoublais mes coups de langue, je voulais la faire venir vite car j’avais peur que l’on nous surprenne. La peur dans ces conditions a quelque chose de délicieux. Comme de regarder un film porno dans les toilettes. Là, nous étions dans un hôpital, un lieu où on est censé oublier le sexe, où les problèmes de santé réduisent nos forces. Mais nous, nous y baisions tranquillement et nous nous y donnions du plaisir, sur la petite table d’une pièce nue.
Je me suis redressé et j’ai mis un préservatif pour la pénétrer. Océane a posé les pieds sur le bord de la table tout en se redressant un peu sur les coudes. Sa minette était complètement offerte, comme sur un plateau, et tout son corps me demandait de l’envahir. J’ai posé ma bite à l’entrée de son vagin. Elle a encore frissonné et bougé un peu les fesses pour me faire signe d’avancer. J’ai enfoncé mon engin en elle en même temps que mes yeux dans les siens. L’expression de son visage était d’une telle sensualité ! Les cheveux en bataille, les sourcils légèrement froncés, les traits tendus de cette tension du désir et de l’adrénaline. Son minou était étroit et doux, je m’y sentais très à mon aise. Je me suis mis à vraiment la sauter en la tenant par le bassin, pour bien ressentir ce corps posé au bord de la table qui menaçait presque de tomber. Ses seins bougeaient. Sa main est venue se poser sur son clito pour se masturber pendant que je la baisais. Mon ex n’avait jamais osé faire ça et c’était incroyablement érotique. Je la baisais, elle se laissait baiser et se caressait en même temps, prenant un plaisir évident. Son visage s’est figé dans son orgasme et ses cuisses et son sexe ont palpité encore plus. Suffisamment pour que ça me fasse venir moi-même. Mon propre orgasme m’a envahi de sa puissance.
Nous avons ri de ce moment en espérant n’avoir dérangé personne. Il était l’heure pour moi de partir car Océane devait bientôt reprendre du service. Il était 2 h du matin
et je suis rentré chez moi en pensant à cette étrange nuit de Noël, sauvée par le désir d’Océane.
(Photo à la une : Getty Images)
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« L’heure venue, Tatie s’est déshabillée, elle était en soutien-gorge, porte-jarretelles et bas, sans culotte. C’était beaucoup plus excitant ! Je me suis mis à l’aise, en slip. Je suis reparti à lui masser la rondelle. » Loïc.
« Il m’avait confié qu’il matait souvent mes strings sous ma blouse. Cette situation m’excitait au plus haut point, je voulais qu’il me baise, j’étais trempée à longueur de journée. » Marina.
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Il arrive que les infirmières prennent soin de leurs patients et même des médécins de curieuse façon…