Merci patron !

La rédaction 10 mars 2021

Kenza, 26 ans est sexy et elle le sait. Serveuse dans un bar, elle a l’habitude de charmer ses clients mais cette fois c’est son patron qui tombe dans ses filets.

Je m’appelle Kenza, j’ai 26 ans et voici mon histoire de sexe.

Je suis une jolie brune de 26 ans avec des formes sexy et en temps normal, je mets ce physique avantageux au service de mon travail. Je bosse en boîte de nuit, où je me trémousse allègrement en petite tenue tout en vendant des cocktails. C’est un peu ambiance pub, alors je porte des mini-jupes et des petits rubans à motifs écossais en mode écolière. C’est un peu notre uniforme, aux serveuses, ce qui fait l’identité du lieu. Ça plaît beaucoup à la clientèle et j’ai de beaux pourboires. Bon, bien sûr, tout s’est cassé la gueule avec la pandémie vu qu’on a dû fermer, mais comme ça reste ma deuxième maison, j’ai continué à y aller clandestinement.

L’autre jour, j’y ai notamment retrouvé mon patron, Alain, 50 ans, certes un peu bedonnant, mais plutôt chaud, avec un vrai sens de l’humour et du contact que j’aime bien. On se chauffait un peu par textos pendant le confinement. Je trouvais un peu le temps long chez moi avec mon mec, alors un soir il m’a proposé de venir au club pour nous faire une petite soirée juste lui et moi, pour nous sortir de notre déprime. J’y suis allée, par goût de l’aventure et avec l’envie de faire un peu la fête mine de rien… Je lui ai réservé une petite surprise : j’avais retravaillé la coupe de la jupe de mon uniforme de sorte qu’on voie mes fesses de petite canaille ! C’était déjà un peu ambigu entre nous avant, alors autant y aller franco !

Sur place, nous sommes descendus au sous-sol pour nous faire une vodka-tonic au bar. Alain a mis la musique. Le dancefloor était désert, c’était d’un triste ! Mais nous étions là pour allumer le feu ! Alain m’a prise par la main. Déjà pompettes à cause de nos vodkas, le jeu de séduction a tout de suite pris le pas ! Il m’a attirée à lui. Je n’avais toujours pas enlevé mon manteau. Nous avons dansé ensemble en nous serrant, contents de nous retrouver. Il m’avait manqué !

Quand notre rapprochement a semblé inévitable, j’ai commencé à danser de manière plus sensuelle et j’ai fait tomber mon manteau à terre, découvrant mon cul nu dans la petite jupe fendue au niveau de la raie, et mes cuisses gainées de bas de dentelle blanche. Surprise, patron ! Il était estomaqué ! « Tu pourrais servir comme ça, quand ça rouvrira ! » s’est-il marré. J’ai attrapé une barre de pole dance sur la scène et lui ai fait mon petit numéro de charme. Il pouvait voir ma chatte quand j’écartais les jambes en dansant sur la musique entraînante, et j’adorais son regard baladeur ! Lui aussi se faisait chier avec sa femme à la maison alors il était partant pour prendre un peu de bon temps !

Il m’a entraînée dans la pièce à l’arrière de la piste de danse où il y a un bureau avec un canapé dépliable qu’il a transformé en lit. On a continué à jouer, il m’a fait boire de la vodka dans son verre et il m’a regardée longuement me dandiner dans mon petit uniforme. J’avais aussi un ruban autour du cou qu’il attrapait de temps à autre pour m’embrasser, comme si c’était une laisse. J’aimais me soumettre à son autorité, j’aimais son assurance. Je me suis contorsionnée à poil sur le lit en soulevant mes fesses. Peu à peu, je me suis avancée à quatre pattes vers lui. J’avais retiré mon haut, mes seins pointaient joliment et le ruban écossais coulait entre eux. Il a tiré dessus pour que je le suce. Obéissante, j’ai avalé la belle queue ronde et dodue qui s’offrait à ma bouche. Je la caressais et la pompais, tour à tour. Je n’aurais jamais pensé que je m’abandonnerais à mon chef, que je trouvais plutôt brute de décoffrage d’habitude, mais là j’étais trop en chien, j’avais envie d’un homme qui me désire, d’un homme qui bande vraiment pour moi.

« Tu es superbe, avec ma bite qui rentre dans ta bouche comme ça, ça me fait bander tellement dur, tu sens ? » Ses mots me faisaient mouiller. Je dandinais mon bassin pendant que je le suçais, un mouvement qui a le don de m’exciter encore plus car il mime les plaisirs à venir. Surtout que je le voulais en moi, et pas par un seul trou. À quatre pattes sur le lit, j’ai d’abord voulu qu’il me prenne en levrette. Il s’est empressé de répondre à mes attentes. Il tirait délicatement sur le ruban écossais qui me faisait légèrement suffoquer et provoquait une euphorie et une intensité de mon excitation encore plus percutante, car la douleur provoquait paradoxalement des shoots de plaisir… Il m’a ainsi besognée en levrette en rythme avec la musique qui nous parvenait du dancefloor, puis je lui ai proposer mon cul.

Quitte à m’avilir avec mon boss, je voulais qu’il honore toute ma personne ! Sur le canapé-lit, nous avons écarté ensemble délicatement mes fesses pour qu’il puisse s’y frayer un chemin. Ah, le bonheur d’une bonne sodo faite dans l’excitation du moment présent après quelques vodkas ! Surtout avec une belle bite bien dure, ce que ne me donnait plus mon copain depuis des semaines. Là encore, les frottements dans mon cul étaient presque trop intenses, mais tant pis. Son côté mâle dominant était au service de ma libido et je me sentais puissante !

Il m’a tellement bien niquée que j’ai joui, le plaisir anal se mêlant au plaisir cérébral de m’en remettre à lui, et lui aussi en a bien profité et a bien pris son pied en me laissant une belle traînée de sperme sur mon uniforme d’écolière. Merci, patron !

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