Maya butine

La rédaction 4 octobre 2024

Philippe 45 ans du Vaucluse lors de vacances avec sa femme, tombe sur le charme de Maya, une jeune femme sexy au parechoc bien équipé et découvre l’adultère

Cet été-là, ma libido estivale s’est focalisée sur la personne de Maya. Et j’ai bien fait ! Preuve en est, l’histoire de sexe amateur qui suit ! Maya, c’était une des employées du village vacances où je séjournais avec ma femme. Elle était préposée à l’entretien des piscines dont étaient pourvus certains cabanons de location, catégorie “luxe”.

Une vue spectaculaire

Cette jolie plante d’une trentaine d’années, brune, taille de brindille et poitrine scandaleuse, se baladait dans le village avec son matériel pour nettoyer les bassins, passoire, chlore… Elle était vêtue d’une tenue blanche moulante façon joueuse de tennis avec une petite casquette assortie. Je l’avais vue s’affairer dans les autres cabanons et j’attendais avec impatience qu’elle s’occupe du nôtre, car nous faisions partie des chanceux à disposer d’une petite piscine privative. Un jour, je l’ai même surprise en train de se dorer la pilule à poil au bord du bassin des voisins pendant sa pause. Ils étaient absents. Elle devait se croire à l’abri des regards, mais quand j’ai jeté un œil à travers la haie devant le bungalow pour voir si elle y était, je suis tombé sur ce ravissant spectacle : son corps tout en courbes fermes, son petit cul à l’air pour se faire un bronzage intégral, ses gros seins écrasés contre le sol, la tête dans ses bras, les cuisses lustrées de crème solaire. Elle ne craignait pas d’être surprise, dis-donc ! Ou peut-être qu’elle espérait secrètement être découverte, confuse, mais satisfaite d’avoir donné matière à fantasmer à d’éventuels passants. Je n’ai pas résisté à prendre quelques clichés pour mon usage personnel.

Quand ce fut notre tour d’être visités par Maya pour l’entretien hebdomadaire de la piscine, ma femme était opportunément partie faire des courses. J’en ai profité pour regarder Maya s’affairer autour du bassin pour le nettoyer. C’était si joli de la regarder se dandiner autour de l’eau dans sa tenue blanche, j’aurais voulu l’y pousser pour faire un concours de tee-shirts mouillés et mieux voir ses seins à travers son marcel blanc.

Elle a vu que je l’observais. « Vous avez besoin d’un coup de main ? Vous voulez un verre d’eau ? » lui ai-je proposé. Elle a eu l’air d’apprécier mes égards, car elle me souriait avec un petit air ravi. « Si vous avez chaud, n’hésitez pas à faire un plongeon et à vous sécher au bord, faites comme chez vous », ai-je suggéré, mielleux. La belle est restée interdite, se disant peut-être qu’elle avait été vue en compromettante posture au bord de la piscine voisine. Mais c’est elle qui m’a eu à mon petit jeu. « Comme ça vous pourrez faire de nouvelles photos de moi ? » a-t-elle demandé, la bouche en cœur. Elle m’avait donc vu ! Moi qui faisais le malin… « Ça ne me dérange pas, vous savez… » Joignant le geste à la parole, elle a retiré sa tenue de fonction pour se retrouver seins nus. Elle a plongé dans le bassin avant d’en ressortir, ruisselante. Le voile étincelant de l’eau sur sa peau perlait en mille petites gouttes et lui faisait un habit de lumière. Elle s’est étendue, peau caramel et chevelure de sirène paressant au bord du bassin, pour sécher sous le soleil de plomb. Puis elle a retiré sa culotte pour se découvrir entièrement à moi. Elle était d’une insolence délicieuse… « Tu faisais moins ton timide, l’autre jour… »

Pulsion d’adultère

Je me suis avancé pour la prendre en photo à nouveau. Puis elle s’est tournée sur le dos, pour me montrer son côté pile, ses lourds seins resplendissants et son sexe adorable. Ses traces de bronzage de maillot de bain dessinaient de jolies marques sur son corps. J’en avais l’eau à la bouche. J’ai beau aimer ma femme, je ne pouvais pas résister à pareille tentation qui était venue me titiller jusque dans mon cabanon de vacances… Elle a souri en me voyant la photographier et cet échange complice composait de parfaits préliminaires. Quand elle a eu trop chaud sous le cagnard, elle est entrée dans le séjour, demandant une boisson fraîche, toute nue et triomphante face à moi. Elle a bu son soda puis s’est approchée de moi. « T’es plutôt beau gosse par rapport aux autres résidents du moment. Je manque d’aventures, en ce moment. Ce sera donc toi l’heureux élu. » Puis elle s’est dangereusement rapprochée de ma bouche et j’ai cédé à la pulsion qui m’avait saisie lorsque je l’avais aperçue la première fois. Je l’ai prise dans mes bras pour enfin toucher la plastique de rêve qu’elle m’agitait sous le nez depuis le début. Sa peau était douce et sa chair tendre et gorgée de soleil.

Entièrement nue au beau milieu du cabanon, elle a baissé mon short de bain et s’est agenouillée pour me tailler une pipe, car elle a vu que ça bandait dur là-dessous. Sa langue et sa bouche m’ont happé et elle s’est régalée de mon membre, à genoux sur le sol. Puis nous nous sommes couchés dans le lit où elle a continué à me sucer tout en me laissant lui malaxer les seins dans une position acrobatique. Elle m’a laissé prendre des photos. Elle avait apprécié que je joue les paparazzi quand elle bronzait au bord de la piscine. Pour finir, elle s’est allongée sur le ventre comme elle s’était allongée sur sa serviette pour lézarder et j’ai pu la baiser tout en admirant sa marque de bronzage sur la raie de son cul qui lui faisait comme une espèce de string en transparence au milieu de sa peau dorée. J’ai pris tant de plaisir à la posséder que j’en ai presque oublié ma femme qui, Dieu soit loué, n’est rentrée que lorsque Maya avait pris la poudre d’escampette.

A lire aussi : 

Mon adultère officiel 

Adultère en vacances 

Pipe pour la collectivité 

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru