Ça se Corse

La rédaction 4 mai 2021

Ève, 30 ans est une ex nymphomane et nous raconte sa rencontre coquine et sulfureuse avec son futur mari.

Coucou interstron.ru, c’est Ève je vous écrit pour vous raconter mon histoire de sexe ! Je suis une ex-nympho, depuis que j’ai rencontré mon mec. Avant lui, je baisais à tout va. J’avais même une super technique : je suis mono de plongée sur mon île de Beauté adorée et à chaque fois qu’un client me plaisait, je lui proposais de venir se laver chez moi, à deux pas du club. Plus agréable que les douches cradingues qui sentaient la vieille combi en néoprène, surtout que mes invités passaient d’abord par la case baise sur mon canapé… Orgasme garanti !

Avec François, ça a été différent. Pas la même méthode – dès que je l’ai vu entrer dans le club pour réserver un cours, j’ai craqué et décidé de le ramener chez moi. À quelques mois de notre mariage, j’ai décidé de partager le début de ma plus belle histoire d’amour avec interstron.ru.

François avait à l’époque 34 ans (cinq de plus que moi). Pas très grand, mais bien fait, sportif comme moi, les cheveux ras et les yeux bleus. Bonus : il est Corse, lui aussi, mais venait de s’installer à Marseille. Après avoir papoté quelques minutes au guichet du club, il a payé sa séance et on est allés enfiler nos combis. La plongée avec lui a été magique : pas besoin de communiquer par geste comme avec d’autres élèves, on n’avait qu’à se regarder. Derrière son masque, ses yeux bleus scintillaient. Là, au milieu des poissons colorés, j’ai commencé à craquer.

Dès qu’on est sortis de l’eau, j’ai attaqué. « Dis, les douches sont crades au club. Ma maison est à cinq minutes de marche, tu m’accompagnes ? J’ai tout ce qu’il faut. » François m’a regardée de ses yeux pétillants et avec son accent chantant, il a dit  : « Je te suis. Je me sens tout salé, ça va me faire du bien. » Il n’avait pas encore idée de ce que je lui réservais !

Une fois à la maison, je lui ai montré la salle de bain. Mais mon plongeur avait une autre préoccupation en tête : le gros gode rose qui traînait sur mon canapé… La veille, j’avais oublié de le ranger après une séance de branlette devant un film érotique. Tant mieux : maintenant, on savait tous les deux pourquoi on était là !

François a rigolé devant la bête. « Et ben je vois… tu as d’autres passions que la plongée ! » J’ai souri et je me suis dirigée vers le gode. Mon paréo est tombé au sol, ainsi que mon maillot. Nue, je me suis mise à genoux sur le canap’ et j’ai commencé à lécher l’engin. François n’a plus moufté et s’est déshabillé lui aussi. Je n’avais pas rincé le gode et le goût de la cyprine m’a envahi la bouche. Ça m’a excitée, alors je me suis placée à genoux et je l’ai glissé entre mes cuisses. Un vrai bonheur…

Je me suis masturbée comme ça pendant de longues minutes, jusqu’à ce que François n’en puisse plus. Il était maintenant très rouge et sa queue avait doublé de volume. Mon sexe était grand ouvert et très humide, mes lèvres gonflées de désir. J’ai fini par sortir l’engin et j’ai ouvert bien grand les jambes pour présenter mon trou béant. François s’est jeté sur moi et m’a embrassée avec passion, la bouche, les seins, tout en introduisant sa bite entre mes cuisses. Quand il est entré, j’ai adoré sa chaleur, tellement plus satisfaisante que le gode !

Mon plongeur est entré en moi comme dans une grotte sous-marine. D’abord lentement, en se retenant de ne pas tout donner tout de suite. Puis plus vite… J’ai fini par perdre mon souffle quand il a blotti sa tête dans ma nuque et que ses soupirs étaient de plus en plus intenses. Son plaisir était communicatif, ma chatte écumait et le frottement de son bas-ventre contre mon clito ont ouvert les vannes du plaisir. J’ai joui par vague, ballotée d’avant en arrière à chaque coup de reins, mais solidement emmanchée sur sa proue.

François a fini par lâcher un premier jet entre mes cuisses, avant de ressortir avec un bruit de ventouse. Il me l’a alors glissée entre les lèvres avec un sourire béat et a de nouveau juté. Cyprine et foutre mélangés ont fondu sur ma langue, pendant que les effets de l’orgasme se dissipaient très lentement.

Nous ne nous sommes plus jamais quittés, mon plongeur et moi. Il s’est réinstallé sur notre île et nous nous marions l’été prochain sur la plage. Depuis François, je n’ai plus besoin de faire l’amour avec d’autres hommes : il est devenu le seul qui compte. Mais j’ai quand même gardé mon gros gode, en souvenir de notre rencontre sexy et salée.

 

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