Le sexe et la religion (2)

La rédaction 8 janvier 2020

Eléanore, 19 ans

[ndlr : comme promis, la suite du courrier d’Eléanore]

Deux jours plus tard, nous étions le 1er mai. Je lui ai demandé s’il avait quelque chose de prévu pour le soir même. Comme il était libre, j’ai exprimé le vœu qu’il me réserve sa nuit. Dans l’après-midi, je suis allée prendre une chambre d’hôtel pour notre première (et unique) nuit. Il devait venir me chercher en début de soirée pour que nous nous rendions ensemble à l’hôtel. Je savais qu’il aimait beaucoup les tenues d’écolière. J’avais donc mis une courte jupe rouge à carreaux avec une chemise blanche qui épousait parfaitement la forme de ma poitrine. Pour la lingerie, j’avais opté pour un ensemble trois pièces en dentelle noire (soutien-gorge, string et porte-jarretelles) avec une paire de bas noirs et une jarretière. Arrivés à destination, nous avons posé nos affaires, et je lui ai dit à quelle heure il fallait rendre la chambre, qu’il y avait le satellite et que la pièce était insonorisée.

Il a ôté son blouson, ouvert un peu la fenêtre, saisi son paquet de cigarettes et la télécommande avant de s’installer confortablement sur le lit pour regarder mission impossible 2 ! Je n’en revenais pas et je lui ai clairement dit que je n’avais pas payé la chambre pour une soirée télé. Il a fait comme si de rien n’était et a concentré son attention sur l’écran. Dépitée, je l’ai rejoint et je me suis blottie contre lui. J’ai supporté ça environ la moitié du film avant de prendre enfin les choses en main. Je comptais bien éviter de me retrouver condamnée à une soirée « maison de retraite ». J’ai passé ma jambe Sur la sienne en me tournant face à lui comme pour mieux m’installer et chercher des câlins. Innocemment, j’ai remonté mon genou vers son entrejambe jusqu’à ce qu’il soit en contact avec la bosse dure dissimulée sous le pantalon. Je l’ai doucement écrasé pour faire comprendre à ce trentenaire que la jeune femme de 18 ans allongée à ses côtés n’avait pas la moindre envie de passer une soirée télé, mais au contraire une nuit des plus mouvementée…

Au bout d’un moment, il a enfin compris. Il a posé sa main sur un de mes seins pour le caresser d’un doigt. Des vagues de chaleur de plus en plus fortes déferlaient dans mon ventre, à mesure qu’il se faisait plus précis et insistant. De mon côté, je ne restais pas inactive, frottant vigoureusement la bosse à présent parfaitement solide à travers le vêtement et en la serrant plus ou moins fort. Ma langue est passée sur son cou, et mes dents ont gentiment mordillé le lobe de son oreille. Mon souffle le faisait frissonner de désir, sans arrêter ces délicieuses caresses, je suis montée sur lui et je me suis assise sur ses cuisses. Je l’ai embrassé à pleine bouche, goûtant la saveur de ses lèvres et de sa langue mêlée à celle de la nicotine, et j’ai glissé une main sous son T-shirt pendant que l’autre me servait d’appui. Je me suis donc retrouvée à quatre pattes, le postérieur cambré, au-dessus de cet homme. Je le désirais tant que mon string en était tout mouillé.

Il me caressait maintenant le dos et les fesses avec beaucoup d’insistance, laissant ses doigts s’égarer sur ma raie et ma fente en passant sous ma jupe. Mon corps bougeait de façon lascive, et mes seins effleuraient parfois son torse. Je laissais progressivement mon bassin descendre jusqu’à ce que, dans mes mouvements, je simule l’acte sexuel contre la proéminence qui poussait le pantalon. Lentement, je me suis assise sur son entrejambe et je l’ai attiré à moi, tout en l’embrassant. Puis, je lui ai ôté son T-shirt. Il s’est rallongé en me dévorant des yeux. Sans le quitter du regard, j’ai déboutonné ma chemise qui contenait à grand-peine ma poitrine, je l’ai ôtée et jetée sur le sol. J’ai repris mes baisers en me couchant sur lui. Et, en un seul mouvement de sa part, il s’est retrouvé sur moi. Profitant de sa position, il a léché mon cou et mes oreilles en les mordant sensuellement, puis il a littéralement dévoré ma poitrine.

Quand ses mains ont rencontré ma jupe, il a cherché la fermeture et, tout en me couvrant de baisers, il m’a vite débarrassée de ce bout de tissu. Il a admiré quelques instants mon corps à présent uniquement recouvert de ma lingerie noire et a repris ses caresses avec beaucoup plus de ferveur. Il a glissé deux doigts dans la fournaise liquide qu’était devenu mon vagin en frottant du pouce mon clitoris dressé de désir. Je gémissais fort, ondulant sous ses attouchements. J’ai vite joui une première fois, puis je l’ai remis sur le dos pour ôter son pantalon et son boxer devenus trop petits pour lui. Son membre viril a jailli comme un diable hors de sa boîte.

