Montée d’hormones
25 août 2019Andrew, 38 ans
Sonia et moi sommes un couple de 35 et 40 ans, très complices, et ouverts à pas mal de choses. Volontiers libertins, nous sommes en ce moment un peu moins chauds car nous avons un enfant en bas âge. La période la plus débridée que nous ayons vécue tous les deux est celle de la grossesse de Sonia. Les premières semaines, ses hormones ont bien fait monter sa libido, pour atteindre un pic au sixième mois. À ce moment-là, ce n’était pas les envies de fraises qui la démangeaient, mais plutôt les envies de bite !
Nous avons l’habitude de fréquenter les sites de rencontres échangistes, et nous faisons parfois des plans sur des parkings, ma femme adore ça. Un soir, elle s’est habillée d’une petite robe noire très courte, qui moulait à merveille son ventre rond. Nous sommes arrivés sur un parking que nous fréquentions souvent, près d’une autoroute, entre un restaurant et un petit bois. Nous nous sommes garés, j’ai coupé le moteur et éteint les phares. Sonia a commencé à me sucer, et un homme s’est approché, la queue à la main, de mon côté. Nous avons échangé quelques regards complices, puis je lui ai dit que s’il voulait, ma femme pouvait lui pomper le dard. Elle a ouvert sa fenêtre et a commencé à sucer le gars. Je la sentais bien chaude, elle a lancé une main sous sa jupe pour se branler à travers le tissu de sa culotte. De l’autre, elle s’occupait de ma bite. J’étais bien excité par ce spectacle. J’ai dit à ma chérie : “Donne-lui ta culotte !” Elle a fait glisser son slip, puis a frotté le bout de tissu contre sa chatte trempée. Malgré la fenêtre ouverte, on respirait dans l’habitacle de la voiture un mélange d’odeurs de bite, de mouille et de sueur. L’inconnu pris la culotte et l’a portée à ses narines, puis il l’a mise dans sa bouche pour la sucer.
Il se paluchait de plus belle, ma douce tendait la langue vers le gros gland cramoisi qui perlait. Elle a lâché ma queue et, tout en continuant à essayer de sucer le nœud du type, elle a relevé sa robe de manière à bien exhiber son ventre rond. Je devinais ce que voulait ma cochonne : une giclée de foutre chaud sur ses jolies rondeurs de future maman ! Soudain, elle s’est mise à crier : “Regarde ! Il gicle sur mon ventre ! Oui ! Vas-y ! Vas-y !” Sonia a renversé la tête en arrière : elle jouissait en se faisant arroser par le type. Moi, devant ce spectacle, je les ai rejoints, et j’ai dirigé mon jet de foutre sur le ventre de ma femme qui ruisselait… La voiture sentait fort le sperme. Nous avons salué notre inconnu, en lui disant : “A une prochaine fois !”, et nous sommes retournés chez nous pour faire l’amour, en nous reparlant de notre branleur anonyme. Cette histoire n’a pas été la seule pendant sa grossesse. En ce moment, nous ne baisons plus beaucoup, j’ai donc le temps de vous écrire, je vous raconterai la suite plus tard. En attendant, j’espère que vous vous régalerez des photos de ma femme, prises un peu avant qu’elle ne tombe enceinte.
(Photo à la une : Getty Images)
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« Pendant deux semaines, j’ai traîné dans les sales pattes de ce vieillard libidineux. Parfois, il amenait même un copain. Il était aussi vieux que lui, mais il avait une bite très épaisse que je prenais dans la bouche… pendant que l’autre me bourrait le cul. J’étais devenue accro à la baise. » Fairouz.
« Moi, je l’ai limée pendant quinze bonnes minutes non-stop. Je me suis retiré pour exploser dans la bouche de ma chérie, et ça a été le tour d’Olivier de fourrer ma petite amie. Je pouvais entendre ses couilles taper violemment sur la chatte d’Audrey, elle ne pouvait plus me lécher la bite tellement elle prenait du plaisir. » Fabrice.
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