Mettre le pacsé

La rédaction 15 mars 2021

Étienne, 33 ans eu sans doute la meilleure soirée de PACS que l’on puisse avoir : un plan à 4 avec un couple d’ami !

Au printemps dernier, ma chérie Mélia et moi avons scellé notre PACS. Mélia est une très belle fille. Quand je l’ai rencontrée chez des potes, j’ai été sous le charme immédiatement. Brune, 1,65 m, une paire de jambes interminable et un visage de poupée… Le soir-même, je la ramenais jusque dans son lit et 3 ans après, on organisait notre interstron.ru.

Après notre passage au tribunal, nous avons filé préparer l’appart, qui devait accueillir une trentaine de proches. Ballons, bonbons, boissons… À 20 h, notre clique a débarqué. Vers deux heures du mat’, nos familles ont déserté mais nos copains, eux, étaient chauds comme jamais. Surtout Jérémy et Karine, deux amis du lycée. Voici notre histoire de sexe .

C’est en allant récupérer mon smartphone dans notre chambre que je suis tombé sur eux. Je n’ai même pas eu besoin d’allumer la lumière pour comprendre : ils s’étaient glissés dans les draps et Karine était assise sur son mec en position cowgirl. Elle était magnifique, ses cheveux blonds humides de sueur, la bouche entrouverte dans un halètement. Jérémy s’est redressé et a éclaté de rire : « Désolé, mon pote, mais on en avait trop envie. » Karine a alors lancé, tout sourire : « Tu ne veux pas te joindre à nous ? » Je savais que les deux étaient du genre hot : elle avait déjà roulé des pelles à ma meuf en soirée, et Jérémy m’avait avoué qu’ils avaient des arrangements niveau fidélité. Leurs histoires m’avaient toujours émoustillé.

Les voir en pleine action m’a fait encore plus d’effet. Sans réfléchir, j’ai attrapé mon téléphone et appelé ma chérie. Une minute plus tard, elle était dans la chambre et je me jetais sur elle, fou de désir. Mélia n’a d’abord pas vu que nous étions quatre. Tout doucement, je lui ai murmuré à l’oreille : « Mon amour, j’ai envie d’essayer quelque chose. » Visiblement excitée par mes baisers, elle a commencé à déboutonner sa robe et m’a répondu : « Tout ce que tu veux. » C’est le moment que Karine a choisi pour allumer la lampe de chevet. Mélia a poussé un cri de surprise puis m’a regardé, un peu affolée. J’ai continué d’une voix douce : « Ça sera mon cadeau de PACS. » Elle a hésité, ses yeux allant de Jérémy à Karine. C’est là que mon amie s’est tortillée hors du lit et a attrapé ma chérie par le poignet : « Viens, tu vas kiffer. »

Très lentement, elle a attiré Mélia vers elle. Puis elle a continué à déboutonner la robe, qui est tombée au sol. Quand elle a baissé la petite culotte de mon aimée, j’ai senti comme un pincement au cœur. Mais l’excitation était plus forte. Karine s’est assise sur le lit et a embrassé les seins de Mélia, qui s’est cambrée en soupirant. Elle a alors porté son index à sa bouche et, tout en avalant les tétons de Mélia, elle l’a introduit entre ses lèvres. Les soupirs sont devenus des gémissements. Pendant ce temps, Jérémy s’était mis à se branler. J’ai enlevé mes vêtements et je l’ai imité. Mélia était de plus en plus à fond : elle a commencé par glisser ses mains dans les cheveux de Karine pour l’inciter à lui mordiller les nichons, puis elle a carrément chopé sa tête pour la coller sur sa chatte. Ma pote a roulé sur le lit, entraînant Mélia avec elle. Quand elle l’a allongée puis s’est mise à la lécher, je n’ai plus pu résister : j’ai rejoint le couple entre les draps.

Pendant que Karine faisait un cuni à ma meuf, je me suis calé derrière elle et j’ai caressé ses fesses. Jérémy m’a encouragé : « Vas-y, bouffe-là ! » Des paroles crues qui m’ont mis le feu. J’ai écarté ses miches toutes douces et j’ai plongé, langue la première. Mon pote s’est alors approché de ma Mélia et lui a présenté son sexe. Il était encore humide de la mouille de Karine, ce qui ne lui a apparemment pas déplu : ma chérie a tendu la langue et a commencé à lui lécher le bout. La jalousie m’a à nouveau mordu et j’ai dardé ma langue plus loin dans l’anus de Karine, tandis que ma femme avalait le sexe de Jérémy en couinant d’excitation. C’était trop pour moi : il fallait que je possède la meuf de celui qui me cocufiait sans vergogne. Pendant qu’il attrapait la nuque de Mélia pour la défoncer plus profond, je me suis placé en levrette et j’ai enfoncé mon pouce dans le cul qui m’était offert. Pas de doute : la chienne me voulait.

J’ai saisi ma queue au niveau du gland, puis j’ai poussé. Karine a sorti la tête de la chatte de Mélia en poussant un cri, mais celle-ci l’a aussitôt attrapée par les cheveux pour qu’elle la dévore de plus belle. La chienne a enfoncé ses avant-bras dans le matelas, se préparant à m’encaisser, et en a profité pour glisser deux doigts dans le con trempé de Mélia. Je me suis penché en avant… et j’ai enculé la gueuse. Plus je baisais sa nana, plus Jérémy collait Mélia sur sa bite. Ma pauvre chérie avait la bouche déformée par son gros gourdin, tandis que Karine la doigtait de plus en plus fort. J’ai accéléré moi aussi.

Jérémy matait toujours, bourrant la gorge de ma femme aussi intensément que je perforais l’anus de la sienne. J’allais éjaculer, c’était inévitable, mais allait-il en profiter pour souiller ma Mélia ? À peine cette idée m’avait traversé la tête que j’ai entendu ma femme pousser un râle de jouissance, interrompu par un gargouillis. Le salaud en avait profité pour lâcher la purée ! J’ai empoigné les hanches de Karine et je l’ai défoncée à mort, jusqu’à lui cracher dans l’oignon. Elle a eu beau se tortiller, je lui ai mis jusqu’à la dernière goutte.

J’étais mort, terrassé par l’orgasme mais aussi en colère. Ce sont les filles qui m’ont calmé. Karine est remontée jusqu’au visage de ma chérie et elle se sont partagées le sperme de Jérémy. Puis ma Mélia, les yeux tout barbouillés de mascara, s’est occupé du cul de Karine. Elle a léché son anus bien gentiment, tandis que Jérémy et moi regardions, fascinés. Pendant un mois, je n’ai pas voulu revoir mes potes. Et puis, au détour d’un apéro chez des amis, on s’est recroisés. Reparler de notre soirée nous a de nouveau mis dans l’ambiance. On est repartis tous les quatre pour tester une configuration encore plus audacieuse, que je vous raconterai dans un prochain courrier.

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