My génération !

La rédaction 11 février 2021

Jeff, 70 ans nous raconte son dernier coup avec une charmante femme rencontrée à la sortie de l’Église

Je reçois votre magazine aujourd’hui et, comme à chaque fois, je me dis qu’il me faut, moi aussi, écrire aux interstron.ruistes, en particulier ceux de ma génération. Donc je me lance et je vous raconte mon histoire de sexe.

Je lis votre magazine depuis 1974 et, à chaque parution, je me jette sur ces magnifiques histoires qui me rappellent un âge qui n’est plus le mien, mais qui me font toujours autant bander. Je ne vous raconterai pas, pendant plusieurs années, les kilomètres parcourus quelques fois pour trouver un kiosque et un magazine encore disponible afin de bien commencer la nuit. Depuis, je me suis abonné.

Je ne vous raconterai pas non plus les plans cul en Allemagne, lors de mon service militaire. Ni, toujours dans le même pays, où l’on s’est retrouvés, un Français et moi, dans une Américaine, alternant les positions et les orifices. Nous sommes devenus d’inséparables amis depuis cette aventure, il y a 50 ans. Jeune fille retrouvée quelques années plus tard à côté de Boston, où là j’étais tout seul à profiter des ouvertures « made in USA » !

Non plus, les différentes baises avec de charmantes jeunes filles qui voulaient essayer ma moto. Enfin, c’est ce qu’elles m’avaient dit, avant de saisir ce qu’elles pouvaient, pour se tenir pendant la route, et ce n’était pas le bidon d’essence placé devant moi auquel elles s’accrochaient, pour finir au lit bien sûr, sans casque, ni cuir, mais avec l’odeur ! Enfin… Cela s’est produit à Paris, avec une de mes cousines (par alliance, quand même) entre autres, dans un confortable hôtel.

Ce n’est pas de tous ces coups-là dont je veux vous parler, mais du dernier. Après ma dernière séparation il y a quatre ans, (c’est long, je vous assure, de ne pas baiser pendant aussi longtemps), j’ai rencontré une femme à la messe. Eh oui, une dame charmante et pimpante d’environ 64 ans, qui me faisait du rentre-dedans à la sortie de l’église quand je prenais le temps de saluer des connaissances. Aujourd’hui, on dirait qu’elle avait un crush pour moi, et c’était réciproque. Bref, j’envisageais avec elle des choses pas très catholiques…

On a commencé à s’envoyer des SMS de plus en plus suggestifs après les célébrations, à nous avouer mutuellement que nous n’avions cessé de nous regarder en douce pendant l’office. Je l’ai reçue chez moi pour dîner, plutôt dénudé sous mon tablier de cuisine à cause de la chaleur, vêtu d’un simple short de coton. J’ai commencé à bander. Elle l’a constaté et, poussée par la luxure, elle m’a attrapé par la queue, comme le dit la chanson… J’avais vu juste, la belle avait autant envie de plaisirs charnels que moi ! Elle m’a caressé alors que je la servais. Nous avons laissé l’atmosphère se réchauffer tout au long du repas en nous touchant sous la table.  Une bonne pipe s’est ensuivie entre le fromage et le désert. Sa bouche était délicieuse sur ma queue qui sursautait de ravissement après tant de privations. Puis nous avons fini dans mon lit, où j’ai essayé de la pénétrer sans y réussir sur le moment, car nous n’étions peut-être pas encore tout à fait prêts.

Ensuite, nous avons vécu plusieurs rencontres qui se passaient toujours de la même manière : j’allais chez elle, on prenait l’apéro, j’enlevais mes chaussures, puis le reste. Je m’allongeais sur son lit. Elle me faisait un très bon massage avec de l’huile d’amande douce, je vous la conseille, puis elle me faisait une pipe qui durait, qui durait… Pendant ce temps-là, j’enfilais un doigt dans sa chatte, puis deux en même temps dans son petit trou. Je la caressais chaque fois un peu plus longtemps.

Une après-midi, elle s’est mise à couler, littéralement.

Tellement, que c’en était irrésistible. Je l’ai retournée délicatement et j’ai essayé de trouver l’un de ses orifices tout en la caressant. Ma queue est entrée en elle, mais je ne savais pas où. J’ai passé ma main sous elle et me suis rendu compte que ce n’était pas là où je voulais aller, mais elle n’a rien dit, et coulait toujours autant.

Je me suis retiré, nettoyé rapidement, et me suis faufilé par-derrière dans sa chatte que j’ai enfin trouvée ! Quel plaisir, ma bite est rentrée sans effort tant elle mouillait. Elle s’en remettait à moi et je sentais que nous étions prêts à prendre notre pied ensemble, à nous vautrer dans le péché !

Effectuant plusieurs allers-retours, j’ai guidé ma verge avec ma main par en-dessous. Quelle joie que de vivre l’intimité de ce rapprochement complice ! J’ai accéléré, elle a commencé à glapir, à vrombir, à rugir et j’ai tout lâché par saccades successives dans son con désormais bien rempli.  J’avoue avoir été incapable de remettre le couvert, même en attendant un peu… Je me suis donc servi de mes mains pour continuer à la faire couler jusqu’à l’extase…

Après une douche réparatrice, nous sommes passés à table pour nous mettre à deviser et à poursuivre cette agréable soirée. Je suis rentré chez moi, bien vidé et très heureux après ces années d’abstinence. Je ne reste jamais chez elle, car j’aime être seul pour dormir et me remettre. Et pouvoir être en forme dans l’optique de recommencer…

Bien entendu, si vous êtes de ma région, Mesdames de tous âges, vous êtes les bienvenues à partager ces moments particuliers. Je vous parlerai des pays dans lesquels j’ai vécu et nous ferons très tendrement connaissance. Qu’en pensez-vous ?

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