La porte d’à côté

La rédaction 19 juillet 2021

Je m’appelle Charles, j’ai 51 ans et j’ai une vie que l’on pourrait qualifier de solitaire. Et pourtant, je ne suis pas quelqu’un d’aigri ou de difficile à vivre. J’ai joui de la compagnie d’une femme à mes côtés durant cinq belles années, et, suite à des problèmes de santé, cette femme est retournée vivre près de sa famille en Suède, tirant un trait définitif sur notre relation. Nous avons eu une fille ensemble, Viola, qui a aujourd’hui 19 ans et qui partage sa vie entre les deux pays. Laissez moi vous partager mon histoire porno.

J’ai découvert son intérieur

Ma femme me manque terriblement. Les autres que j’ai pu rencontrer ça et là m’ont toujours semblé bien fades en comparaison, aucune n’a su remplacer le vide énorme qu’a laissé mon ex. Enfin, aucune femme n’avait réussi avant Monique. Monique a emménagé dans le petit pavillon en face de chez moi en septembre, avec ses deux grands garçons. J’ai très vite compris qu’elle était elle aussi célibataire, et que les quelques voitures que je voyais parfois garées devant sa maison n’étaient que des amants de passage.

Pendant quelques mois, je me suis pris d’une passion obsessionnelle pour cette dame. Je la trouvais rayonnante. Elle grondait ses fils avec une voix douce et autoritaire, elle riait souvent aux éclats lorsqu’elle était au téléphone à son balcon, et ne manquait jamais de saluer un voisin, moi y compris. Pour rien au monde j’aurai voulu l’inviter chez moi, j’avais encore accroché au mur des photos de mon précédent mariage et les retirer m’aurait très certainement brisé le cœur. Pire encore, la vision de Monique nue dans mon lit conjugal, ce même lit dans lequel j’avais conçu Viola avec amour, m’aurait certainement achevé. J’attendais donc désespérément que ce soit elle qui m’invite chez elle pour un thé ou un déjeuner. Mais rien ne s’est passé.

Il y a quelques semaines, j’ai donc pris mon courage à deux mains et je suis allé frapper à sa porte, un bouquet de fleurs à la main. Cela peut sembler un peu vieillot comme approche, mais c’est celle qui me ressemble le plus, je suis encore très attaché à certains principes. Quand Monique m’a ouvert sa porte, le plus beau sourire du monde affiché sur ses lèvres, elle m’a regardé moi, puis les fleurs, puis est revenue vers moi à nouveau. Le regard coquin et complice qu’elle m’a lancé les secondes suivantes m’a indiqué qu’elle savait parfaitement qu’elle était l’objet de ma visite. Je la courtisais, et elle était partante !

Et je l’ai arrosé

Elle m’a offert un jus de fruit bio, elle n’avait plus que ça dans le frigo, a posé mes fleurs dans un vase, et a commencé à parler de sexe. Directement. Elle m’a demandé des détails sur ma vie intime, sur la fréquence de ma masturbation ou sur les fantasmes qui me traversaient l’esprit. Je n’aurais jamais pu imaginer avoir ce genre de discussion avec elle de but en blanc mais elle amenait les choses avec tact et second degré et du coup…

Je me suis allé à lui raconter toutes les pensées perverses que j’avais eues depuis le départ de ma femme. La branlette espagnole en particulier était quelque chose qui m’attirait beaucoup. Je l’avais vu une fois dans un film porno, et depuis je ne cessais d’y repenser. Je savais que ma précédente femme était totalement opposée à ce genre de pratique et au vu de la poitrine plutôt plate de Monique, je lui ai dit que je ne savais pas si elle était la bonne personne qui allait m’aider à réaliser mon fantasme. Elle m’a assuré que si, comme si elle l’avait pris pour elle, comme un défi !

Elle s’est mis à genoux devant moi, a déboutonné mon pantalon avec empressement et a sorti mon chibre de sa cage. Cela faisait très longtemps que je n’avais pas eu de rapports intimes avec une fille et je bandais comme un taureau. Elle a suçoté le bout de mon gland en même temps qu’elle retirait son chemiser. Au bout de quelques secondes, elle est venu coller ma grosse queue sur ses petits seins blancs laiteux et a resserré le tout sur ma tige. À la force de ses cuisses, elle montait et descendait pour simuler les mouvements de va-et-vient. C’était extrêmement excitant. Elle se masturbait en même temps, savourant cette situation où elle se donnait complètement en spectacle. J’aurais voulu me contenir plus longtemps mais je n’ai pas pu m’empêcher de gicler rapidement entre ses deux mamelons. Je suis rentré chez moi un peu précipitamment après, ne sachant vraiment pas où me mettre.

Depuis nous avons convenus ensemble de rendez-vous hebdomadaires, elle ne voulait pas être exclusive avec moi et ne voulait pas encore s’immiscer dans ma vie.

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