Montée au quinzième étage

Flore Cherry 11 février 2019

Nora, 36 ans, La Défense

montee au quinzieme etage - recit érotique

Toujours rien, nada. C’était incroyable cette histoire ! Seize e-mails de relance pour obtenir le formulaire B-36, et il m’ignorait encore. Alors oui, peut-être qu’il était occupé, ou parti en voyage… Mais c’était de sa tour de 15 étages dont il était question ! J’ai vérifié mon portable : cinq messages vocaux laissés sur son répondeur, six conversations avec son assistante censée « transmettre le message », trois SMS l’invitant à me recontacter et un MMS de ma petite culotte. Cette histoire de MMS, c’est sûrement l’acte de désespoir le plus pathétique que j’ai fait. Mais pour mon dernier client, celui qui voulait construire une tour au plein centre-ville, ça avait plutôt bien marché. Quelques jours après la réception du MMS, ledit client m’avait fourni tous les papiers nécessaires, et même d’autres « au cas où vous en auriez besoin mademoiselle, on ne sait jamais… » et dans la semaine j’avais pu faire valider son projet de construction.

Mon supérieur avait eu cette très belle phrase. « Avec Nora, c’est vite torché et en plus, ça reste propre. » S’il savait.
Mais là, le coup de la petite culotte n’avait pas eu l’effet escompté. Mon client ne me répondait pas et me laissait désespérément avec ce dossier bloqué. J’ai regardé l’horloge murale. Il était 18 heures. J’ai rassemblé mes affaires pour rentrer chez moi. En me retournant un homme se tenait dans l’embrasure de la porte de mon bureau.
« Bonsoir mademoiselle. »
Je ne savais pas qui c’était ni ce qu’il me voulait. J’ai failli pousser un petit cri pour alerter mes collègues aux alentours mais me suis finalement ravisée.
Il tenait un papier à la main.
« Le formulaire B-36 signé, lu et approuvé. » Il s’est avancé et l’a posé sur mon bureau. Mais quel toupet ! Cet homme se croyait vraiment tout permis. Non seulement il m’ignorait au téléphone, mais en plus il s’autorisait à entrer dans mon bureau comme dans une boulangerie et à se comporter comme bon lui semblait.

Je restais les bras croisés à le fusiller du regard et à attendre qu’il sorte. Au lieu de ça, il est venu se placer devant moi.
« Portez-vous une culotte, mademoiselle ? » Bon, au moins il avait eu accès à son téléphone, j’en étais venue à penser que j’avais un mauvais numéro. Il a placé une main sous ma jupe pour vérifier. Oui, je portais bien une culotte, comme tous les jours. Il a eu l’air déçu, il s’attendait peut-être à me voir en talons aiguilles et bas résille. « Ça ne me donne pas envie d’accélérer la procédure, tout ça… » Il voulait avoir des sensations fortes ? Il allait en avoir !

J’ai baissé d’un coup son pantalon à pincettes et son caleçon à carreaux. Il s’est retrouvé là, hébété, la queue flottant au vent et les pieds liés par ses vêtements. J’ai rapidement détaché les deux premiers boutons de sa chemise blanche et l’ai retirée par-dessus sa tête. J’ai plongé mon regard dans le sien tout en retirant ma jupe et mon tee-shirt. Il a commencé à bander, sa bite était longue et dure. Je me suis agenouillée face à lui et ai lapé sa queue comme une petite chienne. Il a tenu ma tête et a enfoncé son sexe en entier, m’obligeant à lui faire une gorge profonde. Il m’a attrapée fermement et m’a retournée sur la chaise. Son membre me comblait entièrement, quelle taille énorme ! Je suis allée chercher une couverture dans l’armoire et me suis allongée dessus. Il a glissé son chibre en moi comme dans du beurre. Il s’accrochait tantôt à mes épaules, tantôt à mes hanches pour accentuer ses à-coups. On voyait qu’il était habitué à dominer, à avoir le contrôle sur tout. Je voulais inverser la situation. Je l’ai violemment repoussé et me suis jetée sur sa queue. Je l’ai branlée de toutes mes forces en serrant bien mes doigts autour de son gland. Je savais comment faire rapidement venir un homme.

Il n’a pas mis longtemps à se jouir dessus dans des spasmes du bas-ventre incontrôlés. Son sperme coulait sur la base de sa queue et sur ses couilles.
Comme dirait mon boss « avec Nora, c’est vite torché… ».

(Image à la une : Getty Images)

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« J’adore sucer des belles bites, je leur voue un véritable culte. J’éprouve une joie physique et mentale à satisfaire un homme de cette manière. »  Hélène

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À 22 heures, il a sonné chez moi. J’ai entrouvert la porte, restant dans l’embrasure. Il a souri en écarquillant les yeux et m’a dit « Bonsoir, Marlène du marketing ». Marlène

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