Je l’ai observé d’un œil plein de lubricité, tout en caressant ses cuisses qui faisaient presque deux fois les miennes. Mes doigts ont effleuré ses bourses, touché son anus, ce qui lui a fait instinctivement serrer les fesses. Ils se sont ensuite dirigés vers la colonne de chair qui bougeait par à-coups toute seule, comme animée d’une vie propre. J’ai fait quelques va-et-vient d’une main un peu lâche mais caressante. Enfin, je me suis penchée sur lui pour lui offrir la fellation dont il semblait mourir d’envie. C’était un peu désagréable à cause des poils qui me chatouillaient le nez et qui menaçaient de me faire éternuer, mais je m’appliquais encore plus que la dernière fois, tentant même la gorge profonde, puis remontant ma bouche jusqu’au gland. J’ai répété ce mouvement entre chaque pause d’un pompage intensif, où je faisais virevolter ma langue tout autour et tout le long du pénis. Je l’ai sucé avec gourmandise jusqu’à ce que sa semence jaillisse et aille frapper le fond de ma gorge. J’ai tout avalé sans relâcher l’emprise de mes lèvres, puis j’ai soigneusement nettoyé la hampe avec ma langue, et aussi le gland qui a bénéficié d’une attention toute particulière.

Il m’a ramenée vers lui, m’a embrassée à pleine bouche, m’a mise sur le dos et est redescendu vers mon minou détrempé. Il a plongé sa tête entre mes cuisses et a repris son exploration avec sa langue et ses doigts. C’était divin et je me suis mise à crier lorsque son index a caressé mon œillet. Il a fait des allers-retours entre mes deux trous, lubrifiant le seul qui soit encore vierge avant d’y enfoncer son majeur. Un frisson de plaisir d’une puissance jusqu’alors inconnue m’a parcouru le corps, du bout des orteils jusqu’à la racine des cheveux, laissant ma peau hérissée de chair de poule. Il le faisait bouger doucement dans mon fondement, ce qui me procurait ce plaisir mais aussi le désir ardent de le sentir en moi dans ce conduit jusqu’alors vierge. Je l’ai brutalement repoussé pour me mettre à quatre pattes, J’ai bien écarté les jambes pour lui offrir une entrée royale et je me suis cambrée au maximum pour lui dévoiler mes trésors intimes.

Il a prestement enfilé un préservatif et est entré en moi, faisant coulisser langoureusement la colonne de chair dans mon sexe, en se tenant à mes hanches pour conserver son équilibre. Mais j’étais terriblement excitée et le rythme était beaucoup trop lent à mon goût, vu mon état. Aussi, j’ai placé mes avant-bras à plat sur le lit, j’ai agrippé fermement le drap en y enfonçant mes ongles, et j’ai donné un grand coup en arrière, au moment où il reculait, ne laissant en moi que son gland violacé. J’ai crié sans tourner la tête vers lui : « Vas-y prends-moi fort. J’ai envie de te sentir au fond de ma chatte ! » Alors il s’est exécuté, se cramponnant plus fermement à ma croupe. Il me donnait des coups aussi puissants qu’il le pouvait, abandonnant toute douceur comme si ma chatte béante et dégoulinante n’était plus que le trou d’une poupée gonflable ou un punching-ball pour queue… J’aimais ça. C’était nouveau pour moi ! J’avais déjà subi des assauts… disons, enthousiastes, mais cette partie de jambes en l’air, c’était tout à fait différent.

Je prenais du plaisir comme jamais et, dans le tréfonds de mon esprit, je hurlais, le sentais mon crâne sur le point d’imploser tant la pression de mes pensées était forte. Je m’injuriais en secret en me balançant des jurons tous plus dégradants et humiliants les uns que les autres. « Ah oui baise-moi ! Baise ta sale chienne ! Hum, tu l’aimes ma chatte débordante de mouille ! Frappe-moi ! Oh oui, fous-moi des claques sur mon cul offert ! Défonce-moi ! Prends-moi ! Vide-toi en moi !… » Je n’étais plus moi, la jeune femme sage que tout le monde connaissait, je n’étais plus que plaisir. Mon corps et mon esprit étaient des objets dédiés à la jouissance. J’ai atteint l’orgasme quelques secondes avant lui en poussant un grognement bestial, presque un rugissement, et je me suis écroulée, tremblant de tous mes membres, le corps couvert de sueur. J’étais comme sonnée, je n’avais même plus la force de m’allonger complètement.

Quand nous avons retrouvé notre souffle, nous nous sommes étendus l’un contre l’autre. Je me suis blottie contre lui et je me suis endormie, épuisée. Je dormais sur le côté quand je l’ai senti se mettre contre mon dos, passant son bras autour de moi et nichant sa tête dans mon cou. Je me Suis réveillé quelques heures plus tard avec la désagréable sensation d’être un vieux four bruyant. C’était le cas dans un sens… Nathan était collé à moi comme s’il voulait fusionner nos corps, et je transpirais énormément. J’ai passé un très long moment à tenter de me libérer de cet étau. Enfin, je me suis levée, et j’ai pris une bonne douche. Plus tard, nous avons petit-déjeuné avant qu’il me raccompagne en bas de chez moi.

La journée s’est déroulée tranquillement jusqu’à la fin de l’après-midi… Mais là, il m’a envoyé un message dans lequel il me disait qu’il me quittait. Je lui ai demandé pourquoi, et il m’a répondu qu’avoir des rapports sexuels avant le mariage était un péché et qu’il était protestant. Je suis partie dans une colère noire car il ne m’avait rien dit mais surtout, il avait deux adorables fillettes de mères différentes et il n’avait jamais été marié. Je lui ai balancé sans prendre de gants que la religion ce n’était pas à la carte, que je n’aurais rien fait s’il me l’avait dit, etc. J’ai achevé ma tirade en ajoutant que ce n’était plus la peine d’espérer de moi autre chose que du sexe !

(Image à la une : Getty Images)

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